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Wolfgang Schreiber, PDG de Bugatti, et la persistance du luxe automobile français

Bugatti reste une référence dans le monde de l'automobile. Auréolée par plus de 10 000 victoires en course, un record jamais égalé, cette firme tricolore basée à Molsheim, en Alsace, incarne aujourd'hui encore cet esprit de sportivité et de faste hérités de son flamboyant passé.

L'efficacité énergétique selon Gilles Schnepp, PDG de Legrand

Legrand est un acteur important dans la domotique et les équipements électriques des bâtiments.

Yahoo! et la croissance externe à marche forcée

Pour la première fois depuis deux ans, l’entreprise californienne devance son grand rival Google.

Alain Pons et les ambitions de Deloitte

L’arrivée d’Alain Pons à la présidence de la direction générale de Deloitte France en juin 2010 a changé les perspectives du très réputé cabinet d’audit.

samedi 30 juillet 2022

Diminution de 8% des demandeurs d’emploi au cours du deuxième trimestre

L’emploi continue à bien se maintenir malgré le contexte de guerre en Ukraine et l’inflation qui s’est mondialisée. Sur la base des chiffres de la Dares rendus public ce mercredi, le nombre de demandeurs d’emploi au deuxième trimestre a enregistré une légère baisse par rapport au premier trimestre de l’année 2022.



Dans toute la France pour mieux détailler le nombre d’inscrits à pôle emploi en catégorie A et n’ayant aucune activité, a reculé de 0,8%, soit 26.900 personnes en moins, pour s’établir à 3,165 millions de personnes. C’est vrai qu’il s’agit d’un recul mais qui peut être considéré comme étant sans importance surtout après une chute au premier trimestre de 5%. Ce ralentissement sur un an n’empêche cependant pas la tendance de rester positive, en recul de 15,1%. Cela permet au nombre total de revenir à son plus bas niveau depuis 10 ans. Les autres catégories sont également en baisse. La catégorie B en France métropolitaine diminue sérieusement par rapport au trimestre précèdent, de l’ordre de 4%, il s’agit de personnes exerçant une activité réduite courte. Sur un an le recul se chiffre à 2,8%. Il en est de même pour la catégorie C qui comprend les personnes en activités réduites longues : elle fait également un recul de 2,9% sur un trimestre mais augmente sur un an de 3,3%.

La baisse du nombre de demandeurs d’emploi au T2 2022 continue mais à un rythme relativement lent

Au niveau de toute la France, on note une baisse de 1,7% sur trois mois dans le nombre d’inscrits en catégorie A, B et C. ils sont 5,436 millions de personnes, ce qui constitue le niveau le plus bas depuis le troisième trimestre de 2014. Soit un recul de 96 individus en un trimestre et de 8,9% sur un an. Toutes catégories confondues, le nombre d’inscrits fait une chute d’1,5 % sur trois mois et de 7,8% sur un an passant à 6,184 millions.

Parlant des jeunes, c’est dans les catégories A, B et C que le recul du nombre de demandeurs d’emploi est plus significatif : le nombre d’inscrits de moins de 25 ans a connu une diminution de 2,1% sur le deuxième trimestre et de 14,9% sur un an.

Le chômage de longue durée connait aussi un net recul : en France métropolitaine le nombre de demandeurs d’emploi dont l’inscription fait un an ou plus a connu un recul de 4% au deuxième trimestre -15,2% sur un an à 2,42 millions en catégories A, B et C.  Les demandeurs d’emplois inscrits depuis un an ou plus atteignent 47% soit un recul de 3,4 points sur un. L’ancienneté moyenne des demandeurs d’emplois de ces catégories a aussi connu une baisse de 6 jours sur un trimestre atteignant 680 jours.

