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lundi 22 novembre 2021

Amazon refuse les cartes Visa : des conséquences en France ?

 


Avec la pandémie, beaucoup de sociétés multinationales ont connu des crises sans précédent. C’est le cas du leader mondial de commerce en ligne Amazon. Dans le marché du commerce en ligne, il est en tête des entreprises. Parmi ces derniers Amazon est considéré comme sortant du lot c’est-à-dire détient aussi bien les meilleurs records en termes d’innovation que les plus importants chiffres d’affaires. Ce dernier dans la logique de mieux ancrer sa suprématie essaye de jour d’innover dans sa production. C’est dans ce sens qu’il envisage très prochainement de refuser de prendre les cartes Visa. Les raisons d’une telle décision sont multiples. Ce qui mérite de s’y pencher dans notre article.

Les raisons de la décision de refus de carte Visa d’Amazon

Quand un commerçant refuse d’accepter un moyen de paiement des plus prisé surtout sur internet, il y a toujours des raisons derrière. En effet, Mastercard et Visa ont aussi décidé dans le passé de s’écarter de certains de ses partenaires surtout lorsque ces derniers ne  respectent pas la politique de l’égalité et les principes qu’il a fixés. C’est dans cette mouvance  que le groupe Amazone a annoncé il y a quelques jours qu’il va  arrêter d’accepter les cartes de crédits visa.

Cette annonce s’adresse  aux clients du géant du E-commerce. Cette barrière qui a été fixée pour les cartes de crédit ne s’entend pas aux cartes de  débit. Cette mesure prendra effet le 19 janvier prochain. Avant d’en arriver là, ce message  devrait inciter  Visa à modifier sa stratégie.

Le problème  d’Amazon avec les cartes visa

Le problème est sans nul doute un problème d’argent. En effet, l’émetteur de carte visa a adopté une politique inégale ou les commissions des paiements par carte de crédit sont très élevées et ne permettent pas à Amazon de s’y retrouver. Donc au moment de faire une transaction avec votre carte bancaire, plusieurs commissions sont déduites du montant de l’achat et ne reviennent pas au commerçant. C’est la banque et son émetteur qui prennent une grande partie du montant pour se rémunérer.

En France particulièrement, il n’existe pas de carte crédit à proprement parler. La carte de débit quant à elle permet de réaliser l’ensemble de vos opérations avec un supplément de 0,5 % sur le prix. Le  conflit entre Amazon et Visa ne date pas d’aujourd’hui.

 

Pfizer, Biontech et Moderna approchent les 1000 dollars de bénéfices par seconde avec leurs vaccins



Avec la pandémie, beaucoup d’activités ont été ralenties. Ce qui a fait que le travail n’était plus aussi dynamique qu’avant. De ce fait, pour éviter que  la situation ne s’empire, des solutions ont été proposées. Et récemment,  l’annonce a été faite par les dirigeants et certaines entreprises  sur l’existence de vaccin contre la maladie du Covid 19.  Certains États sont même allés jusqu’à élever cela au rang d’obligation pour leur citoyens voire  même une condition sine qua none de l’accès à certains services. Au même moment les géants de la production de vaccin comme Pfizer, Biontech et moderna continuent à amasser beaucoup de capitaux.

L’augmentation du chiffre d’affaire critiquable de ces géants

En effet, chaque seconde, ces géants gagnent  des milliers de dollars avec leurs vaccins contre la covid 19. C’est une structure militant pour une répartition équitable des vaccins qui a fait l’étude.  Selon eux, ces groupes pharmaceutiques ont amassé cet argent en vendant leurs vaccins aux populations les plus aisées. Ce qui fait que ceux que l’ont que l’on appelle communément pauvres sont laissés en rade.

Un pourcentage de 50 % des revenus de Pfizer

En effet, pour s’assurer de l’exactitude des chiffres, BFM Business a évalué de près les chiffres qui ont été fournis par la structure. Ce qu’il a  confirmé car seulement pour les neuf premiers mois de, l’année, Pfizer a enregistré un chiffre d’affaires de 57,6 milliards de dollars. Soir environ 50 %, ce qui fait que le reste des résultats provient soit de l’oncologie soit de l’activité de la médecine interne notamment pour ce qui des maladies cardiovasculaires. Le groupe Pfizer a même précisé que l’ensemble de ces bénéfices pour cette année provient des vaccins qui ont été vendus. C’est aussi le cas d’autres.

