Lumière sur Steve Ballmer, lieutenant tonitruant de Bill Gates

Steve Ballmer est à la tête de Microsoft depuis 2000 après le retrait de son fondateur, Bill Gates.

Wolfgang Schreiber, PDG de Bugatti, et la persistance du luxe automobile français

Bugatti reste une référence dans le monde de l'automobile. Auréolée par plus de 10 000 victoires en course, un record jamais égalé, cette firme tricolore basée à Molsheim, en Alsace, incarne aujourd'hui encore cet esprit de sportivité et de faste hérités de son flamboyant passé.

L'efficacité énergétique selon Gilles Schnepp, PDG de Legrand

Legrand est un acteur important dans la domotique et les équipements électriques des bâtiments.

Yahoo! et la croissance externe à marche forcée

Pour la première fois depuis deux ans, l’entreprise californienne devance son grand rival Google.

Alain Pons et les ambitions de Deloitte

L’arrivée d’Alain Pons à la présidence de la direction générale de Deloitte France en juin 2010 a changé les perspectives du très réputé cabinet d’audit.

mardi 28 décembre 2021

De Washington à Moscou en passant par Londres et Mexico, la hausse des taux est enclenchée pour combattre l’inflation



Depuis le début de la pandémie du Covid 19, les domaines économique, financier et commercial de plusieurs pays ont été considérablement affaiblis. Ainsi, l’Amérique, la Russie ou encore L’Angleterre  n’ont pas été en reste de ce phénomène. Ainsi, d’après plusieurs estimations, la croissance des pays a stagné encore quelque temps. C’est une affirmation qui choque la majorité des acteurs économiques. En effet, l’inflation qui n’était censée n’être que temporaire. Ce résultat promet d’être plus que décevant. Car si l’on le compare au trimestre dernier, cela devrait même dépasser les prévisions et permettre à l’économie du pays de renouer avec son niveau d’avant crise. C’est dans ce sens que beaucoup de pays ont annoncé la prise en compte de mesures nouvelles pour lutter contre la hausse des prix. Au moment où la banque centrale américaine pourrait relever ses taux au printemps, le Royaume-Uni, la Norvège, la Russie, le Chili et la Turquie annoncent cette semaine une hausse de leur taux directeurs pour lutter contre cette hausse des prix. Pour ce qui est de la BCE, il envisage la remontée des taux d’ici 2022.

Une solution adéquate pour lutter contre l’inflation

Cette solution va permettre de réaliser une grande poussée inflationniste. Cela permettra d’avoir une grande augmentation des taux d’intérêts, ce qui produira l’effet de l’augmentation des coûts d’emprunts et de ralentissement de la demande. Il est aussi important de rappeler que ces achats d’actifs s’élevaient à 120 milliards de dollars par mois et cela depuis le début de la crise jusqu’à novembre passé. C’était une très bonne initiative ayant permis de fournir un soutien important à l’économie américaine. Toutefois, il faut le préciser, cela a gonflé les bilans des réserves de la Fed. Maintenant, il est envisagé la réduction du bilan de l’institution plus précisément en donnant l’occasion à ces bons de trésor et MBS de gagner en maturité sans réaliser un renouvellement. Aussi, la puissance fédérale souhaite aussi effectuer une accélération du rythme de réduction de ses achats d’actifs.

Une chute existante des marchés financiers

C’est dans l’annonce d’un possible resserrement rapide et plus puissant de la politique monétaire américaine que ce vendredi on a connu une baisse des marchés financiers. C’est dans ce sens qu’il a été noté que les grands indices européens ont fini dans le rouge à l’exception de Londres. Cela intervient à un moment où le variant Omicron poursuit sa propagation à un rythme qui inquiète plus d’un. Mais dans toute cette agitation, la BCE garde aussi son calme. Et récemment la Banque d’Angleterre qui est la première parmi les pays du G7 a surpris en décidant de remonter son taux directeur et en laissant ouverte à d’autres pour contrer une inflation britannique. Pour ce qui est de la Russie on a la 7ième hausse des taux, elle fait chuter la livre en Turquie, est 5ième au Mexique, ce qui justifie l’appel à la prudence de la FMI.

 

Vers un prix du baril du baril de pétrole au-dessus de 100 dollars



L’activité économique et commerciale a beaucoup été perturbée ces dernières années. Ainsi, les hydrocarbures comme le pétrole n’ont pas été en reste avec des prix qui ne font qu’augmenter. Beaucoup s'interrogent ainsi sur l’avenir de ce carburant indispensable. En effet, avec la récente reprise économique, la demande est en hausse. Ce qui fait que les prix flambent, en raison du fait que les pays exportateurs, réduisent l’accroissement de la production. C’est ce qui fait que les pays exportateurs de pétrole ont adopté récemment une stratégie visant à une augmentation des prix. Cela car la hausse anticipée des prix du pétrole reste insuffisante pour effectuer un rétablissement de l’équilibre budgétaire de nombreux pays pétroliers comme l’Algérie. Dans les lignes qui vont suivre nous allons vous donner davantage de détails sur cette situation qui risque très difficile pour plus d’un.

