Lumière sur Steve Ballmer, lieutenant tonitruant de Bill Gates

Steve Ballmer est à la tête de Microsoft depuis 2000 après le retrait de son fondateur, Bill Gates.

Wolfgang Schreiber, PDG de Bugatti, et la persistance du luxe automobile français

Bugatti reste une référence dans le monde de l'automobile. Auréolée par plus de 10 000 victoires en course, un record jamais égalé, cette firme tricolore basée à Molsheim, en Alsace, incarne aujourd'hui encore cet esprit de sportivité et de faste hérités de son flamboyant passé.

L'efficacité énergétique selon Gilles Schnepp, PDG de Legrand

Legrand est un acteur important dans la domotique et les équipements électriques des bâtiments.

Yahoo! et la croissance externe à marche forcée

Pour la première fois depuis deux ans, l’entreprise californienne devance son grand rival Google.

Alain Pons et les ambitions de Deloitte

L’arrivée d’Alain Pons à la présidence de la direction générale de Deloitte France en juin 2010 a changé les perspectives du très réputé cabinet d’audit.

jeudi 28 juillet 2016

Les catastrophes naturelles pèsent sur les comptes de Scor

Les résultats du réassureur français Scor n’ont pas été fameux au premier semestre. C’est la compagnie elle-même qui a donné l’information. Cette mauvaise nouvelle a été annoncée mercredi. Cette baisse drastique des chiffres de la compagnie est imputée aux catastrophes naturelles qui ont eu  des effets dévastateurs sur le travail de la compagnie de réassurance.

Scor face aux drames des catastrophes naturelles

Comme toutes les entreprises travaillant dans le domaine  de l’assurance, Scor ne peut prétendre faire un énorme chiffre d’affaires que si ses assurés ne subissent pas des dommages considérables du aux aléas de toute nature. Malheureusement, cela n’est pas toujours le cas. Ce premier semestre n’a pas été des meilleurs pour Scor qui s’est vu obligé de prendre en compte  les dommages de ses clients causés par  les catastrophes naturelles depuis le début de l'année. 

Ces catastrophes naturelles se sont produites dans de nombreux pays. Cependant, le  Canada semble avoir battu le record. En effet, dans la  province de l'Alberta, les feux d’un énorme  incendie  qui s’est produit au printemps, n’ont rien laissé sur leur passage. En France, les résultats n’ont pas été fameux à cause de l’impact des catastrophes naturelles.

Quel est le montant exact de la baisse de recette de Scor ?

Scor a évalué ses baisses de recettes à hauteur de 15, 9%, soit un résultat net de   275 millions d'euros. Toutefois, la situation n’est pas aussi alarmante dans la mesure où, ces mauvais résultats n’ont pas été un obstacle pour l’entreprise dans le cadre de l’atteinte de ses objectifs financiers, de son plan stratégique triennal.  Elle a pu alors payer ses dettes convenablement malgré cette situation qui n’est pas des meilleures pour elle. Ces pertes dues aux catastrophes naturelles ont été très ressenties. 

Par exemple, l’incendie qui s’est déclarée à Alberta à couté 65 millions d'euros avant impôt au groupe Scor qui l’a fait savoir dans un communiqué.  Mieux encore, les déclarations du PDG de Scor, Denis Kessler en disent long sur l’étendue des pertes engendrées par les catastrophes naturelles pour la compagnie. En effet, selon ce dernier, le groupe  disposait d’une exposition pas du tout forte  avec un coût d'environ cinq millions d'euros. Cette déclaration a été faite en marge d’une d'une conférence téléphonique sur les crues et inondations qui ont sévi dans l’hexagone  fin mai et début juin. En ce qui  concerne le coût des inondations en France, elle a couté à Scor  un  milliard d'euros environ.