Le plein emploi comme objectif sérieux

Il s’agit d’une certaine résistance de l’emploi tricolore que ces chiffres démontrent. Ils ont d’ailleurs été salués très vite par le ministre du travail Olivier Dussopt. Le ministre, concernant la réforme de l’assurance chômage a estimé qu’il est nécessaire d’aller plus loin pour atteindre le plein emploi à l’horizon 2027 soit un taux de chômage avoisinant 5% contre 7,3 présentement.

Qui profite le plus de l’inflation ? La Grande distribution ou les géants de l’alimentation ?



C’est une terrible réplique et un démenti sévère que Michel-Edouard Leclerc a écopé de la part des sénateurs le 19 juillet. Cela fait suite à leur mission-flash initiée à la suite de ses accusations qui se focalisent notamment sur les abus inflationnistes que font des industriels réputés de l’agroalimentaire.  Dans leurs réactions, les spécialistes de la loi Egalim en charge de réguler les relations entre fabricants et commerçants n’ont pas ménagé Edouard Leclerc président du comité stratégique des centres. Pour Anne-Catherine Loisier (UDI), rapporteur de la loi Egalim 2 et co-auteure du rapport, il ne faut pas envenimer la situation avec des déclarations qui ne correspondent aucunement à la réalité du terrain.  

Pour les sénateurs il n’y a pas de phénomène généralisé de hausses anormales des tarifs de la part des industriels et qu’on ne peut parler que de dérapages ponctuels. Ils expliquent qu’en rayons des distributeurs augmentent les prix alors qu’ils ont refusé toute augmentation en amont. Sa stratégie de communication aidant, Leclerc obtient une majorité des parts de marché. Cependant les autres acteurs de la Grande distribution multiplient leurs efforts pour demeurer compétitifs.

Les grandes distributions affinent leurs stratégies. Leclerc se positionne

L’inflation qui a atteint 5,2% sur un an au mois de mai a fini d’impacter le pouvoir d’achat des français. Dans les grandes surfaces également les prix augmentent avec une hausse de 3,81% en mai, tous circuits et produits confondus. Les enseignes de Grande distribution font tout pour booster les opérations marketing et affinent leurs stratégies de communication. Parmi les mieux servis, Leclerc remporte 0,3 point de parts de marché entre mai 2020 et mai 2022 pour un total de 22,4% entre le 16 avril et le 15 mai. En tant que leader de la Grande distribution c’est donc Leclerc qui se positionne.  

 Une enquête de la commission des affaires économiques du sénat a entendu un très grand nombre d’acteurs, le résultat est qu’il n’existe pas de phénomènes massifs de hausses suspectes et de tentatives unilatérales des industriels, en revanche les grands distributeurs sont épinglés pour des pratiques contestables qui ont rapport avec la hausse des prix, des pratiques aggravant l’inflation de la part de certains distributeurs.

Le rapport met en exergue que les fournisseurs ont fait la remarque que certains prix de vente au consommateur final ont connu une augmentation dans les rayons de la Grande distribution alors même qu’elle aurait rejeté au préalable les hausses des tarifs qu’ils demandent.

Des clients qui manquent sans doute de vigilance  

À tort ou à raison on taxe la Grande distribution de profiter d’un contexte anxiogène pour faire passer secrètement des hausses de prix qui enfreignent toute légalité. Des pratiques qui seraient rendues possibles par le fait que les consommateurs s’attendent à constater une forte inflation dans les rayons. Pour le sénat celui qui met en œuvre cette pratique accroit sa marge de manœuvre en jouant sur l’ignorance du consommateur qui ne sait pas si tel ou tel produit a fait l’objet d’une renégociation commerciale en cours d’année et dans quelle proportion. Les acteurs de la distribution continueraient par ailleurs à pratiquer le rapport de force habituel avec leurs fournisseurs.

 

 

 

lundi 25 juillet 2022

Mévente sèche des modèles essence et diesel, le marché européen des voitures méconnaissable

Au deuxiéme trimestre l’impasse dans laquelle s’est trouvé le marché européen a été particulièrement dure pour les ventes de voitures diesel et essence. Au même moment l’arrivée des modèles hybrides et électriques connait un ralentissement.