Une hausse future probable

Goldman Sachs qui est une banque américaine se prépare à une hausse prochaine des prix du pétrole. D’après lui, les prix du pétrole pourraient augmenter en 2022. Cela se fera en mesure que la demande se reconstitue. Il faut noter que la demande était devenue importante avant l’apparition du variant Omicron cela fut accompagné d’une augmentation de la demande en hydrocarbures pour les jets privés et une économie mondiale qui est toujours en croissance. D’autant plus que partout on note une tendance inflationniste aussi bien dans l’économie que dans les services pétroliers. C’est ce qui fait que le coût d’extraction risque aussi de monter en fonction de la capacité d’extraction des entreprises.

Une hausse insuffisante pour le rétablissement de l’équilibre budgétaire des pays pétroliers

Il est tout à fait probable que l’offre de pétrole ne puisse pas répondre à la demande lorsque les économies mondiales se seront complètement remises de la pandémie. Mais cela est loin d’être suffisant pour rétablir l’équilibre budgétaire des pays qui sont les fournisseurs. Ce qui fait qu’en moins de deux ans le prix du baril va passer de 45 à 100 dollars l’unité. Mais le gouvernement affirme que cela reste une supposition car la tendance peut bel et bien s’inverser. C’est principalement dû à l’apparition de ce nouveau variant avec les incertitudes qui s’y accompagnent. Le cours du baril de Brent de la mer a perdu 1,99 % ou 1,95 dollars en février dernier.

 

 

mardi 21 décembre 2021

Droits voisins : Google abat ses dernières cartes pour sortir du conflit avec la presse



Très souvent être leader dans son domaine s’accompagne de plusieurs éléments qui peuvent être lourds de conséquences. C’est dans ce sens que l’Autorité française de la concurrence dans sa logique de garantir un marché équitable à tous. Un marché où la concurrence sera loyale appliquera des sanctions aux contrevenants des règles qui sont établies. Ce qui fait que depuis quelques temps on remarque que le géant américain Google s’est vu infligées sanctions. Cela pour entraves aux règles qui ont été fixées. C’est dans un sens que des critiques acerbes de la part de la presse lui tombent dessus ces derniers temps. Et cela n’est que l’un des éléments dans les longues séries d’offenses des médias à l’encontre du géant. C’est pour éviter les retombées négatives de cette situation que le géant américain vient de soumettre une série d'engagements de sa part auprès de l’Autorité française de la concurrence.

Google abat ses dernières cartes

Depuis de nombreux mois, un conflit oppose le géant à la presse française. C’est pour ne pas que l’Autorité de la concurrence n’appliquent des pénalités à son encontre que le géant a fait tout pour prendre les devants. Cela dans le sens de l’instruction dans les détails du complexe affaire sur le dossier des droits voisins qui a été ouvert l’année passée.  C’est dans ce sens que mercredi passé, le géant Google a conclu une série de huit engagements sur une durée estimée à 5 ans. Cela s’est fait auprès du gendarme de la concurrence qu’est l’Autorité française de la concurrence.

Des engagements se conformant à la loi sur le droit voisin

Depuis le mois de septembre 2019, une loi est intervenue sur les droits voisins. Cela oblige les plateformes numériques à procéder à la rémunération des éditeurs de presse pour la publication de même que le partage de leur contenu. C’est ce qui fait qu’un tribunal arbitral a dû intervenir avec ces huit engagements de Google. Ceux-ci visent à assurer une parfaite pérennisation de l’ensemble des injonctions de ces deux derniers mois de l’Autorité de la concurrence. Ainsi, la durée des négociations est fixée à trois mois. Aussi cette négociation doit se faire de bonne foi. Ce qui pour beaucoup  va enfin clôturer des mois de bras de fer.  Donc Google a fait appel de cette décision mais a réglé son amende depuis la semaine passée.

