Lumière sur Steve Ballmer, lieutenant tonitruant de Bill Gates

Steve Ballmer est à la tête de Microsoft depuis 2000 après le retrait de son fondateur, Bill Gates.

Wolfgang Schreiber, PDG de Bugatti, et la persistance du luxe automobile français

Bugatti reste une référence dans le monde de l'automobile. Auréolée par plus de 10 000 victoires en course, un record jamais égalé, cette firme tricolore basée à Molsheim, en Alsace, incarne aujourd'hui encore cet esprit de sportivité et de faste hérités de son flamboyant passé.

L'efficacité énergétique selon Gilles Schnepp, PDG de Legrand

Legrand est un acteur important dans la domotique et les équipements électriques des bâtiments.

Yahoo! et la croissance externe à marche forcée

Pour la première fois depuis deux ans, l’entreprise californienne devance son grand rival Google.

Alain Pons et les ambitions de Deloitte

L’arrivée d’Alain Pons à la présidence de la direction générale de Deloitte France en juin 2010 a changé les perspectives du très réputé cabinet d’audit.

vendredi 23 décembre 2022

De grosses interrogations sur la plateforme Binance

 


Qu’est-ce qui se joue chez Binance ? La plateforme d’échange fait les titres de plusieurs médias. La chute de la société FTX a mis en alerte tout le monde. Les principaux concernés que sont les plateformes suscitent désormais beaucoup de méfiance. Ces évènements récents qui ont marqué l’actualité de la cryptomonnaies ont suscité beaucoup de doutes à l’encontre des autres plateformes. Notamment Binance Exchange.


Qu’est-ce qui se passe sur la plateforme ?

 

Il est intéressant de rappeler que Binance a multiplié les preuves pour démontrer aux yeux de tous qu’elle était opérationnelle au niveau de ses comptes. Et prouver ainsi qu’il ne fallait pas s’inquiéter. La firme d’échanges voulait démontrer que ces bitcoins et ceux des clients d’ailleurs étaient bien réels et présents.

La communauté de la cryptomonnaie, n’est cependant toujours pas satisfaite. En cause, le PDG de la plateforme a récemment donné une interview dans laquelle il se retrouve embarrassé par la question de savoir, s’il pouvait montrer la disponibilité de l’argent qui est présent sur les comptes de la plateforme. Pour une somme de 2 milliards de dollars, Changpeng Zhao n’était vraiment pas en phase avec la question de la dame.

Le PDG a donc fait allusion à un éventuel versement de FTX. Pour cela, mais certains commentateurs sur Twitter ont compris qu’il s’agit d’un système mis en place. Récemment, la firme a procédé à un retrait de plus de 3 milliards sans ambages.

 

La société chargée de l’audit chez Binance se désengage

 

Mazars, le groupe qui se charge de l’audit chez Binance vient donc de se désengager de la plateforme en supprimant de son site les liens et les pages qui renvoient à la plateforme. Celle-ci a estimé ne plus vouloir faire des deals avec les plateformes de cryptomonnaie. Le PDG de la plateforme actuellement dans la tourmente reconnaît des manquements en ce qui concerne l’adaptation des entreprises d’audit dans le secteur de la cryptomonnaie.

 

Les réserves de Binance sont conformes, selon CryptoQuant. La firme considère qu’il ne faudrait en nul cas comparer les déboires de la société FTX aux actions menées par Binance.


Il y a donc autour de Binance des inquiétudes qui sont liées d’abord à la chute de FTX. Aussi, les inquiétudes sur la communication de la plateforme Binance. Les désistements de certaines sociétés d’audit. La plateforme assure vouloir donc prouver sa fiabilité, en projetant de constituer plusieurs réserves d’ici là.

 

 

Les géants de la Silicon Valley en crise



Une crise au sein de la Silicon Valley, c’est ce qui pourrait arriver d’autant que les grands groupes connaissent une période quelque peu tourmentée.

Pour illustrer ces allégations, il y a eu des récentes opérations de licenciements au sein de gros groupe tel que Twitter, qui a eu à mettre à la porte près de la moitié des salariés au moment de l’arrivée de Elon Musk à la tête du groupe. Ce cas est symbolique de la mauvaise période actuellement chez Twitter.

Les concierges aussi se voient mettre sur le carreau. Un cas parle de lui-même, celui d’une concierge rencontrée par RTS devant le groupe Twitter se plaignant du fait que Twitter ait embauché d’autres concierges en cette période de fête celle-ci se retrouve sans emplois.


