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Wolfgang Schreiber, PDG de Bugatti, et la persistance du luxe automobile français

Bugatti reste une référence dans le monde de l'automobile. Auréolée par plus de 10 000 victoires en course, un record jamais égalé, cette firme tricolore basée à Molsheim, en Alsace, incarne aujourd'hui encore cet esprit de sportivité et de faste hérités de son flamboyant passé.

L'efficacité énergétique selon Gilles Schnepp, PDG de Legrand

Legrand est un acteur important dans la domotique et les équipements électriques des bâtiments.

Yahoo! et la croissance externe à marche forcée

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Alain Pons et les ambitions de Deloitte

L’arrivée d’Alain Pons à la présidence de la direction générale de Deloitte France en juin 2010 a changé les perspectives du très réputé cabinet d’audit.

vendredi 27 octobre 2017

Les banques tenues responsables de l’appauvrissement des personnes en situation de crise


Selon une étude publiée récemment (le 26 octobre) par l’UNAF, 60 millions de consommateurs accusent les banques de profiter de la situation financière rigide des personnes en crise. Selon ces derniers, lorsque le découvert est dépassé ou que le paiement est rejeté, les banques en profitent pour enfoncer le clou en leur facturant des couts qui dépassent vraiment la normale. Cependant, ils font appel à ce que la loi établisse des sanctions à l’encontre de ces banques. 

Les banques sont-elles vraiment responsables de cette situation ?


L’union nationale des associations familiales (UNAF) met en évidence la hauteur des couts facturés à ses personnes en difficulté. Il accuse les banques de ne pas avoir tenu compte des agios qui représentent les limites normales de la taxe.

Selon certains banquiers, ces couts pourraient bien être l’équivalent d’un chiffre d’affaires de 6,5 milliards d’euros. Une estimation qui glace le cœur. On constate aussi qu’en général les personnes victimes de ces frais sont des gens qui n’ont jamais eu de problèmes financiers auparavant d’après Mr Tockqué, chargé des questions économiques de l’UNAF. Donc les banques ne contribuent vraiment pas à la réduction de la pauvreté. 

Les banques respectent-elles les lois ?


D’ailleurs, une loi bancaire mise en place depuis 2013 avait déjà plafonné les frais bancaires concernant les paiements refusés et les découverts dépassés et obligeait les banques à faire une offre destinée aux personnes qui ont des difficultés financières courantes. Cette offre avait pour but d’aider les clients à bénéficier d’un service à des prix moyens, l’objectif étant de donner aux clients une carte paiement au lieu d’une carte de crédit et aussi un droit à deux chèques et quatre virements gratuit par mois. Ce qui pourrait contribuer au redressement financier de ses individus. Mais on ne constate pas de changement et ces règles ne sont presque pas appliquées par les banques. 

L’UNAF dénonce les pratiques bancaires


L’UNAF dénonce aussi les couts des lettres en cas de découvert dépassé taxé aux clients d’une valeur de 12 à 20 euros en fonction de la société. Alors que les banques sont tenues de prendre en compte la situation de fragilité financière de leur clientèle. On constate aussi le même problème pour les débits temporaires à hauteur de 20% le taux d’intérêt. Dans toujours sa politique de dénonciation l’UNAF nous affirme aussi que les frais taxés aux clients en cas de dépassement du découvert nommé aussi commission d’intervention sont d’un maximum de 8 euros dont le but étant de rémunéré le travail d’analyse.

L’UNAF donne l’exemple d’une personne client de BNP Paribas qui possède un salaire de 2000 euros auquel la banque a prélevé des frais pour incidents d’une valeur de 3000 euros. Les 60 millions de consommateurs précisent que le prélèvement des frais d’incidences est automatique pour la plupart des personnes en difficultés et nous donne comme exemple la banque CGT. Et ils exigent toujours des sanctions à l’encontre de ces banques. 

Les banques soutiennent-elles leur clientèle ?


L’étude réalisée par l’UNAF montre que la banque postale est la banque qui soutire le moins de frais à ses clients et lui tire ainsi un chapeau. Par contre on dirait que la BNP Paribas ignore complètement l’objet de l’étude, car elle vient d’annoncer l’ouverture de sa nouvelle filiale qui interdit le découvert en vous ouvrant un compte en quelque minute.