Buffalo Grill lance en France la chaîne de fast food popeyes louisiana kitchen pour concurrencer KFC



Dans le monde très concurrencé de l’alimentation, nous avons plusieurs entreprises qui se disputent le monopole du marché. C’est ce qui fait que désormais, le géant Buffalo Grill importe en France la chaîne de fast food popeyes Louisiana kitchen. Cela c’est seulement dans le but de concurrencer KFC voire même d’être leader dans le domaine. Ainsi, l’enseigne spécialisée dans les grillades de viande s’apprête à faire un déploiement  en France de la chaîne de fast food qui est le deuxième acteur mondial de la protéine de poulet. Cela car de plus en plus le poulet pané est un délice adulé par les clients mais aussi il attire beaucoup d’investisseurs. C’est ce qui fait que le patron de Buffalo a décidé pour donner un meilleur goût de grillade de l’assaisonner à la sauce Louisiane afin de proposer aux clients, des mets très savoureux.

Un lancement futur du groupe en France

Comme l’a annoncé récemment la marque de la restauration Popeyes louisiana Kitchen qui est le second mondial dans la production et la commercialisation de la protéine de poulet avec plus de 3500 établissements. D’après lui, c'est une acquisition qui a aussi porté sur la master franchise de l’enseigne auprès du groupe restaurant Brands International. Ce dernier est en effet un groupe qui a en plus de Popeyes, Burger King et aussi Tim Hortons. Ce poulet pané avait donc déjà été implanté en France. Mais cette tentative volaillère fut née dans l’œuf. Ce qui fait que dès décembre 2018, le rideau tombait.

Une perspective de premier restaurant pour le second semestre de l’année 2022

Pour cette nouvelle lancée, le géant américain a choisi de s’appuyer sur Napaqaro. Il s’agit d’une société qui est née du rapprochement de deux marques de restauration française de service de table. Ces deux enseignes réunies, emploient désormais plus de 11 000 salariés répartis sur plus de 600 restaurants. C’est ce qui fait que Monsieur Olive se dit prêt à prendre des parts d’estomac à la concurrence.  Donc sachez qu’au pays du coq gaulois, le combat est annoncé.

 

 

 

lundi 13 décembre 2021

Entente : l’UE inflige 344 millions d’euros d’amendes à Cinq banques



Très souvent être leader dans son domaine s’accompagne de plusieurs éléments qui peuvent être lourds de conséquences. C’est dans ce sens que l’Union Européenne dans sa logique de garantir un marché équitable à tous. Un marché où la concurrence sera loyale appliquera des sanctions aux contrevenants des règles qui sont établies. Ce qui fait que depuis quelque temps ont remarqué que cinq géants de la banque se sont vu infliger des sanctions pour une entente sur le marché des opérations de change. Cela pour entraves aux règles qui ont été fixées. C’est dans un sens qu’une amende de plus de 344 millions d’euros a été fixée par l’UE afin de sanctionner ces entreprises. Et cela n’est que l’un des éléments dans les longues séries d’offenses de l’Union Européenne à l’encontre des entreprises qui enfreignent la loi.

Une amende après enquête

Les géants UBS, Barclays, Royal Bank of Scotland (RBS), HSBC et Crédit Suisse, ont été amendés à la suite d'une enquête qui les a déclarés coupables d’entente sur le marché des opérations de change. Cela intervient après une enquête datant de 2013. En mai 2019, ils ont été amendés pour une somme de 1, 07 milliards d’euros d’amendes. Cela a révélé que les traders de ces différentes banques sanctionnés qui se devaient de mener un travail dans les règles se coordonnent dans les stratégies de négociations adoptées par ces différentes banques. Ce qui nuit à une concurrence saine conformément aux règles établies. C’est la Banque UBS qui a révélé l’affaire. Ce qui fait qu’il a pu bénéficier d’une immunité totale. Donc, il ne paiera pas les 94 millions qu’il devait. Pour ce qui de Barclays, RBS et HSBC ils ont eu des réductions car ayant reconnu les faits et collaboré à l’enquête.

L’image négative des banques

C’est seulement le Crédit Suisse qui a refusé de coopérer. Ce qui fait qu’il n’a pas eu de réduction. Il devra payer 83 millions d’euros. Et en plus la majeure partie des entreprises qui ont été sanctionnés l’ont également été dans le passé pour des affaires similaires. Même si beaucoup de banques avaient affirmé avoir décidé de suivre la bonne voie. Ils se voient encore mêlés à ces pratiques. Ces amendes de l’Union Européenne qui est infligée aux entreprises pour des pratiques qui sont anti concurrentielles, constituent de budget général de l’Union Européenne. Ce qui fait que les États membres réduisent leurs contributions.

