Depuis le début de la pandémie du Covid 19, les domaines économique, financier et commercial de plusieurs pays ont été considérablement affaiblis. Ainsi, l’Amérique, la Russie ou encore L’Angleterre n’ont pas été en reste de ce phénomène. Ainsi, d’après plusieurs estimations, la croissance des pays a stagné encore quelque temps. C’est une affirmation qui choque la majorité des acteurs économiques. En effet, l’inflation qui n’était censée n’être que temporaire. Ce résultat promet d’être plus que décevant. Car si l’on le compare au trimestre dernier, cela devrait même dépasser les prévisions et permettre à l’économie du pays de renouer avec son niveau d’avant crise. C’est dans ce sens que beaucoup de pays ont annoncé la prise en compte de mesures nouvelles pour lutter contre la hausse des prix. Au moment où la banque centrale américaine pourrait relever ses taux au printemps, le Royaume-Uni, la Norvège, la Russie, le Chili et la Turquie annoncent cette semaine une hausse de leur taux directeurs pour lutter contre cette hausse des prix. Pour ce qui est de la BCE, il envisage la remontée des taux d’ici 2022.
Une solution adéquate pour lutter contre l’inflation
Cette solution va permettre de réaliser une grande poussée inflationniste. Cela permettra d’avoir une grande augmentation des taux d’intérêts, ce qui produira l’effet de l’augmentation des coûts d’emprunts et de ralentissement de la demande. Il est aussi important de rappeler que ces achats d’actifs s’élevaient à 120 milliards de dollars par mois et cela depuis le début de la crise jusqu’à novembre passé. C’était une très bonne initiative ayant permis de fournir un soutien important à l’économie américaine. Toutefois, il faut le préciser, cela a gonflé les bilans des réserves de la Fed. Maintenant, il est envisagé la réduction du bilan de l’institution plus précisément en donnant l’occasion à ces bons de trésor et MBS de gagner en maturité sans réaliser un renouvellement. Aussi, la puissance fédérale souhaite aussi effectuer une accélération du rythme de réduction de ses achats d’actifs.
Une chute existante des marchés financiers
C’est dans l’annonce d’un possible resserrement rapide et plus puissant de
la politique monétaire américaine que ce vendredi on a connu une baisse des
marchés financiers. C’est dans ce sens qu’il a été noté que les grands indices
européens ont fini dans le rouge à l’exception de Londres. Cela intervient à un
moment où le variant Omicron poursuit sa propagation à un rythme qui inquiète
plus d’un. Mais dans toute cette agitation, la BCE garde aussi son calme. Et
récemment la Banque d’Angleterre qui est la première parmi les pays du G7 a
surpris en décidant de remonter son taux directeur et en laissant ouverte à
d’autres pour contrer une inflation britannique. Pour ce qui est de la Russie
on a la 7ième hausse des taux, elle fait chuter la livre en
Turquie, est 5ième au Mexique, ce qui justifie l’appel à la
prudence de la FMI.