Les chiffres publiés par eBay au-delà des prévisions

En présentant ses résultats trimestriels ce Mercredi, le groupe eBay a fait dans l’effet de surprise. En effet il  affiche un chiffre d’affaires largement supérieur à ses différentes prévisions. Sa valeur boursière a monté jusqu’à 9% à Wall Street. Cela fait que l’entreprise est dans une posture d’anticipation de ses différents bénéfices pour l’année 2016. Le développement de son commerce en ligne en a fait un véritable phénomène sociétal, avec des sites mis à la disposition de consommateurs de par le monde.

Une croissance sous fond de surprise

Spécialisée dans la vente aux enchères en ligne, eBay possède un portefeuille client considérable à travers le réseau internet. Le développement de celui-ci et du e-commerce  a permis à l’entreprise de mettre en place des plateformes pour la vente de produits divers. Cet effort soutenu d’actualiser et de renouveler son offre de services a eu des conséquences heureuses pour l’entreprise. Le bilan trimestriel des activités du groupe a révélé l’atteinte du chiffre d’affaire et une hausse de la valeur de l’action d’eBay en bourse. 

L’action eBay a ainsi empoché 6.5% au niveau des transactions hors séances et, son conseil d’administration a autorisé la levée de fond d’un montant de 2.5 Milliards pour le rachat d’actions pour m’exercice de l’année 2016. Par conséquent les prévisions quant à la croissance d’eBay ont été revues à la hausse  de l’ordre de 8.85 à 8.95 Milliards de dollars.  Une surprise pour bon nombre d’analystes qui y voit un témoignage du dynamisme de la société américaine. Cette croissance porte le bénéfice du groupe à 435 millions de dollars équivalent à une hausse de 7 à 38 cents par action comparé à l’exercice des années précédentes. En parallèle, le chiffre d’affaire du groupe connait une hausse de 2023 milliards là où les projections le situer à 2.17 milliards de dollars.

EBay, une entreprise bien cotée

Le renouvellement et l’optimisation de ses plateformes  e-commerce a permis à eBay d’étendre son réseau et mettre en place des boutiques dans toutes les grandes villes du monde. Le groupe compte près de 85.3 millions de membres actifs et plus de 110 millions d’articles sont mis en vente et achetés annuellement sur le site. Des utilisateurs enchérissent et repartent avec des objets originaux et authentiques. EBay propose également a ses clients des modes de paiement diversifiés à travers la Paypal, des virements, des chèques ou à partir de la plateforme de virement de Google.

mardi 12 juillet 2016

L’union entre Solucom et Kurt Salmon donne naissance à Wavestone

Wavestone est le tout nouveau nom du cabinet de conseil né de la fusion entre Kurt Salmon et Solucom. Dix mois auparavant, la majeure partie des activités du premier cabinet avaient été intégrées dans celles du second. Toutefois cela n’a pas jeté de présage quant à une éventuelle fusion des deux entités. La création de Wavestone a été annoncée Vendredi dernier en marge du Grand  Red à Paris.

Nouvelle marque, nouvelles ambitions

L’annonce de cette décision a pris des allures festives afin de réduire la solennité qui accompagne une situation qui se veut rare dans le milieu du conseil. Les 2500 salariés des deux groupes étaient présents et plusieurs personnalités artistiques et du milieu du conseil se sont passé le micro pour célébrer l’événement. Le changement de nom se veut insuffler un nouvel dynamisme au groupe.

Wavestone se présentant comme un nom qui porte à la fois les valeurs et la nouvelle image du cabinet, mais qui en même temps de par son caractère neutre permet de maîtriser la variable culturel qui devient alors un booster et non un frein. La création de ce cabinet colle avec les ambitions des groupes de fournir à leurs clients toute l’expertise et les conseils dont ils ont besoin pour la vie de leur organisation afin d’être compétitifs dans un environnement organisationnel fluctuant et mouvant. Le 20 Juillet est la date à laquelle cette décision fera l’objet d’un vote en Assemblée générale.