 

 

 

 

CMA CGM étend son empire logistique en s’emparant d’Ingram Micro CLS pour 3 milliards de dollars



Dans le domaine des affaires, le plus souvent les entreprises essayent d’étendre leur influence en acquérant de nouvelles. C’est le cas récemment de CMA CGM qui envisage d’acquérir le géant Ingram Micro CLS. Pour cette nouvelle acquisition, le géant est prêt à débourser à peu près 3 milliards de dollars. Ainsi, il va ajouter à son tableau de chasse l’américain  qui est spécialiste de la logistique contractuelle. Il s’agit du leader mondial du fret maritime. Ce qui fera que si cela arrive, il sera dans le top 5 mondial des leaders mondiaux de la logistique. C’est un rachat qui sera aussi un moyen pour le géant de renforcer sa stratégie dans le domaine. Cela lui permettra de régner à la fois sur les airs mais aussi sur terre et cela en s’accaparant de tous les maillons de la chaîne d’approvisionnement du commerce mondial.

Le domaine concerné par l’opération de rachat

Il s’agit principalement du domaine commercial et du Lifecycle d’Ingram Micro. Cela concerne également l’entité Shipwire avec les activités de logistique de l’entreprise en Amérique du Nord, en Europe, en Amérique latine et aussi en Asie-Pacifique. En dehors de ces activités qui viennent d’être listées, le reste des activités sera gardé par Ingram Micro notamment celles de CLS. 

Ce dernier a pour activité principale auprès d’Ingram Micro est la logistique contractuelle pour le e-commerce et la gestion des commandes omnicales. Cela il faut le préciser aussi prend en compte l’acquisition de Shipwire qui est une plateforme technologique et logistique dans le domaine du stockage du cloud. Et plus précisément il s’occupe plus des du traitement des commandes offrant des solutions pérennes pour ce qui est de la logistique flexible pour les PME du secteur de l’e-commerce.

Une nouvelle ampleur pour CMA CGM

Cette opération  sera en effet l'événement qui va davantage propulser le géant dans sa filiale logistique. Il sera ainsi, sans doute le numéro un mondiale dans ce domaine. De ce fait, il va aider les entreprises à choisir le meilleur moyen d’acheminer leurs marchandises partout dans le monde entier. Que ce soit par des avions, des bateaux, des trains ou encore des camions. Et dans presque tous les  pays du monde il aura des collaborations en excluant le nombre important de ses salariés qui va bien croître.

Cette stratégie va s’appuyer sur deux piliers majeurs que sont : le transport maritime et la logistique. Dans ces deux secteurs cités le groupe est déjà parmi les leaders mondiaux. Donc CMA CGM envisage de bien ancrer son emprise dans le domaine. Ce qui fera de lui une entreprise qui sera difficile à concurrencer. Cela dans les tous les domaines d’activités dans lesquels il est compétent. Ce qui fera de lui le seul leader mondial. Cela s’est fait à travers des étapes successives de son développement. Pour en arriver aujourd’hui à ce résultat et au stade où il en est aujourd’hui.

 

 

mercredi 1 décembre 2021

Affaire Tapie : Après la mort de l’homme d’affaires, trois questions sur la décision de la cour d’appel



Il y a quelques temps éclatait l’affaire dite du  crédit Lyonnais. Avant même que la cour d’appel puisse rendre son verdict concernant le Sieur Bernard Tapie et ses co-accusés, celui-ci décède. Beaucoup se sont posé la question de savoir si cela n’entrainait pas la fin des poursuites pénales à son encontre ? De ce fait deux mois et demi après sa mort, la cour d’appel de Paris rend son arrêt dans cette affaire qui est très controversée concernant le Crédit Lyonnais de 2008. C’est ce qui fait qu’au moins trois questions sont soulevées après la décision de la cour d’appel. 

Les détails de l’affaire

C’est une affaire qui est très compliqué. C’est ce qui fait qu’il a été surnommé du nom de son protagoniste le plus célèbre Bernard Tapie qui est mort d’un cancer.  Ce qui a fait que l’affaire a été repoussé. Deux mois et demi après la mort de ce dernier la cour d’appel rend afin sa décision sur l’affaire.

Le sort des accusés

Pour ce qui est du défunt Bernard Tapie, il ne va rien se passer. Cela en raison du principe d’extinction des poursuites qui veut que quand une personne est poursuivie, et que sa mort intervient en cours d’instances que les poursuites menées contre elle soit abandonnées automatiquement. C’est ce qui a été appliqué au Sieur Tapie dans cette affaire. Toutefois, pour ce qui est de ses co-accusés, les poursuites ne sont pas encore terminées, l’affaire suit son cours. 