Des méthodes de licenciements brutales


Twitter, par ces méthodes montre un faible intérêt pour les salariés qui se sentent trahis par leurs ex-employeurs. Adoptant des méthodes assez brutales lors du licenciement des employés. Twitter ne prend donc pas en compte le profil de chacun de ses employés, lorsqu’il s’agit de les licencier. Ces méthodes ne laissent personne indifférent dans la Silicon Valley.

 

Des milliards chez Meta

 

D’autres entreprises ont licencié comme Twitter à la Silicon Valley. C’est une bonne partie des effectifs de l’entreprise qui a pris la porte du côté de Méta. Des problèmes liés aux investissements qui n’ont pas toujours été bien placés, Mark Zuckerberg, ne fait pas l’unanimité avec méta il a investi considérablement sans en avoir le résultat espéré.

 

La montée temporaire d’Amazon

 

En effet ce géant de la Silicon Valley, fait également des mises à jour dans ses effectifs. Ce ne sont pas moins de 10 000 personnes qui ont été remerciées par Amazon. Tout comme les autres, le géant de la vente a également sabré une grande partie de ses effectifs.

 

Amazon pendant la crise sanitaire s’est vu avoir une meilleure croissance. Cette croissance fulgurante au moment de la crise révèle aujourd’hui une autre réalité. En effet, depuis la fin de la « pandémie », l’entreprise ne connaît plus les mêmes hausses qu’à un moment donné.


Des employés risquent l’expulsion, s’ils ne trouvent pas un nouvel emploi d’ici là. Une vague qui pourrait en effet faire beaucoup plus de dégâts. Dommageable pour les États-Unis.


Benoît Bergeret, affirme qu’il faut relativiser sur le ralentissement des géants de la Tech aux USA.

 

lundi 19 décembre 2022

Europe : Le spectre de la récession



La hausse des prix et l’inflation font beaucoup de mal aux opérateurs économique et notamment les industriels et le consommateur lambda. Cette inflation touche vraiment, et augmente de jour en jour. Beaucoup d’économistes se demandent donc si après la période d’inflation, va-t-il y avoir une récession après l’inflation. 


Les économistes se posent alors des questions quant à l’avenir de la situation économique en France. Les Français subissent de plein fouet une crise sans précédent, cette situation inquiète les différents acteurs dirigeants comme industriels. Les mêmes questions reviennent, il y aura-t-il récession en France ? Tout prête à croire qu’effectivement, une récession est attendue d’ici là.

Le patron des groupes Leclerc avait annoncé, une inflation à deux chiffres pour 2023, nous y sommes presque. À la rentrée, les Français savent qu’ils devront encore fournir plus d’effort pour subvenir à leur besoin.


L’évaluation de l’inflation par les Français
 

Des estimations faites par l’Insee sont battues en brèches par une certaine franche de la population française qui ne croit pas aux chiffres de l’Insee. Les Français croient à un taux plus élevé de l’inflation. Les caissières par exemple endurent des difficultés. La plupart des Français savent qu’à la rentrée les taux liés à l’inflation seront toujours aussi hauts. Beaucoup estiment ainsi que l’inflation sera encore présente en 2023. Une note du Rexecode expliquait qu’une possible récession arriverait au courant de l’année 2023.

 

Une croissance négative temporaire

 

François Villeroy de Galhau fait savoir que la récession serait donc d’une courte durée si elle advenait. Or certains indicateurs ne font pas réellement état d’une récession pour 2023 en France. Les divers opérateurs, tel que les ménages et les entreprises sont eux aussi très pessimistes en ce qui concerne une possible récession de la France en 2023. Les entreprises sont encore plus pessimistes à l’idée qu’il y ait une récession au courant de l’année prochaine. Pour des raisons, diverses et multiples.

 

Christine Lagarde expliquait que l’inflation n’avait pas encore atteint son maximum. Selon le Financial Times, qu’il y a un excès de pessimisme en Europe concernant la récession ! Nous observons ainsi une légère baisse de l’inflation et un léger recul de la croissance. Une baisse qui apparaît pour la première fois depuis un bon moment.


On parle de récession, lorsque l’activité économique connaît donc une tendance négative. Il s’agit alors d’une croissance négative à ce moment-là.

Épargne logement : Que choisir ?



Pour votre épargne, il y a plusieurs qui s’offre à vous. Vous avez l’ambition de constituer une épargne et ne savez pas sur quel dispositif miser. Il y a des dispositifs pour vous. Des épargnes logements existent pour vos différents plans. Il existe ainsi deux dispositifs d’épargne logement qui pourront vous correspondre assurément. Des épargnes logement qui ont été revues et réévaluées pour mieux correspondre à vos attentes. Par exemple le CEL, qui a été revu. 