Wavestone, une valeur ajoutée sûre

Faite de commun accord avec les salariés, ce changement de nom est une innovation majeure dans le domaine. Wavestone se donne pour mission de se positionner en leader sur le marché français et européen du conseil. S’adapter et innover étant des capacités dont il faut se parer, Wavestone est le fruit d’une réflexion stratégique des deux parties depuis Janvier dernier. Ainsi, 2500 collaborateurs à travers quatre (04) continents apporte leur expertise et leur compétence aux entreprises et aux leaders afin de réussi le pari de la mise en place d’une vision stratégique et de sa mise en œuvre.

Les prestations offert par le cabinet se fait à travers un travail d’équipe des deux côtés.  Manager leur organisation et s’assurer d’une veille organisationnelle et stratégique en continu sont les capacités que nous développons chez nos clients composés de managers et de leaders de grandes industries et entreprises dans le monde.


lundi 11 juillet 2016

La grande menace des réseaux informatiques infiltrés pour les sociétés

Les entreprises françaises connaissent de plus en plus d’infiltration au niveau de leur système informatique ces derniers mois. De plus, les pillages de données se font aussi très rares. C’est dans cette que le directeur général de l’Agence nationale de la sécurité des systèmes informatiques (ANSSI) a fait une déclaration ce lundi. Cette situation provoque chez les dirigeants un sentiment de peur et les pousse à prendre plus de précaution contre une éventuelle menace ou d’assaut terroriste.

Des attaques de plus en plus persistantes

Les deux instances, l’ANSSI accompagné par le Secrétariat général  de la défense et la sécurité nationale (SDSN), ont établi ce lundi les  trois décrets relatifs à la sécurité des opérateurs qui ont une importance influence au niveau de la santé, l’administration de l’eau et de l’alimentation. Ces derniers vont se manifester dès le 1er juillet.
Guillaume Poupard a beaucoup prononcé sur le problème. Il a annoncé la présence considérable d’attaquant. Ces derniers sont des agents inertes qui élaborent les choses. Il rappelle que leur présence devient de plus en plus fréquente durant ces mois. En effet, ces attaquants fonctionnent en cartographiant les réseaux informatiques en toute délicatesse et progressent dans plusieurs réseaux, pour intégrer des zones très sécurisées. Cette procédure d’infiltration des attaquants est facilitée par l’envoi d’emails qui sont piégés au niveau des entreprises.

Guillaume Poupard ajoute que ces attaquants vont intégrer progressivement et vont se loger très profondément dans les systèmes informatiques des entreprises. Ils sont tellement fuités qu’ils pourront même se cacher dans des zones les moins anodines, des zones qui ne disposent d’aucune information utile à voler. On peut retenir comme exemple dans les zones de production de contrôle qualité.
Il rappelle aussi que cette nouvelle technique d’infiltration est tellement inquiétante. Elle intègre facilement le réseau pour manipuler système et prendre le contrôle total et tirer des données secrètes. 

L’industrie un secteur très exposé

Contrairement aux autres structures comme les institutions financières, l’aérospatiale et l’industrie de l’automobile, les entreprises sont moins protégées contre ces cas de figure. Ces manœuvres étaient moins fréquentes dans les entreprises, signale encore Guillaume Poupard.
Il affirme que cette idéologie de vols de données, ou des individus qui sont à l’autre bout du monde essaye d’infiltrer le système informatique pour uniquement anéantir la production est une chose nouvelle qui est souvent mal interprétée par les gens.


Pour mieux protéger les PME qui sont les plus exposées à cette situation, il préconise l’usage aux solutions de Cloud computing des spécialistes de la protection numérique. Ce système cloud encore appelé l’informatique des nuages est une façon de fournir et d’utiliser les aptitudes des systèmes informatiques. Il est basé sur les nuages notamment un parc de machines, d’équipement de réseau et de logiciel qui est tenu par un fournisseur et que les consommateurs pourraient utiliser en toute sécurité et en libre-service dans un réseau. Il prône aussi l’intégration de systèmes de sécurisation dans les machines des instruments et des automates dès leur construction.