Il s’agit plus particulièrement de Stéphane Richard qui est l’actuel PDG d’Orange contre qui le parquet  avait requis une peine de trois ans d’emprisonnement dont 1 an ferme et une amende de 100 000 euros pour complicité de détournement de fonds publics. Pour le directeur de cabinet de l’époque de Christine Lagarde à Bercy qui était soupçonné d’avoir joué un rôle important pour le choix d’une justice qui serait arbitraire notamment avec de telles sommes en jeu. Elle a été reconnue coupable de négligence par la cour de justice de la République. Quant aux trois arbitres, ils ont été condamnés à trois ans de prison avec sursis et une amende de 300 000 euros.

Cette affaire date de plus de 30 ans. Mais ce qui est sûr c’est que l’affaire est loin d’être terminée car beaucoup de choses sont à éclaircir.

 

 

Travail dissimulé, les micro-entrepreneurs dans le viseur de l’administration



De nos jours, nous avons de plus en plus de particuliers qui s’adonnent à la petite ou moyenne entreprise encore appelé les microentreprises. De ce fait, ils sont de plus en plus dans le viseur des services de l’administration dans la mesure où beaucoup estime que plusieurs milliards d’euros sont perdus par l’État en raison de leur travail qui est dissimulé. Avant ces agences étaient reléguées au second plan mais, de nos jours, elles sont devenues indispensables car employant la majeure partie des travailleurs. Cela du fait qu’ils se trouvent en quelque sorte dans le secteur informel. Beaucoup se sont certainement dit en un moment donné pourquoi ne pas s’intéresser de très près à ces entreprises? Dans les lignes qui vont suivre, nous allons vous expliquer en détail les raisons pour lesquelles le gouvernement va dans une logique de formalisation de ces activités ! Nous vous souhaitons une très bonne lecture !

Les raisons de telles mesures

Il est clair que les pouvoirs publics se basent le plus souvent sur les impacts sociaux, économiques et fiscaux du travail dissimulé. Cela se manifeste par une absence de déclaration de tout ou partie de son activité. Ce qui fait que les obligations de paiement de cotisations sur cette activité ne s’appliqueront pas à vous. Cela a un impact sur les finances mais crée aussi une concurrence déloyale qui est une infraction en droit du travail et en droit commercial. Mais, il faudrait être prudent sur ce point car l’évaluation de la fraude ne peut déboucher que sur des approximations.

Les manquements de la part de l’État

Ne pas régulariser ce secteur entraîne nécessairement des pertes de capitaux pour l’État. Et pour les représentants du gouvernement, l’estimation des fraudes des travailleurs indépendants varie entre 75 et 105 millions d’euros. Ce qui place plusieurs entreprises en situation d'illégalité. Des contrôles aléatoires sont en train d’être fait sur différents secteurs comme le bâtiment et les travaux publics.

Les limites de certains dispositifs de contrôle

Cela est liée notamment à la prime d’activité. C’est-à-dire le fait de déclarer son activité quand celle-ci est totalement dissimulée permettrait de bénéficier de la prime d’activité tandis que le fait de déclarer un complément de rémunération conduirait à la diminution ou à la perte totale de la prime d’activité. Ce qui signifie que les conséquences du travail dissimulé sur le secteur privé ne peuvent vraisemblablement être évitées. Pour l’Ursaaf, pour ce qui est de la dissimulation, le manque à gagner serait compris entre 5,2 et 6,6 milliards d’euros. Et cela se situe sur le champ du régime général de l’assurance-chômage. C’est un taux de dissimilation qui est vraiment très important et qui oscille entre 2,2 et 2,7 % de l’assiette totale. Ces derniers regroupent généralement les déclarations et les non-déclarations.

En résumé, nous pouvons dire que l’État avance de nombreuses raisons qui l’ont poussé à surveiller de très près les entreprises qui ont un travail dissimulé. Reste à savoir si cela marchera !

 

lundi 22 novembre 2021

Amazon refuse les cartes Visa : des conséquences en France ?

 


Avec la pandémie, beaucoup de sociétés multinationales ont connu des crises sans précédent. C’est le cas du leader mondial de commerce en ligne Amazon. Dans le marché du commerce en ligne, il est en tête des entreprises. Parmi ces derniers Amazon est considéré comme sortant du lot c’est-à-dire détient aussi bien les meilleurs records en termes d’innovation que les plus importants chiffres d’affaires. Ce dernier dans la logique de mieux ancrer sa suprématie essaye de jour d’innover dans sa production. C’est dans ce sens qu’il envisage très prochainement de refuser de prendre les cartes Visa. Les raisons d’une telle décision sont multiples. Ce qui mérite de s’y pencher dans notre article.