Sur un an les ventes de voitures à essence ont connu un net recul de 22,2% à 909.000 véhicules ce qui représente 38,5% du marché du neuf au deuxiéme trimestre dans l’union européenne. Ces chiffres ont été publiés par l’association des constructeurs, l’ACEA.



Sur la totalité des marchés, les modèles diesel ont aussi reculé avec 409.000 véhicules vendus dans l’UE (-27,7%) et représentent plus que 17,3 des ventes contre 20,2% sur la même période en 2021.

Sur un marché souffrant de la pénurie de composants électriques, les moteurs à explosion sont soumis à très dure épreuve : les ventes d’automobiles ont quasi-totalement chuté de 14% dans l’Union Européenne au premier semestre de 2022 comparativement à la même période de 2021. Dopées par les bonus et le coup de pouce des constructeurs, les voitures hybrides ont aussi connu un léger recul de leurs ventes dans l’UE (-2,2%) à cause des pénuries et du contexte économique.

Sur le marché globalement, elles expérimentent de nettes baisses en Italie et en Allemagne au trimestre, pourtant elles n’en continuent pas moins de progresser en France, en Espagne, en Belgique ou en Pologne. La part de marché des hybrides est en nette progression au niveau de l’Union : désormais elles représentent 22,6% des ventes.   

Les hybrides rechargeables de leur côté expérimentent une tendance à la baisse débutée fin 2021 (-12,5%) avec une régression assez flagrante en France et en Allemagne alors que leur niveau d’émission de CO2 est douteux car n‘étant pas loin de celui des voitures thermiques. Elles constituent présentement 8,7% des ventes.

Au niveau de l’UE les 100% électriques ont la cote

La vente des véhicules 100% électriques est la seule à progresser (+11%) avec 243.000 véhicules vendus. Force cependant est de reconnaitre un léger ralentissement. Au deuxiéme trimestre, elles ont représenté 9,9% des ventes. Les états membres de l’UE ont adopté fin juin le projet de la commission d’interdire les ventes de moteurs thermiques au profit de véhicules 100% électriques à compter de 2035 afin de totalement éliminer les émissions de CO2 des véhicules neufs à quelques exceptions prés.

La récession constitue à n’en pas douter, la menace principale pour atteindre l’objectif fixé pour 2035 d’autant plus que le marché pourrait encore se réduire. Cependant les constructeurs continuent à financer leur transition sur les ventes de véhicules à essence et diesel.

 

 

 

Du plomb dans l’aile de l’économie chinoise au second trimestre, le « zéro Covid » est passé par là

Au second trimestre 2022 c’est à un véritable effondrement de l’activité chinoise qu’on assiste. Les mesures de confinement strictes et sévères appliquées dans les grandes villes du pays en sont des véritables causes.



Au second trimestre la chine qui est la seconde grande économie mondiale a vu son activité terriblement mise à mal avec 0,4 % au second trimestre selon les statistiques officielles dévoilées par le gouvernement le vendredi 15 juillet.  Ce terrible cauchemar ayant frôlé la contraction est la conséquence des mesures de confinement extrêmes imposées à Shanghai et dans les principales villes du pays. Deux mois d’un confinement sans merci imposé à ses vingt-cinq millions d’habitants fermant les usines environnantes, perturbant les chaînes d’approvisionnement mondiales.

De tels chiffres sont en deçà des prévisions déjà effrayantes des économistes et marquent le ralentissement le plus sévère depuis le premier trimestre 2020 lorsque qu’on y avait enregistré une contraction pendant le blocus de Wuhan. C’est donc un repli évident au regard des 4,8 % de croissance du premier trimestre amenant l’expansion à 2,5 % sur l’ensemble du premier semestre. La révélation est du bureau National de Statistiques (BNS).  Ceci au moment où le président Xi Jinping milite pour une stratégie « zéro Covid » alors que la croissance mondiale est de plus en plus incertaine.