L’épargne logement chronologiquement parlant


Des comptes ont été revus, suite à une réforme des comptes épargnes datant de 2018. Désormais, certains des dispositifs ont également changé du fait de ces réformes. Les comptes créent au courant de l’année 2018 étaient déjà imposable, mais des changements sont survenus. De ce fait, les comptes datant de 2018 ont eux connu des changements.


Comme en 2016, des comptes PEL ont ainsi connu une petite modification. Au sens, où ces comptes ont perdu en taux d’intérêt, les taux d’intérêt de ces comptes ont baissé jusqu’à un taux exceptionnel de 1 %. En ce qui concerne le CEL, la tendance a été tout autre. Ces comptes ont connu une tendance tout d’abord élevée avant de chuter par la suite. C’est au cours de l’année 2020 que la tendance a vraiment été significative, passant d’un taux de l’ordre de 0,25 % à un taux supérieur c’est-à-dire 1,25 %. Ce taux de 1,25 % est encore d’actualité en ce moment.


Mais quels sont exactement les avantages pour ces différents comptes destinés au logement. C’est donc ce que nous allons vous expliquer plus clairement ici.

 

Le PEL

 

Le PEL se distingue d’abord par sa véritable simplicité. Il s’agit d’un placement, qui ne demande aucuns frais. Ce système présente des avantages de sûreté pour le client. L’épargne dans ce compte est assurément protégée par l’État. De plus, de cela il n’y a pas à débourser pour des frais supplémentaires par exemple pour la gestion ou encore le dépôt.


Le CEL


Là encore il n’y a pas besoin d’avoir peur pour un quelconque risque, les frais d’ouverture ne sont tout simplement pas présents.

 

vendredi 9 décembre 2022

EDF : La nationalisation prorogée



En raison de plusieurs recours, la nationalisation de EDF est toujours incertaine. La durée de l’OPA a ainsi été prolongée par l’État français pour le rachat de l’entreprise. Des actionnaires par ailleurs minoritaires qui ont fait un recours en justice sont cités. L’offre de rachat est donc prolongée, sans qu’on ne puisse connaître la date de la fin. Une annonce du gendarme de la bourse. L’achat des actions, par l’État français devaient en principe prendre fin le 22 décembre. L’autorité en charge des marchés financiers annonce, qu’une date sera dévoilée si modification il y’a. 

Des batailles sont ainsi menées par des actionnaires qui contestent le prix d’une action EDF. Ils index ainsi, la sous-évaluation du groupe EDF. Pour eux, cette situation est totalement anormale vu qu’elle a été anormalement pénalisé par le même État français. Cette situation oblige le fournisseur d’énergie à vendre du courant à un prix bas. 

Provoquer l’échec de l’OPA 

En bourse l’autorisation avait été donnée en novembre pour l’achat. Ce projet, avait fait l’objet d’un rapport qui a fait valider la possibilité de rachat compte tenu du rapport. Mais, le 2 décembre une demande a été faite par recours pour l’obtention d’un sursis par rapport à cette autorisation d’achat faite par le
gendarme de la bourse. Les demandeurs en recours auprès de la cours d’appel, demandent ainsi l’annulation de la décision. Ils estiment ainsi que le prix de l’action ne reflète en rien la vraie valeur de EDF. C’est un groupe d’actionnaires de premier plan qui sont à la baguette, mené par Martine Faure la présidente.

Déposer auprès du tribunal du commerce et la cour d’appel de Paris, le recours doit en principe être évalué vendredi par des juges. Les actionnaires menées par leur leader Mme Martine Faure, réclament une hausse du prix de l’action en espérant être cette fois jugé sur la base de faits concrets. D’autres associations, soutiennent le mouvement, L’association de défense pour les actionnaires a par exemple fait une requête auprès du Conseil d’État. L’association explique que les modifications ne doivent pas se faire par le gouvernement.

 

Wirecard : Markus Braun sera jugé



Un scandale en Allemagne, celui de Wirecard. Ce sont presque les mots d’Olaf Scholz, l’actuel chancelier. Le procès s’ouvre donc ce jeudi, et se poursuivra encore pour 2024. Les faits remontent donc à 2020, Le prestataire qui devait être la nouvelle référence, si la faillite n’avait pas provoqué son déclin. Le prestataire du secteur du numérique et des paiements, s’est apparemment bien payé la tête de tout le monde. 