Les raisons de la décision de refus de carte Visa d’Amazon

Quand un commerçant refuse d’accepter un moyen de paiement des plus prisé surtout sur internet, il y a toujours des raisons derrière. En effet, Mastercard et Visa ont aussi décidé dans le passé de s’écarter de certains de ses partenaires surtout lorsque ces derniers ne  respectent pas la politique de l’égalité et les principes qu’il a fixés. C’est dans cette mouvance  que le groupe Amazone a annoncé il y a quelques jours qu’il va  arrêter d’accepter les cartes de crédits visa.

Cette annonce s’adresse  aux clients du géant du E-commerce. Cette barrière qui a été fixée pour les cartes de crédit ne s’entend pas aux cartes de  débit. Cette mesure prendra effet le 19 janvier prochain. Avant d’en arriver là, ce message  devrait inciter  Visa à modifier sa stratégie.

Le problème  d’Amazon avec les cartes visa

Le problème est sans nul doute un problème d’argent. En effet, l’émetteur de carte visa a adopté une politique inégale ou les commissions des paiements par carte de crédit sont très élevées et ne permettent pas à Amazon de s’y retrouver. Donc au moment de faire une transaction avec votre carte bancaire, plusieurs commissions sont déduites du montant de l’achat et ne reviennent pas au commerçant. C’est la banque et son émetteur qui prennent une grande partie du montant pour se rémunérer.

En France particulièrement, il n’existe pas de carte crédit à proprement parler. La carte de débit quant à elle permet de réaliser l’ensemble de vos opérations avec un supplément de 0,5 % sur le prix. Le  conflit entre Amazon et Visa ne date pas d’aujourd’hui.

 

Pfizer, Biontech et Moderna approchent les 1000 dollars de bénéfices par seconde avec leurs vaccins



Avec la pandémie, beaucoup d’activités ont été ralenties. Ce qui a fait que le travail n’était plus aussi dynamique qu’avant. De ce fait, pour éviter que  la situation ne s’empire, des solutions ont été proposées. Et récemment,  l’annonce a été faite par les dirigeants et certaines entreprises  sur l’existence de vaccin contre la maladie du Covid 19.  Certains États sont même allés jusqu’à élever cela au rang d’obligation pour leur citoyens voire  même une condition sine qua none de l’accès à certains services. Au même moment les géants de la production de vaccin comme Pfizer, Biontech et moderna continuent à amasser beaucoup de capitaux.

L’augmentation du chiffre d’affaire critiquable de ces géants

En effet, chaque seconde, ces géants gagnent  des milliers de dollars avec leurs vaccins contre la covid 19. C’est une structure militant pour une répartition équitable des vaccins qui a fait l’étude.  Selon eux, ces groupes pharmaceutiques ont amassé cet argent en vendant leurs vaccins aux populations les plus aisées. Ce qui fait que ceux que l’ont que l’on appelle communément pauvres sont laissés en rade.

Un pourcentage de 50 % des revenus de Pfizer

En effet, pour s’assurer de l’exactitude des chiffres, BFM Business a évalué de près les chiffres qui ont été fournis par la structure. Ce qu’il a  confirmé car seulement pour les neuf premiers mois de, l’année, Pfizer a enregistré un chiffre d’affaires de 57,6 milliards de dollars. Soir environ 50 %, ce qui fait que le reste des résultats provient soit de l’oncologie soit de l’activité de la médecine interne notamment pour ce qui des maladies cardiovasculaires. Le groupe Pfizer a même précisé que l’ensemble de ces bénéfices pour cette année provient des vaccins qui ont été vendus. C’est aussi le cas d’autres.

La baisse des prix

En effet, contrairement à Astrazeneca ou encore moderna, qui vendent leur vaccin à des prix qui sont très coûteux, ces trois géants eux sont dans une logique de diminution. Ce qui fait que les gens se ruent vers eux et leur font gagner beaucoup d’argent. Ces prix élevés sont aussi critiqués par la structure. Ce qui fait que selon l’OMS, les prix devraient connaître une réduction considérable dans la mesure où d’ici quelque temps la demande connaîtra une forte augmentation et les entreprises ne pourront que diminuer.

 

lundi 15 novembre 2021

Pourquoi l’UE fait la guerre aux Gafam

Très souvent être leader dans son domaine s’accompagne de plusieurs éléments qui peuvent être lourds de conséquences. C’est dans ce sens que l’Union Européenne dans sa logique de garantir un marché équitable à tous. Un marché où la concurrence sera loyale appliquera des sanctions aux contrevenants des règles qui sont établies. Ce qui fait que depuis quelques temps on remarqué que le géant américain Google s’est vu infligées sanctions. Cela pour entraves aux règles qui ont été fixées. C’est dans un sens qu’une amende de 2,4 milliard d’euros a été fixée par l’UE afin de sanctionner l’entreprise. Et cela n’est que l’un des éléments dans les longues séries d’offenses de l’Union Européenne à l’encontre du géant comme ce fut le cas de l’amende de 2017.