Incertitude de l’objectif de croissance de 5,5 %

La situation de la guerre en Ukraine et la diffusion du variant omicron ont donné au BNS le prétexte d’étaler des réalités. Selon lui l’environnement international s’est compliqué et est devenu plus difficile.   En outre l’épidémie à de nombreuses fois frappé le pays, créant des situations extrêmement graves.  La presse officielle quant à elle s’appesantit sur la résilience de l’économie qui s’est spécialisée et connait un sursaut quelques mois avant le congrès du parti.

 Le mois dernier les ventes de détails ont connu une hausse de 3,1 % compensant plus ou moins la chute spectaculaire de la consommation pendant les confinements et la production industrielle de 3,9 %, tirant profit de la levée progressive des restrictions, donnant un regain d’intérêt à l’activité.

Soutien à l’économie, des mesures s’imposent

La chine à recours aux stratégies et expédients habituels notamment les infrastructures dans le cadre de son adoption de mesure de soutien à l’économie et aux crédits. Cependant compte tenu de contraintes budgétaires nombreuses cette mobilisation peine à faire des résultats. Selon Dan Wang les gouvernements locaux sont très exigeants et sélectifs dans l’adoption des projets parce qu’ils s’inquiètent de leurs niveaux de dette. Aujourd’hui même si la consommation a repris elle n’en est pas moins timide car craignant le risque de nouveaux confinements à Shanghai ou Guangdong où le nombre de cas se multiplie.

Les incompréhensions multiples avec les États-Unis, le volte-face des investisseurs et la vue à l’horizon de la récession mondiale sont autant de facteurs qui viennent perturber l’envol de l’économie mondiale, une économie foncièrement dépendante de ses exportations qui sont toujours dynamiques.

  

 

mardi 5 juillet 2022

Crypto monnaie les apprentis sorciers du crédit dans la tourmente



Actuellement dans le monde avec le développement des nouvelles technologies de l’information et de la communication beaucoup de nouveautés se créent de plus en plus. C’est dans ce sens qu’on a assisté à la création de ce que l’on appelle la crypto-monnaies. Il s’agit d’un mode de paiement qui ne nécessite pas d’avoir de l’argent concret. Tout se fait avec les transactions en ligne. C’est la raison pour laquelle souvent quand il y’a un bug cela paralyse tout le système. Et récemment ces plateformes de Crypto monnaies ont voulu procéder à des prêts et à des rémunérations sans garanties dans le but d’attirer plus de clients. Mais cela risque d’être fatal à certains d’entre eux.

Des propositions intéressantes mais risqués

Certaine entreprise comme Celcius Network proposait dans ce sens des taux d’intérêt qui sont de 18% pour les épargnants mais de 0,1 % pour les emprunteurs. Et le 12 juin passé il a dû faire cesser tous les retraits car n’ayant plus à sa disposition de liquidité. Et trois semaines après cet événement, on note que les fonds ont atteint 11,8 milliards de dollars et cela en mi-mai. Ce qui fait dire à beaucoup que Celcius va droit en faillite et cela est aggravé par le fait que les clients sont devenus méfiants à son égard. Et en dehors de Celsius beaucoup d'entreprises se retrouvent actuellement dans cette situation. C’est l’exemple de Coinflex, de Babel finance entre autres. Et pourtant les offres  sont très bénéfiques pour les clients. Mais aussi bons que cela puisse être si n’est pas stable ça pose problème.

Des enquêtes concernant Celsius

Actuellement Celsius fait face à de très grandes difficultés car 5 états américains au moins ont lancé des enquêtes à son encontre. Il faut noter qu’il y’a de cela quelques temps l’État d’Alabama avait requis un arrêt total de ses activités de la part de la plateforme.  Cela car ils ont remarqué que cela se faisait n’importe comment. Et pour beaucoup, il est important que cette fois-ci la répression soit vraiment sévère afin de régler cette situation une bonne fois pour toute. Et pour d’autres personnes encore plus optimistes, c’est une crise parmi tant d’autres que le secteur de la crypto est confronté et qu’elle va s’en sortir bientôt. Ce qui pourrait même le renforcer davantage que ne le pensent les autres. Mais toujours est-il que des sanctions sont requises.