Des accusations lourdes visent ainsi, l’ancien dirigeant de Wirecard. En effet, Markus Braun se verra être jugé. Accusé de plusieurs chefs d’accusation, notamment des abus graves. D’autres membres seront également jugés aux côtés de M. Markus Braun. Il s’agit eux dirigeants et anciens collaborateurs du dirigeant. Néanmoins, l’un des membres qui devait être présent est en cavale, Il s’agit de l’ancien bras droit de Markus Braun. 

Un escroc chef de bande  

Âgé de 53 ans, cet homme de nationalité Autrichienne est tenu en détention pour l’enquête. Le présumé coupable nie tout en bloc, il se dit au contraire être la victime. Lors des questions, de la commission parlementaires l’homme n’a pas voulu intervenir plus que cela. 

Pourtant, reconnu comme étant l’un des principaux auteurs de la réussite de Wirecard depuis qu’il avait pris les rênes de l’entreprise en 2002, la hissant à des sommets inimaginables à l’époque pour cette petite start-up. Markus Braun, avait réussi à propulser cette start-up au sommet de la bourse devant des géants comme Deutsche Bank. Ce dernier, détenait une bonne partie des actions. En ce temps-là, il se faisait un plaisir de garder une petite ressemblance avec un certain Steve Jobs. 

Cette époque est bien révolue, le temps est venu pour lui de se faire juger par les tribunaux. Il n’est plus le sage informaticien, mais désormais un escroc à la tête d’une bande accusé d’abus graves. Des dirigeants de Wirecard ont faits des révélations concernant le montant des actifs estimé à 19 millions d’euros. Ce qui n’était qu’une illusion, incontestablement. La somme ne représentait en rien le montant des actifs. 

Le monde politique s’en mêle 

L’affaire connaît un écho dans la sphère politique. Les comptes frauduleux de Wirecard n’ont pu être décelé par les autorités financières au moments des questions et de l’enquête. Le superviseur a donc vu sa réputation prendre un coup.

L’autorité en charge des marchés financiers se dit désolé de ne pas être intervenu plus tôt, elle reconnaît ainsi ses insuffisances.

 

lundi 5 décembre 2022

Crise de l’énergie : Le gouvernement prévoit des mesures drastiques pour cet hiver



Afin de réduire la consommation électrique, le gouvernement d’Elisabeth Borne envisage clairement de prendre des mesures drastiques comme les coupures d’électricité. Tandis que les températures continuent de baisser.

Des messages très alarmistes

En Janvier, RTE l’annonce il y’aura une baisse de l’alimentation électrique dû au redémarrage plus lent de réacteurs nucléaires d’EDF. Cette annonce vient raviver la crainte de coupure.  

Le distributeur de l’électricité aux ménages et aux entreprises Enedis souligne, qu’il s’agira d’un scénario totalement inédit. Cependant, RTE envisage dans ces circonstances de recourir à une sorte de météo de l’électricité par le moyen du dispositif EcoWatt. Le système permet ainsi de prévenir d’un risque de coupure d’électricité trois jours avant. Pour éviter les black-out et la panne généralisée et incontrôlable, il faut faire recours au délestage selon Enedis.

Les explications du gouvernement français  

Le Mardi 29 Novembre, la premier ministre Elisabeth Borne définissait les contours de cette éventualité que le gouvernement prends apparemment au sérieux. Les départements devrait clairement être touchés, par ses coupures intempestives qui dureraient pas moins de deux heures consécutives. Ces délestages, auront lieu à des heures stratégiques notamment aux heures de pics de consommation. c’est-à-dire de « 8 heures à 13 heures et de 18 heures à 20 heures » comme le rapporte le Parisien ce mercredi. 

Selon, le Parisien toujours les alertes devraient être signalées trois jours avant à l’aide de l’application EcoWatt. Un effort de communication du gouvernement, qui demande de télécharger l’application. Le but serait de prévenir en amont les ménages.

Les délestages comme ultimes recours 

Le porte-parole du gouvernement Olivier Véran déclare que les jours de grand froid sont les jours les plus demandeurs en électricité. Il utilise le conditionnel pour nous faire passer le message selon lequel « il se pourrait que la production et la demande d’électricité ne soit pas totalement alignées certains jours de grand froid… »

Les français consomment plus d’énergies et d’électricité pendant les pics de consommation de 8h00 à 13h00 et de 18h00 à 20h00, où les français se chauffe, travaillent etc…Le dernier recours serait le délestage, au cas où les baisses de tensions qui permettent d’économiser 4% de consommation ne suffisent pas. En effet les distributeurs peuvent avoir recours à cette méthode de baisse de tension d’au moins 5%. Les délestages se font sur demande de RTE à Enedis.