La baisse des prix

En effet, contrairement à Astrazeneca ou encore moderna, qui vendent leur vaccin à des prix qui sont très coûteux, ces trois géants eux sont dans une logique de diminution. Ce qui fait que les gens se ruent vers eux et leur font gagner beaucoup d’argent. Ces prix élevés sont aussi critiqués par la structure. Ce qui fait que selon l’OMS, les prix devraient connaître une réduction considérable dans la mesure où d’ici quelque temps la demande connaîtra une forte augmentation et les entreprises ne pourront que diminuer.

 

lundi 15 novembre 2021

Pourquoi l’UE fait la guerre aux Gafam

Très souvent être leader dans son domaine s’accompagne de plusieurs éléments qui peuvent être lourds de conséquences. C’est dans ce sens que l’Union Européenne dans sa logique de garantir un marché équitable à tous. Un marché où la concurrence sera loyale appliquera des sanctions aux contrevenants des règles qui sont établies. Ce qui fait que depuis quelques temps on remarqué que le géant américain Google s’est vu infligées sanctions. Cela pour entraves aux règles qui ont été fixées. C’est dans un sens qu’une amende de 2,4 milliard d’euros a été fixée par l’UE afin de sanctionner l’entreprise. Et cela n’est que l’un des éléments dans les longues séries d’offenses de l’Union Européenne à l’encontre du géant comme ce fut le cas de l’amende de 2017.

Des sanctions pour des pratiques antis carentielles

En effet, à plusieurs reprises, les géants du numérique ont été à plusieurs reprises coffrés par la commission européenne pour des pratiques qui sont contraire aux normes de concurrence établies. C’est dans ce sens que Google a reçu de lourdes amendes venant de l’Union Européenne d’un total de 8,25 milliards d’euros.  Ce qui fait que le géant a déposé un recours contre l’amende que le tribunal a tout bonnement rejeté. 

Par ailleurs, le géant Microsoft a aussi été victime d'amendes de la part de l’Union Européenne d’une valeur de 561 millions d’euros, infligée en 2013. Cela parce qu’il avait imposé son navigateur Internet Explorer aux utilisateurs de Windows 7. Également Amazon, Apple et Facebook, ont aussi fait l’objet d’enquêtes de la part de l’Union Européenne sur d'éventuelles violations des règles de concurrence.

Le divers contentieux en question

Que ça soit l’Allemagne, l’Italie, la France ou encore l’Espagne, il y a eu des manœuvres de forces de leur part afin de faire une adoption de la fiscalité plancher pour les géants du numérique qui sont accusés de dumping fiscal en Europe. Ce qui a fait que l’UE en a épinglé plusieurs avec leur politique d’optimisation fiscale.

En effet, les médias traditionnels ont accusé les géants Google, Facebook et d’autres de tirer profit de leurs contenus sans avoir de véritable rémunération. En effet, il est important que ces géants puissent les rémunérer lorsqu'ils utilisent leur contenu.

On reproche aussi au Gafam l’utilisation incontrôlée des données personnelles de ses utilisateurs. C’est la raison pour laquelle beaucoup de réglementations ont été fixées.

 

Des fonds activistes poussent Richemont à un mariage avec kering



Dans le monde des affaires, on remarque souvent que des entreprises se lient à d'autres dans le but de pouvoir mieux mener à bien leur activité et accroître leur chiffre d'affaires. Ce qu’a fait récemment Richement qui s’est lié avec Kering. Cela car les fonds de Third Point et Artisan Partners sont ancrés dans le capital en essayant de sauver les verrous de la gouvernance. Cela dans l’éventualité d’un mariage qui a finalement abouti. Ce qui inquiète beaucoup de personnes qui ne sont pas rassurées par l’introduction de ces fonds activistes.