 

Rémunération selon l’Apec 56 % d'emplois cadres ont été augmentés en 2021



Avec la pandémie, beaucoup d’activités ont été trouvées, l’économie fragilisée. Mais malgré cela, on remarque que la plupart des enquêtes affirment une augmentation des salaires des cadres pendant cette période de 2021. C’est dans ce sens que pour L’Association pour l’emploi des cadres (Apec) pour l’année 2022, une bonne partie des cadres a eu une augmentation de salaires. Et cela est dû en grande partie à l’inflation qui sévit actuellement. Ce qui n’a jamais été atteint depuis des années. Ce qui arrange beaucoup ces cadres qui peuvent envisager de faire des économies dans  le cadre d’investissement futur.

L’inflation un facteur important

Avec cette situation inflationniste qui devrait avoir l’effet inverse, les cadres eux ne se plaignent pas pour autant de cette situation. En effet l’inflation a permis aux entreprises de tirer les salaires dans le but d’hausser la pression vers le haut. Ce qui a fait qu’en ce moment plus de 46 % des cadres ont eu une augmentation en 2021. Cela contrairement à 2021 ou on avait une augmentation de seulement 38 % des cadres. Aussi l’Association ajoute que cette situation pourra aller de mieux en mieux aussi avant la fin de 2022. Cela car le baromètre annuel des rémunérations est favorable à cela. Il est aussi important de préciser que le nombre de cadres a beaucoup augmenté. Actuellement leur salaire annuel brut peut aller jusqu’à 51 milles euros contre 50 milles en 2020. Entre 2018 et 2020, il n'y a pas d’augmentation majeure.

La rémunération toujours objet de divergences

Il est primordial de rappeler que même si les salaires augmentent, les besoins aussi augmentent surtout avec la cherté de la vie dû à la guerre en Ukraine. À cela s’ajoute-le fait que beaucoup pensaient recevoir des augmentations mais cela n’est pas toujours le cas. Donc malgré tous les efforts qui sont en train d’être déployés, il en reste encore beaucoup à faire. Donc même si le nombre de cadres augmente, cette augmentation n’est pas totalement prise en compte au niveau des rémunérations de ces nouveaux arrivants.

 

vendredi 1 juillet 2022

Droits voisins : fin du contentieux entre Google et la presse



Il y’a de cela quelques temps, Google était confronté à des problèmes de droits voisins avec la presse. C’est dans ce cadre que l’autorité  de la concurrence a clos le dossier des droits voisins récemment.  Et cela après que Google est assuré du respect de ses engagements. Depuis plus que deux années que cela dure, il était grand temps pour beaucoup que cela puisse cesser. Mais si Google respecte ses engagements qui lui ont été fixés par ‘Autorité de la concurrence français. Il est important de préciser que cette même autorité avait fixé des peines à son encontre en 2021 consistant en une amende de 500 millions d'euros. Ces droits voisins calculés et discutés avec les maisons de presse devraient finalement résoudre ce problème. C’est dû à leur volonté ferme d’atteindre ce résultat que les négociations se sont poursuivies d’après les dirigeants de Google.

Fin du contentieux

C’est une énorme victoire pour les média français, d’abord d’arriver au terme de cette affaire, ensuite d’obtenir ces droits voisins de la part de Google. Cette affaire a duré plus de deux ans avec des problèmes complexes et assez difficiles à résoudre pour la Haute Autorité de la Concurrence. Désormais des droits voisins qui sont équitables et de bonnes fois sont établis entre le géant américain et la presse française. Beaucoup de points ont été ainsi résolus. De ce fait, le géant américain accepte désormais de discuter avec tous les éditeurs de presse que ce soit de radio ou encore de télévision mais aussi les agences de presse. Mais pour ce qui est des droits voisins, le sujet est clos, le géant américain ne pourra plus en aucune manière négocier cela. Il lui suffira d’envoyer les renseignements qui seront nécessaires pour l’éditeur qui va pouvoir fixer les revenus qui lui sont dus. Mais il est important de préciser que ce mode de calcul est le même pour l’ensemble des acteurs qui sont concernés par cela.