EcoWatt au cœur de la stratégie

Le gouvernement compte beaucoup sur Ecowatt pour prévenir les délestages. L’application compte déjà 300. 000 personnes inscrites sur ses alertes. Un dispositif permettant de s’informer de la situation en temps réel au cas où la situation deviendrait tendue.

Dans la nuit de mardi à mercredi RTE a constaté une diminution de la consommation d’électricité de 6,7 % par rapport aux années antérieures (2014- 2019).   

RTE note encore que les données révélées sont alignées sur les températures normales pour la période, En prenant en compte le fait que les températures sont bien supérieures aux normales (de saison) depuis plus d’un mois.

La Tech respire en Bourse



Sur la place parisienne, les champions de la Tech font une grande progression. Jerome Powell donne ainsi des preuves de cette progression. Les titres des groupes technologiques évoluent en nette hausse. Bien plus que le luxe un peu plus tôt.

Les géants de la tech, font donc grimpés leur titres au CAC 40. Il s’agit entre autres de ATOS qui vers 10h40 a considérablement progressé, Soitec a également signé une hausse, le groupe Dassault Systèmes fait un bien meilleur score. 

Jérôme Powell, Président de la Réserve Fédérale. Est donc à l’origine de cette embellie ses mots. Qui ont un impact sur la hausse des titres.


Plus de souplesse pour Jerome Powell


Mercredi soir, dans son discours, le Banquier indique que la progression des taux d’intérêt devraient ralentir et cela pourrait arriver dès Décembre. 

Son discours est ponctué d’espoir avec ces paroles qui rassurent. Le président affiche une confiance par rapport à  l’évolution de la situation économique américaine. Comme le montre Alexandre Baradez.

Ainsi, sur le marché secondaire les taux d’intérêts pour la dette des États-unis ont clairement chuté. Peu après l’intervention de Jerome Powell, il y’a eu une détente sur les taux synonyme de soulagement. Les bénéfices du trésor tombent de façon considérable. D’ailleurs, la bourse américaine a connu une légère hausse de sa valeurs lors de la clôture en milieu de semaine.


Une détente souhaitée


Les détentes observées sur les taux d’intérêts américains liée au déclaration du président. Porte l’ensemble du compartiment technologique. Ceci s’est encore confirmé ce mercredi, affirme l’expert Sébastien Sztabowicz.  

« La macroéconomie influence beaucoup les actions des groupes de technologies, ainsi les valeurs avec des hausses de taux d’intérêts. Sont meilleurs pour la croissance de la bourse, notamment lors de la hausse des taux d’intérêt rapportés par les obligations ». 

Selon un analyste anonyme, la progression qu’a connu le groupe Salesforce est aussi un moyen de maintenir la hausse. Atos renforce sa collaboration avec Amazon Web Services, dans un accord mondial. 


Soitec valide sa nouvelle technologie


Soitec avec le groupe STMicroelectronics, ont annoncé un accord sur une nouvelle technologie de substrats de silicium (SiC). Un composant clefs, pour l’industriel. 

STMicroelectronics va ainsi adopter cette nouvelle technologie de substrats de silicium. Pour une nouvelle gamme de substrats dans les mois avenir.

« La transition apportera des avantages considérables aux clients, notamment les constructeurs dans le domaine de l’automobile». Déclare Marco Monti.

 

 

mardi 8 novembre 2022

Chute de l'économie de la zone euro en octobre, l'activité économique française au point mort



L'activité du secteur privé dans la zone euro a subi sa pire contraction en près de deux ans en octobre, pour un quatrième mois consécutif ; la crise du coût de la vie ayant pesé sur la demande en rendant les consommateurs plus prudents. Cependant, l'économiste chez S&P global Joe Hayes, a averti qu'en France, « les perspectives s'assombrissent » si l'activité du secteur privé reste résistante.

De sombres nuages ​​devraient s'amonceler sur l'économie européenne. Dans le secteur privé, la baisse de l'activité économique dans la zone euro s'est fortement accélérée en octobre, selon l'indice Flash PMI de S&P Global publié lundi. L'indice, basé sur des enquêtes auprès des entreprises, est tombé à 47,1, son plus bas niveau en 23 mois, après 48,1 en septembre et 48,9 en août. Un nombre inférieur à 50 indique une contraction de l'activité, tandis qu'un indice supérieur à ce seuil indique une augmentation de l'activité.

Il s'agissait du quatrième mois consécutif de baisse pour l'indice de la zone euro, dans un contexte de flambée des prix, alimentant les craintes d'une récession en Allemagne et dans la région dans son ensemble. Dans un rapport, Chris Williamson a averti : « Le déclin accéléré de l'activité économique en octobre et la détérioration de la demande ont annoncé une contraction de l'économie de la zone euro au quatrième trimestre, avec une récession dans la région semblant de plus en plus inévitable.», économiste chez S&P Global Market Intelligence.