La Commission européenne reporte le vote sur l'autorisation du glyphosate


La Commission européenne a eu du mal à trouver un consensus pour aboutir à un vote décisif sur l'autorisation du glyphosate. Conséquence, le vote a été tout bonnement reporté siné dié. Réunis à Bruxelles ce mercredi 25 octobre, les représentants des États membres de l'Union européenne ont eu du mal à parler d'une même voix sur l'épineuse affaire du glyphosate. En effet, l'herbicide très présent dans les environs de Monsanto suscite de vives inquiétudes, car jugé cancérigène. La Commission européenne devra trouver rapidement une date pour pouvoir décider de l'autorisation ou non du glyphosate dont l'homologation arrive à terme en décembre 2017.

Le glyphosate fait jaser de partout

L'affaire de l'herbicide de Monsanto n'a pas fini de faire parler de lui. Il faut dire qu'actuellement le glyphosate est au centre des débats dans le domaine agricole en Europe. Le fait que la Commission européenne ne soit pas parvenue à trouver un consensus sur l'avenir de l'herbicide n'est pas une surprise. En effet, la Commission européenne s'est ajouté une pression supplémentaire, car elle est favorable à une élimination évolutive du glyphosate. 

Une position qui a été décriée et qui a fini par installer une polémique entre les experts scientifiques. Également des pétitions ont été engagées par des acteurs, des associations et des citoyens européens, réclamant vivement son interdiction. Jusqu'ici, près de 1,3 million d'individus à travers toute l'Europe ont apposé leurs signatures sur la pétition. Les effets néfastes de l'herbicide sur des personnes atteintes de cancer ont poussé les familles de ces derniers à engager des procès. Le glyphosate n'a pas fini de faire couler beaucoup d'encre.

Le glyphosate, aimé et décrié

Le glyphosate est une composition de l'herbicide, très utilisée à travers le monde agricole. Il a été intégré sur le marché dans les années 70. Aujourd'hui, il est l'herbicide le plus vendu au monde. Son utilisation est largement répandue surtout en Europe. Il est très apprécié des agriculteurs européens, car leur permettant d'améliorer leur productivité. D'après eux, le glyphosate est mieux que les labours et protège leurs sols. Cependant, l'herbicide est vivement décrié pour da dangerosité, car considérée comme "cancérigène probable" par l'Organisation mondiale de la santé en 2015. 

En 2016, la Commission européenne l'a quant à elle classée comme "sûre". Aujourd’hui, le glyphosate est aimé des agriculteurs, mais très décrié par les experts scientifiques qui clament haut et fort son interdiction. Face à ces menaces d'interdiction, les agriculteurs devront trouver une alternative pour avoir le même niveau de productivité. Les adversaires de l'herbicide devront prendre leur mal en patience, au moins jusqu'au prochain vote de la Commission européenne.

vendredi 20 octobre 2017

Le FMI note une croissance économique mondiale mais reste sceptique sur sa continuité


Optimiste sur la croissance de l’économie mondiale, le FMI, Fonds monétaire International exhorte quand même les pays à prendre d’ores et déjà des précautions pour prévenir les prochains défis et garder cette évolution. Dans le contexte mondial actuel, tout semble se dérouler parfaitement. Dans la plupart des pays du monde, on note une reprise économique matérialisée par les marchés financiers qui se portent bien, la production industrielle qui gagne du terrain, un bon climat des affaires qui s’installe et autres. Dans ses « Perspectives économiques mondiales », le FMI semble avoir de quoi se redonner de l’espoir après toutes ces périodes de vaches maigres. Maurice Obstfeld, économiste en chef de l’institution montre des doutes par rapport à la durabilité de cette reprise économique en mettant en garde les états contre une autosatisfaction surtout au niveau des marchés et des responsables politiques. 

Une croissance économique qui se stabilise


Déjà, au premier semestre de l’année, une hausse de l’économie a commencé par se faire ressentir et elle se confirme avec une augmentation de 3,6 % attendue en 2017 et 3,7 % en 2018. Comparée aux prévisions du mois d’avril, l’institution enregistre une hausse de 0,1 point  de pourcentage. Dans certaines zones du monde comme la zone euro par exemple, la croissance devrait être de 2,1 % en 2017 et de 1,9 % en 2018, respectivement 0,4 et 0,3 point de pourcentage de plus. En Chine par exemple, la croissance devrait atteindre 6,8 % en cette année et 6,5% l’année prochaine. Ces évolutions sont donc fonction de certains critères, entre autres: la qualité des investissements, la production industrielle, une augmentation de la demande interne en Chine, l’amélioration du commerce international... En outre, les promesses non tenues en ce qui concerne la relance fiscale aux États-Unis, le resserrement entamé par la Réserve Fédérale américaine n’ont pas constitué un frein à cette évolution.

