vendredi 23 décembre 2022

Les géants de la Silicon Valley en crise



Une crise au sein de la Silicon Valley, c’est ce qui pourrait arriver d’autant que les grands groupes connaissent une période quelque peu tourmentée.

Pour illustrer ces allégations, il y a eu des récentes opérations de licenciements au sein de gros groupe tel que Twitter, qui a eu à mettre à la porte près de la moitié des salariés au moment de l’arrivée de Elon Musk à la tête du groupe. Ce cas est symbolique de la mauvaise période actuellement chez Twitter.

Les concierges aussi se voient mettre sur le carreau. Un cas parle de lui-même, celui d’une concierge rencontrée par RTS devant le groupe Twitter se plaignant du fait que Twitter ait embauché d’autres concierges en cette période de fête celle-ci se retrouve sans emplois.


Des méthodes de licenciements brutales


Twitter, par ces méthodes montre un faible intérêt pour les salariés qui se sentent trahis par leurs ex-employeurs. Adoptant des méthodes assez brutales lors du licenciement des employés. Twitter ne prend donc pas en compte le profil de chacun de ses employés, lorsqu’il s’agit de les licencier. Ces méthodes ne laissent personne indifférent dans la Silicon Valley.

 

Des milliards chez Meta

 

D’autres entreprises ont licencié comme Twitter à la Silicon Valley. C’est une bonne partie des effectifs de l’entreprise qui a pris la porte du côté de Méta. Des problèmes liés aux investissements qui n’ont pas toujours été bien placés, Mark Zuckerberg, ne fait pas l’unanimité avec méta il a investi considérablement sans en avoir le résultat espéré.

 

La montée temporaire d’Amazon

 

En effet ce géant de la Silicon Valley, fait également des mises à jour dans ses effectifs. Ce ne sont pas moins de 10 000 personnes qui ont été remerciées par Amazon. Tout comme les autres, le géant de la vente a également sabré une grande partie de ses effectifs.

 

Amazon pendant la crise sanitaire s’est vu avoir une meilleure croissance. Cette croissance fulgurante au moment de la crise révèle aujourd’hui une autre réalité. En effet, depuis la fin de la « pandémie », l’entreprise ne connaît plus les mêmes hausses qu’à un moment donné.


Des employés risquent l’expulsion, s’ils ne trouvent pas un nouvel emploi d’ici là. Une vague qui pourrait en effet faire beaucoup plus de dégâts. Dommageable pour les États-Unis.


Benoît Bergeret, affirme qu’il faut relativiser sur le ralentissement des géants de la Tech aux USA.