Des sanctions pour des pratiques antis carentielles

En effet, à plusieurs reprises, les géants du numérique ont été à plusieurs reprises coffrés par la commission européenne pour des pratiques qui sont contraire aux normes de concurrence établies. C’est dans ce sens que Google a reçu de lourdes amendes venant de l’Union Européenne d’un total de 8,25 milliards d’euros.  Ce qui fait que le géant a déposé un recours contre l’amende que le tribunal a tout bonnement rejeté. 

Par ailleurs, le géant Microsoft a aussi été victime d'amendes de la part de l’Union Européenne d’une valeur de 561 millions d’euros, infligée en 2013. Cela parce qu’il avait imposé son navigateur Internet Explorer aux utilisateurs de Windows 7. Également Amazon, Apple et Facebook, ont aussi fait l’objet d’enquêtes de la part de l’Union Européenne sur d'éventuelles violations des règles de concurrence.

Le divers contentieux en question

Que ça soit l’Allemagne, l’Italie, la France ou encore l’Espagne, il y a eu des manœuvres de forces de leur part afin de faire une adoption de la fiscalité plancher pour les géants du numérique qui sont accusés de dumping fiscal en Europe. Ce qui a fait que l’UE en a épinglé plusieurs avec leur politique d’optimisation fiscale.

En effet, les médias traditionnels ont accusé les géants Google, Facebook et d’autres de tirer profit de leurs contenus sans avoir de véritable rémunération. En effet, il est important que ces géants puissent les rémunérer lorsqu'ils utilisent leur contenu.

On reproche aussi au Gafam l’utilisation incontrôlée des données personnelles de ses utilisateurs. C’est la raison pour laquelle beaucoup de réglementations ont été fixées.

 

Des fonds activistes poussent Richemont à un mariage avec kering



Dans le monde des affaires, on remarque souvent que des entreprises se lient à d'autres dans le but de pouvoir mieux mener à bien leur activité et accroître leur chiffre d'affaires. Ce qu’a fait récemment Richement qui s’est lié avec Kering. Cela car les fonds de Third Point et Artisan Partners sont ancrés dans le capital en essayant de sauver les verrous de la gouvernance. Cela dans l’éventualité d’un mariage qui a finalement abouti. Ce qui inquiète beaucoup de personnes qui ne sont pas rassurées par l’introduction de ces fonds activistes.

Les incertitudes qui se sont manifestées

En effet, pour certains, le loup est dans la bergerie ce qui fait qu’un nombre important de fonds activistes sont entrés au capital du groupe suisse Richemont. Ce groupe est très connu pour ses excellentes marques Cartier et Van Cleef et Arpels.  L’un des fonds les plus importants et redoutables au monde, Third Point, vient participer à hauteur de 2 à 3 %. Il est maintenant le chef de fil d’un groupe de plusieurs actionnaires financiers, décidé à bousculer Richemont il s’agit d’un autre fonds activistes. Et ce n’est pas la première offensive sur les poids lourds. Il y a eu Essilor Luxottica, Nestlé, Vivendi, et de nos jours Shell à qui il demande une scission.

Une lutte à venir entre les fonds et les Johann Rupert

Effectivement le groupe suisse préside depuis 20 ans. Ce qui fait qu’il concentre beaucoup de pouvoir  avec un capital de 10 % environ. Désormais, Johann Rupert verrouille Richemont comme ce fut le cas avec le géant Arnaud Lagardère. L’objectif de l'investisseur Third Point est de faire avancer le verrou comme Amber  a fait en sautant la commandite chez Lagardère.

Les critiques des investisseurs

En effet, les investisseurs du géant Richemont fustigent énormément les l’influence ou encore le monopole important qu’exerce le président Richemont sur son conseil d’administration qui est pléthorique et composé d’une vingtaine de membres qui sont tous proches de lui. Aussi, dénoncent-t-il un comité exécutif qui n’a pratiquement pas de pouvoir. Cela car Juhann Rupert entretient les clans afin de mieux régner. Et le dernier élément consiste le fait que ce dernier ne prévoit aucun plan pour sa succession. Et cela malgré son âge et le fait que son fils, Anton Rupert, ne semble guère disposé à prendre la relève.