Des points de faiblesse


Même si la reprise concerne 75 % de l’économie mondiale, les 25 % restant peuvent créer une entorse au processus à la longue, explique Mr Obstfeld. Dans son rapport, on remarque que les pays émergents peinent toujours à se relever à cause du coût des matières premières qu’ils exportent et qui ne se redressent pas. Au Royaume-Uni par exemple, la croissance qui devrait atteindre les 1,7 % en fin de cette année connait une baisse de 0,3 point en considérant les prévisions d’avril. Cette situation est générée par la dépréciation du livre sterling lors du brexit et une baisse de la consommation interne. Le redressement à moyen terme reste « hautement incertain et dépendra en partie de la nouvelle relation économique avec l’Union européenne », estiment les auteurs du rapport.

Des risques à prévenir


Il existe certaines situations qui pourraient freiner la croissance économique mondiale. Entre autres, une normalisation des politiques monétaires plus soudaine que prévu qui serait une menace, et qui rendrait difficile la sortie de crise des économies les plus vulnérables. Le cas de croissance de la Chine engendre aussi des questions parce qu’elle laisse derrière elle, des dettes pourraient ralentir la croissance mondiale lorsqu’elle n’est pas maîtrisée.



Quand une compagnie américaine (DELTA) fait de l’Airbus A350 son vaisseau amiral


La société DELTA a présenté devant un parterre de journalistes venus des quatre coins du monde son nouveau produit pour les services à bord. Il faut dire que l’évènement en valait la peine, car il s’agissait pour DELTA de montrer une autre dimension pour ce qui est du service à bord de sa compagnie aérienne. Ce nouveau produit sera notamment disponible dans l’Airbus A350. Ainsi DELTA compte faire un grand pas dans ses  services à bord dont il peine à bien gérer à l’image de nombreuses compagnies américaines d’ailleurs.  

L’A350, symbole de montée en gamme pour DELTA


En présentant l’Airbus A350 comme son vaisseau amiral, DELTA compte bien redorer son blason dans le secteur aérien. Ce choix est d’ailleurs très surprenant dans le secteur aérien, puisque DELTA, une compagnie américaine, a porté son choix sur un constructeur européen, en l’occurrence AIRBUS, au détriment de BOEING son rival américain. Il faut dire que la compagnie DELTA apprécie bien le charme des avions Airbus à tel point de les préférer contre ceux de BOEING dont il a été client durant une dizaine d’années. Cet amour de DELTA des avions AIRBUS n’est pas nouveau, car depuis 2008 la compagnie américaine s’est liée avec la compagnie NORTHWEST, cette dernière utilisait dans sa flotte les avions AIRBUS. Donc le choix porte sur l’avionneur européen peut ne pas être si surprenant pour certain. Ainsi plusieurs commandes ont été faites auprès d’AIRBUS jusqu’à même en annuler auprès de BOEING. Précédemment des avions A330 et des A320-321Neo ont été commandés jusqu’à aujourd’hui avec l’A350. DELTA entend se donner une nouvelle dynamique en faisant de cette A350 le vaisseau amiral de sa flotte. Ainsi l’ère où DELTA n’était composé que d’avions BOEING est ainsi terminée. 

Une nouvelle dynamique pour DELTA



En portant son choix sur l’A350, la compagnie aérienne américaine DELTA entend se donner une nouvelle dynamique dans ses services. Dans un premier temps DELTA met en place avec l’A350-900, une nouvelle classe business avec une grande innovation qu’est l’installation de suites. Ces suites, qui ne manqueront pas de charmes, permettent aux voyageurs d’être séparés des autres. Autre nouveauté instaurée par la compagnie c’est en plus des classes affaire et économique, la mise en place d’une autre classe, Premium. D’autres changements et des innovations majeures sont opérés, rien que pour améliorer le service à bord de la compagnie. Par conséquent les 25 nouveaux A350 commandés ainsi que toute la flotte BOEING recevront ce nouveau produit. Le premier A350, reçu depuis juillet dernier, fera son premier vol fin octobre entre Detroit et Tokyo. Les livraisons suivront peu à peu jusqu’à la dernière prévue en 2023. Également d’autres villes verront l’A350 de DELTA comme Londres, Shanghai, Séoul pour n’en citer que celles-là. En choisissant l’A350 comme vaisseau amiral, DELTA entend en faire un outil marketing très efficace pour se faire un maximum de client et surtout à les fidéliser. DELTA compte vivement profiter à fond, des largesses de l’A350 avec le produit à bord installé, pour se faire une place importante dans le secteur des transports aériens.