Selon lui, la baisse de l'indice PMI en octobre correspond à une baisse trimestrielle du produit intérieur brut (PIB) d'environ 0,2 % au quatrième trimestre. « La demande continue de baisser à l'approche de l'hiver et les entreprises s'inquiètent des niveaux de stocks élevés et des ventes plus faibles que prévu », a exprimé l’économiste de S&P Global Market Intelligence.

«Le risque d'une nouvelle aggravation de la contraction de l'activité économique dans les mois à venir apparaît élevé», a-t-il averti, anticipant l'impact d'un éventuel resserrement monétaire de la Banque centrale européenne. Alors que la BCE accepte désormais le risque d'une récession face à l'urgence de freiner l'inflation, elle s'apprête à une nouvelle hausse des taux jeudi pour un coup de poing.


L'Allemagne a inscrit la plus forte contraction


S&P Global a observé que : si les pressions sur l'offre se sont considérablement atténuées, la flambée persistante des prix de l'énergie et la dévaluation de l’euro alimentent les pressions inflationnistes, feront grimper les coûts des entreprises et emporter la production manufacturière. L'institut a ajouté que « la crise du coût de la vie et l'incertitude économique générale » ont également pesé sur les dépenses de consommation, alimentant une nouvelle baisse de l'activité du secteur des services en particulier.


Parmi les pays de la zone euro, l'Allemagne a de nouveau connu la plus forte contraction de l'activité du secteur manufacturier et des services en octobre, son indice des directeurs d'achat tombant à 44,1, le plus bas niveau depuis juin 2009 si on exclut les mois de la Pandémie de covid19.

mardi 25 octobre 2022

Le PIB français à la hausse



Une croissance 0,2% a été prévue durant le troisième trimestre par l'Insee, suivie d’un arrêt de la croissance pour le dernier trimestre. Néanmoins, une croissance de 0,5 a été observée. La banque de France affirme que malgré les crises énergétiques, les problèmes d’accès au gaz et toutes les difficultés liés, l’activité économique continue de marcher et faire face. Sans oublier de faire savoir que le secteur industriel est plus touché. À en croire la banque de France, contrairement d’aout, l’activité industrielle se porte mieux au mois de septembre. À la fin de ce dernier, le secteur industriel a fait face à la difficulté avec notamment l’augmentation de la valeur ajoutée… L’ajout de valeurs ajoutées a conduit à la hausse des prix, créant ainsi des incertitudes auprès des patrons d’entreprises. Les patrons d’entreprises et leurs équipes travaillent au bon déroulement et la stabilité de leurs activités pour le mois d’octobre.

Valeur ajoutée sur les produits et les prix

La hausse des prix pour les produits appelés finis n’est pas passée inaperçue. La banque de France en parle, car cette hausse résulte d’une part de l’augmentation de la valeur ajoutée sur les produits et une sorte de rattrapage appliqué durant l’hiver. Une augmentation des prix que les chefs d’entreprise ne nient pas. Ils sont 43% à dans l’industrie agro-alimentaire à affirmer avoir revu à la hausse le prix de leurs produits. C'est également le cas dans l’industrie du bois et du papier, mais aussi dans le bâtiment… On devrait assister au mois d’octobre à une légère baisse des prix qui ferait passer les services à 20% et le bâtiment à 44%.

La banque de France continue de nous informer sur les difficultés que rencontres les entreprises à s’approvisionner en énergies même s'il est inférieur au pic d’avril. La hausse des coûts de l’énergie et des matières premières fait subir aux entreprises des périodes difficiles. Et cela concernent toutes les tailles d’entreprises. Que ce soit les grandes entreprises et les PME. Cependant, les dégâts ne sont pas les mêmes dans tous les secteurs. L'industrie pharmaceutique, celui des équipements électriques et du bois sont entre autres les secteurs les plus touchés. Selon François Villeroy malgré une résistance des services face aux difficultés, l'industrie quant à lui souffre de plus en plus, car ses activités sont rattachées à l’augmentation des prix énergétiques qui comptent beaucoup plus sur l'industrie.

La Banque d'Angleterre en soutien avec de nouvelles mesures aux marchés

En réponse aux conséquences des actes du gouvernement de Liz Truss, la banque d’Angleterre a fait savoir ce lundi qu’il envisage de mettre en place des mesures qui permettraient de veiller sur la stabilité financière des zones économiques ayant subi les crises économiques.