Des nouveautés dans cet accord

Il faut le préciser, cet accord ou encore cette décision n’est pas dépourvu de nouveaux éléments. Il s’agit de la désignation d’un mandataire indépendant. Ce qui veut dire que cette tiers personnes ne peut nullement être ni du groupe de presse ni de Google. Ce dernier sera chargé de conserver les données qui lui seront transmises par Google. Il s’agira des données que ce dernier refuse de placer entre les mains des éditeurs de presse, par exemple les montants de ses revenus publicitaires qui lui viennent de ses moteurs de recherches. Cela s'explique par le fait que ces informations sont considérées comme étant confidentielles. Cette personne qui a été introduite permet aux deux parties de se faire confiance mutuellement dans leurs relations. Donc en dehors des 150 accords qui ont été signés avec les médias, cette nouveauté est aussi très magnifiée. En procédant ainsi certains pensent que malgré la longue durée du traitement de l’affaire, l’Autorité de concurrence a fait preuve d’une grande ingéniosité.

Convoqués à Washington sur l’envolée de l’essence, les raffineurs sans solutions miracle



Il y’a de cela quelques temps aux États-Unis, le gouvernement du Président Joe Biden a eu une altercation avec les raffineurs d’avoir et de cacher des profits à l’insu des automobilistes. Mais jeudi passé en se prononçant encore sur la question, il a adopté un ton qui est plus conciliant. C’est dans ce cadre qu’il leur a demandé de faire tout pour booster davantage leur production. Afin de faire baisser l’essence. Mais des solutions concrètes n’ont pas encore été proposées. Cela fait de l’augmentation de plus en plus croissante des prix des hydrocarbures.

Une augmentation des prix

Il est important de noter que cela est dû à la crise mondiale. Cette situation affecte actuellement même les plus grandes puissances dans le monde. Et cette montée des prix n’est pas u  argument politique qui va à l’avantage du Président Joe Biden s’il souhaite être réélu. Cela car les géants ont longtemps été accusés par celui-ci de faire de l’enrichissement sans cause. D’après un compte rendu  d’une réunion précédente entre la ministre américaine de l’énergie et les 7 grands raffineurs, ceux-ci ont été sommés de faire tout pour que les prix puissent baisser. Et pour cela, ils ont proposé de faire en sorte que les raffineries puissent bénéficier d’une meilleure préparation d’autant plus que la côte est à la saison des ouragans. Mais il faut préciser qu’aucune mesure concrète n’a pas encore été prise. Cela car des mesures efficaces nécessitent beaucoup de temps.

Des décisions à venir

Selon beaucoup les discussions ont été fructueuses. Selon eux, les futures décisions peuvent être prises sous peu. En effet, au lieu d’adopter un ton accusateur cette fois, mais au contraire, le gouvernement a été plus négociateur cette fois-ci. Cela intervient après que certaines plateformes ont accusé le gouvernement de vilipender et de minimiser le secteur. Mais cette crise a fait comprendre à plus d’un que  le monde d’aujourd’hui ne peut fonctionner sans les hydrocarbures. Cela a été aggravé par le fait que récemment le Président avait participé à une réunion sur l’éolienne et non sur les énergies. Cela alors que beaucoup de plateformes avaient proposé à celui-ci de venir visiter leurs activités. Mais en dehors de ces éléments, le gouvernement semble avoir revu sa position. Donc prendre des décisions dans ce sens s’avère plus que nécessaire pour l’économie du continent. Les automobilistes pourront ainsi souffler un peu.