Les incertitudes qui se sont manifestées

En effet, pour certains, le loup est dans la bergerie ce qui fait qu’un nombre important de fonds activistes sont entrés au capital du groupe suisse Richemont. Ce groupe est très connu pour ses excellentes marques Cartier et Van Cleef et Arpels.  L’un des fonds les plus importants et redoutables au monde, Third Point, vient participer à hauteur de 2 à 3 %. Il est maintenant le chef de fil d’un groupe de plusieurs actionnaires financiers, décidé à bousculer Richemont il s’agit d’un autre fonds activistes. Et ce n’est pas la première offensive sur les poids lourds. Il y a eu Essilor Luxottica, Nestlé, Vivendi, et de nos jours Shell à qui il demande une scission.

Une lutte à venir entre les fonds et les Johann Rupert

Effectivement le groupe suisse préside depuis 20 ans. Ce qui fait qu’il concentre beaucoup de pouvoir  avec un capital de 10 % environ. Désormais, Johann Rupert verrouille Richemont comme ce fut le cas avec le géant Arnaud Lagardère. L’objectif de l'investisseur Third Point est de faire avancer le verrou comme Amber  a fait en sautant la commandite chez Lagardère.

Les critiques des investisseurs

En effet, les investisseurs du géant Richemont fustigent énormément les l’influence ou encore le monopole important qu’exerce le président Richemont sur son conseil d’administration qui est pléthorique et composé d’une vingtaine de membres qui sont tous proches de lui. Aussi, dénoncent-t-il un comité exécutif qui n’a pratiquement pas de pouvoir. Cela car Juhann Rupert entretient les clans afin de mieux régner. Et le dernier élément consiste le fait que ce dernier ne prévoit aucun plan pour sa succession. Et cela malgré son âge et le fait que son fils, Anton Rupert, ne semble guère disposé à prendre la relève.

L’objectif de Third Point

Pour lui les actions de Richemont n’ont pas assez évolué, ce qu’il faudra relever. D’autant plus que ces concurrents sont en train de faire preuve. C’est le cas deux français LVMH et de Keroing qui sont des exemples. Également, Third Point essaye de faire ressortir les insuffisances des activités en ligne de Richemont et notamment pendant la pandémie.  Ce qui fait que les fonds activistes parvinrent d’autant plus sur ce schéma que Johann Rupert qui lui cherche à conserver ses parts.   De ce fait, cette fusion entre les deux pèserait moins pour chacun. Donc tout le monde pourra y trouver ses avantages.

lundi 8 novembre 2021

La croissance française atteint 3 % au troisième trimestre

 


Depuis le début de la pandémie du Covid 19, les domaines économique, financier et commercial de plusieurs pays ont été considérablement affaiblis. Ainsi, la France n’a pas été en reste de ce phénomène. Mais d’après plusieurs estimations, la croissance du pays pourrait atteindre jusqu’à 3 % au troisième trimestre à venir. C’est un chiffre qui dépasse toutes les estimations déjà  effectuées par les analystes, les institutions. Même l’Insee n’avait conjecturé qu’une croissance de 2,7 % au mois de septembre. D’après le ministre de l’économie français, ce résultat promet d’être  exceptionnel. Car si l’on le compare au trimestre dernier, cela va même dépasser les prévisions et permettre à l’économie du pays de renouer avec son niveau d’avant crise. Pour Bruno Le Maire « C’est un chiffre qui est au-delà de nos espérances ».

Ce qui justifient de telles prévisions

Effectivement, on parle bien d’une croissance de l’économie française. Il est prévu une reprise des secteurs du tourisme et des loisirs. De plus, les dépenses de consommation des ménages ont considérablement augmenté. Elles ont même atteint 5 %  en seulement un trimestre. Donc les prévisions futures annoncées sont largement fondées. Depuis plus de 50 ans une telle évolution n’a pas été notée. En dehors du rebond de l’été 2020 de plus de 18 % qui a suivi le premier confinement, pendant longtemps ce chiffre n’a pas été enregistré.