Après avoir lancé un programme de rachat pouvant atteindre les 65 milliards, une hausse de 10 milliards des achats est envisageable par la banque d’Angleterre. Toutefois, elle n’a jusque-là acheté que 5 milliards de livres sterling en bons. La banque envisage par ailleurs d’autres actions dans le but de s’assurer que la liquidité existe toujours sur le marché.

 

La banque d'Angleterre intervient à nouveau dans la situation économique du pays



Auparavant, un programme destiné au rachat de bon de trésor avait été lancé par la banque centrale. Elle avait débuté le 28 septembre, et cela, à long terme. À noter que ce rachat pouvait atteindre les 65 milliards de livres sterling. Ce lundi, la banque centrale a atteint les 10 milliards quotidiens en opérations. Néanmoins, les dettes de l’Angleterre sont toujours en hausse, et ses dettes sur trente ans ont connu une augmentation de taux de 4,80%.

En vue de ses prévisions fréquentes qu’elle fait, le Fonds monétaire international a tenu une conférence de presse ce mardi, au cours de laquelle elle est revenue sur le rôle des banques centrales dans le maintien de la stabilité financière.

Des dettes à la hausse

Avec un taux d’emprunt aussi élevé et constituant les efforts du gouvernement britanniques, on assiste malgré tout à une chute de la valeur de ses actions.

Beaucoup de fonds d’investisseurs font appel à des stratégies LDI ("Liability driven investments") appelle en français : les politiques d'investissement et les décisions de gestion d'actifs axées sur le passif. C’est une stratégie d'investissement basée sur les flux de trésorerie nécessaires pour financer les passifs futurs. Et dans ce cas précis, il s’agit des dérivés des titres de l’état britannique. La solution à cette chute sans précédent consiste à une nouvelle injection de liquidité. Pour avoir de la liquidité, la banque est contrainte de faire des ventes de ses titres le plutôt possible. Ce qui peut vite devenir une routine dans la mesure où personne ne se présente pour l’achat de ces actifs. Il a fallu une intervention de la banque d’Angleterre pour mettre un terme à cette situation. 

Une situation économique en décroissance continue

La fragilité de la situation financière continue toujours, car on fait face à un court délai pour le rachat des titres de dette d'Etat. En effet, elle est maintenue jusqu’au vendredi et cela créé l’inquiétude chez bon nombre d’investisseurs.

La présentation du plan de croissance le 23 septembre par le gouvernement britannique a aggravé la situation avec des mesures dont le financement n’a nullement été planifié. Une situation qui a conduit à une chute historique de la valeur du livre sterling.

Dans le cadre de ses prévisions, le FMI prévoit une baisse de la croissance économique en Angleterre. Il a également affirmé une complication de l’inflation en raison des mesures prises par le gouvernement. Force est de constater qu’on assistera à une situation économique agité en attendant le 31 octobre avec la présentation budgétaire de M.kwarteng.

 

mercredi 12 octobre 2022

Un noël plus cher pour les parents



Avec les fêtes de noël qui approche à grand pas, Michel-Édouard Leclerc, président du comité stratégique des centres E. Leclerc, a tenu à informer de la hausse des prix des jouets. Ajouté à d’autres produits qui ont également connu des augmentations à cause de la guerre en Ukraine

Une hausse des prix, résultats de la guerre en Ukraine.

Ce dimanche dernier, durant son passage sur les antennes de BFM tv, le président du comité stratégique des centres E. Leclerc a informé sa clientèle de la cherté ou plutôt de la hausse des prix en rapport avec les joués et bien encore avec d’autres produits en rapports avec noël. Il a également donné les raisons qui expliquent cette hausse des prix. Les raisons sont entre autres des difficultés logistiques avec des frais de transports à la hausse dû aux problèmes énergétiques. Parmi les produits qui s’ajoutent aux jouets, le chocolat en fait partie.

Une inflation à la hausse

Avec la guerre en Ukraine, les produits avaient connu une hausse considérable des prix en France. Mais en ce dernier mois de septembre, les prix ont enregistré une baisse de 5,6%, de quoi regagné de la confiance vis-à-vis du pouvoir d’achat de la population.

Comme annoncé tantôt, la guerre russo-ukrainienne n’est qu’une raison parmi tant d’autres. Et parmi les autres raisons qui ont entrainé la hausse, nous avons aussi l’énergie. Par contre, Elisabeth Borne a informé que pour ce qui concerne la hausse de l’électricité, un plafond est fixé à 15% et cela dès 2023. Le financement fait afin que la hausse soit plafonnée est de 45 milliards d’euros. BusinessEurope qui est une association patronale européenne et un lobby qui défend les intérêts des employeurs d'entreprises privées auprès de l'Union européenne, a tenu à avertir sur les risques de l’augmentation des prix dans l’énergie.

 

Les levées de fond en baisse



Le capital-risque, qui est une activité d'investissement capitalistique spécialisée dans le financement de jeunes entreprises innovantes à haut potentiel de croissance, a connu une hausse de financement de 30% en France d’après Avolta. Contrairement à la tendance du moment où il est en baisse dans plusieurs pays, à savoir en Chine, aux USA, au royaume unis et en Allemagne. Ces pays ont connu des baisses respectives de - 56%, -29%, - 19% et - 27%. 

Des levée de fond de 15,5 milliard 

Avec un écart supérieur estimé à 3,2 milliards d’euros par rapport à 2021, les fonds levés en France devraient atteindre la somme de 15,5 milliards en 2022, selon avolta. 30%, c’est la hausse remarquée des fonds levés par les start-up en France d’après les données fournies par le baromètre In Extenso Essec.

La France moins touchée

Patricia Braun, actuelle présidente d'In Extenso Innovation, a décrit la situation en insistant sur le pic qui avait été atteint dès les trois premiers mois en 2022. En plus, une complication de la situation est prévue par Patricia Braun. Franck Sebag, qui garde également un œil vigilant sur les levés de fonds en publiant des indicateurs sur ces derniers, a mis l’accent sur le ralentissement et les efforts consentis. L’AFP a aussi parlé de la situation favorable de la France vis-à-vis des autres pays quand il s’agit de faire face à la chute des finances liée au capital-risque. Tous les investissements ne sont pas en chute libre, nous rapporte Avolta. En effet, il affirme que les baisses concernent plus les start-up naissantes et que ceux qui ont plus de vécu ont des levés de fonds plus ou moins à la norme.

La valorisation des secteurs 

Avec des secteurs différents, certains sont mieux valorisés que d’autres. Et dans cette distinction de valeur, le secteur de la santé est le plus valorisé avec notamment plus de huit fois le montant de leur chiffre d’affaires. Le secteur de la santé est suivi par celui de l’immobilier et de la finance ayant une valorisation fois 6,3 et 6,2 de leur chiffre d'affaires. Cependant, les start-up dans le secteur du transport et de  l’alimentation sont les moins valorisés. 

vendredi 7 octobre 2022

Une baisse de valeur des actifs en bourse de 85% chez orpea



Orpea qui est un groupe privé français fondé en 1989 par le neuropsychiatre Jean-Claude Marian, est spécialisé dans le domaine de la santé et de l'hébergement des personnes âgées. Le groupe français s’est créé une chaîne d'EHPAD privés qu’il gère avec des maisons de retraite, de cliniques de soins et de services à la personne sous forme d'aide à domicile. Au courant du premier semestre, opéra annonce avoir subits de grosse perte liés en partie à la période inflammatoire et des prix de l’énergie vue à la hausse.

Un déficit prévisible

Confrontés à des déficits de 269 millions d’euros, Orpea avait auparavant fait l’objet d’un scandale par rapport à leur manière de faire. L’entreprise prévoit une pareille situation au semestre suivant. Une perte en contradiction avec les gains de l’année passée aux cours du même période. Un gain qui s’élève à 102 millions d'euros à en croire leur communiqué.

Laurent Guillot, nouveau directeur général, explique les pertes par l’internationalisation et le développement immobilier jugé trop rapide. Avec des actions en bourses qui ne cessent de baisser, le groupe privé français enregistre une baisse historique, passant de 8,4 à 12,24%.Une alerte avait déjà été fait par opéra dans le but d’informer sur la baisse de son taux de marge en raison de la situation inflammatoire et de l’arrêt des subventions publiques liées au covid. Toutefois, une hausse de 10,9% de son chiffre d'affaires a été notée, soit 2,3 milliards.

Un déficit en continu

En raison de la flambé des prix de l’énergie, Orpea prévoit une continuité des pertes de l'entreprise. Ayant une notoriété à défendre à l’international, Le groupe du neuropsychiatre Jean-Claude Marian fait état d’accusation par le livre-enquête intitulé Les Fossoyeurs de plusieurs mauvais agissements indignes d’opéra. Parmi ces accusations : la maltraitance des patients, des fraudes dans leur comptabilité… Malgré la présomption d’innocence qui leur est accordé, une enquête a été ouverte en avril par la cour afin de statuer sur les chefs d’accusation à leur encontre. Entre temps, orpea à procéder à des ajustements dans une meilleure prise en charges de sa clientèle. Un plan de transformation est également prévu.