La France sur la bonne voie

Le fait de retrouver le niveau de croissance qu’il avait est déjà un bon début. Cela signifie qu’elle se redresse assez rapidement et de façon excellente. Les exportations ont connu une augmentation de plus de 2,3 % au moment où les importations sont presque stables avec un chiffre toujours étant de -0,1 %. Les services et le domaine de l’hôtellerie-restauration augmentent aussi. De ce fait,ce sont eux qui tirent de 43,4 % la production totale des biens et les services marchands.

Qu'en est-il de la zone euro  ?

En effet, une avancée du PIB de 2,2 % est aussi attendue pour la zone euro. Cela a été affirmé par Eurostat. Pour ce dernier, au second trimestre, l’ensemble de l’Union européenne aura une avancée de 2,1 %.  Parmi ces pays nous avons l’Allemagne avec + 1,8 %, l’Espagne avec, + 2 %, l’Italie avec + 2,6 % entre autres. Ce qui est une chose appréciée par les pays.

 

 

 

La neutralité carbone est-elle possible en France ?



Il est primordial pour la France d’investir sur les énergies renouvelables si elle veut diminuer sa consommation de carbone. La neutralité carbone doit nécessairement s’accompagner d’un réel développement des énergies renouvelables.

Le débat de la neutralité carbone

Pas plus tard que le lundi 25 octobre 2021, la question d’un éventuel avenir avec une totale neutralité carbone d’ici 2050 était l’objet du rapport du gestionnaire du réseau électrique français RTE.

Le niveau de consommation d’électricité de la France doit être plus élevé que celui actuel. Une parfaite neutralité carbone en 2050 doit passer par une transition du gaz et du pétrole utilisé dans les moyens de transport, les chauffages et dans le fonctionnement des industries.

Dans cette même lancée, le rapport lancé en 2019 confirme que l’énergie nucléaire reste une solution envisageable afin de rester dans les normes de la consommation de carbone.

Toutefois, il existe d’autres issues que l’augmentation de la consommation d’électricité comme l’atome qui reste beaucoup moins chères si l’on se tient au propos de la RTR.

Dans cette même ordre d’idée, le président de la Rte s’est exprimée à ce sujet en mettant l’accent sur une compensation du pétrole et du gaz fossile par la France en mettant les moyens nécessaires pour produire le maximum d’électricité ainsi qu’un renouvellement des moyens de production d’énergie nucléaire qui ne tarderont pas atteindre leur limite d’ici 2060.

Et c’est dans cette même idéologie que la RTE a étudié des scénarios pour le futur énergétique de la France, des scénarios qui débutent par une totale concentration sur les énergies renouvelables et qui se poursuit par un développement volontariste du nucléaire par le biais de petits réacteurs et de la construction de 14 EPR. En ce sens, Xavier Piechaczyk estime que ces scénarios ont fait l’objet d’une étude approfondie.

Les auteurs soutiennent qu’un développement des énergies renouvelables, de la capacité solaire et de l’éolien terrestre sont des conditions nécessaires à la neutralité carbone.

Toutefois économiquement parlant, la construction de nouveaux réacteurs semble plus intéressante que l’utilisation des énergies renouvelables. La différence qui réside entre les scénarios présentant de nouveaux réacteurs nucléaires et d’autres avec le postulat du développement de grands parcs renouvelables est énorme financièrement.

Les pouvoirs publics face à ce débat

Ces résultats interviennent dans un contexte particulier et proche de la campagne présidentielle. D’autant plus, que le sujet de l’énergie confronte une partie du pouvoir qui sont contre la consommation d’énergie nucléaire tandis que d’autres sont plus pour l’énergie nucléaire.

Bien que favorable à l’énergie nucléaire, le président Emmanuel Macron n’a pas donné sa décision par rapport au projet du lancement des six nouveaux EPR qui n’est autre qu’un réacteur nucléaire dont le premier exemplaire doit être lancé l’année prochaine en Normandie.

En conclusion, RTE s’en tient au fait que la neutralité carbone est possible avec un coût raisonnable passant par l’augmentation du coût de l’électricité à hauteur de 15% bien sûr avec en contrepartie la fin des dépenses pour certains besoins.