L’objectif de Third Point

Pour lui les actions de Richemont n’ont pas assez évolué, ce qu’il faudra relever. D’autant plus que ces concurrents sont en train de faire preuve. C’est le cas deux français LVMH et de Keroing qui sont des exemples. Également, Third Point essaye de faire ressortir les insuffisances des activités en ligne de Richemont et notamment pendant la pandémie.  Ce qui fait que les fonds activistes parvinrent d’autant plus sur ce schéma que Johann Rupert qui lui cherche à conserver ses parts.   De ce fait, cette fusion entre les deux pèserait moins pour chacun. Donc tout le monde pourra y trouver ses avantages.

lundi 8 novembre 2021

La croissance française atteint 3 % au troisième trimestre

 


Depuis le début de la pandémie du Covid 19, les domaines économique, financier et commercial de plusieurs pays ont été considérablement affaiblis. Ainsi, la France n’a pas été en reste de ce phénomène. Mais d’après plusieurs estimations, la croissance du pays pourrait atteindre jusqu’à 3 % au troisième trimestre à venir. C’est un chiffre qui dépasse toutes les estimations déjà  effectuées par les analystes, les institutions. Même l’Insee n’avait conjecturé qu’une croissance de 2,7 % au mois de septembre. D’après le ministre de l’économie français, ce résultat promet d’être  exceptionnel. Car si l’on le compare au trimestre dernier, cela va même dépasser les prévisions et permettre à l’économie du pays de renouer avec son niveau d’avant crise. Pour Bruno Le Maire « C’est un chiffre qui est au-delà de nos espérances ».

Ce qui justifient de telles prévisions

Effectivement, on parle bien d’une croissance de l’économie française. Il est prévu une reprise des secteurs du tourisme et des loisirs. De plus, les dépenses de consommation des ménages ont considérablement augmenté. Elles ont même atteint 5 %  en seulement un trimestre. Donc les prévisions futures annoncées sont largement fondées. Depuis plus de 50 ans une telle évolution n’a pas été notée. En dehors du rebond de l’été 2020 de plus de 18 % qui a suivi le premier confinement, pendant longtemps ce chiffre n’a pas été enregistré.

La France sur la bonne voie

Le fait de retrouver le niveau de croissance qu’il avait est déjà un bon début. Cela signifie qu’elle se redresse assez rapidement et de façon excellente. Les exportations ont connu une augmentation de plus de 2,3 % au moment où les importations sont presque stables avec un chiffre toujours étant de -0,1 %. Les services et le domaine de l’hôtellerie-restauration augmentent aussi. De ce fait,ce sont eux qui tirent de 43,4 % la production totale des biens et les services marchands.

Qu'en est-il de la zone euro  ?

En effet, une avancée du PIB de 2,2 % est aussi attendue pour la zone euro. Cela a été affirmé par Eurostat. Pour ce dernier, au second trimestre, l’ensemble de l’Union européenne aura une avancée de 2,1 %.  Parmi ces pays nous avons l’Allemagne avec + 1,8 %, l’Espagne avec, + 2 %, l’Italie avec + 2,6 % entre autres. Ce qui est une chose appréciée par les pays.

 

 

 

La neutralité carbone est-elle possible en France ?



Il est primordial pour la France d’investir sur les énergies renouvelables si elle veut diminuer sa consommation de carbone. La neutralité carbone doit nécessairement s’accompagner d’un réel développement des énergies renouvelables.

Le débat de la neutralité carbone

Pas plus tard que le lundi 25 octobre 2021, la question d’un éventuel avenir avec une totale neutralité carbone d’ici 2050 était l’objet du rapport du gestionnaire du réseau électrique français RTE.

Le niveau de consommation d’électricité de la France doit être plus élevé que celui actuel. Une parfaite neutralité carbone en 2050 doit passer par une transition du gaz et du pétrole utilisé dans les moyens de transport, les chauffages et dans le fonctionnement des industries.

Dans cette même lancée, le rapport lancé en 2019 confirme que l’énergie nucléaire reste une solution envisageable afin de rester dans les normes de la consommation de carbone.

Toutefois, il existe d’autres issues que l’augmentation de la consommation d’électricité comme l’atome qui reste beaucoup moins chères si l’on se tient au propos de la RTR.

Dans cette même ordre d’idée, le président de la Rte s’est exprimée à ce sujet en mettant l’accent sur une compensation du pétrole et du gaz fossile par la France en mettant les moyens nécessaires pour produire le maximum d’électricité ainsi qu’un renouvellement des moyens de production d’énergie nucléaire qui ne tarderont pas atteindre leur limite d’ici 2060.

Et c’est dans cette même idéologie que la RTE a étudié des scénarios pour le futur énergétique de la France, des scénarios qui débutent par une totale concentration sur les énergies renouvelables et qui se poursuit par un développement volontariste du nucléaire par le biais de petits réacteurs et de la construction de 14 EPR. En ce sens, Xavier Piechaczyk estime que ces scénarios ont fait l’objet d’une étude approfondie.

Les auteurs soutiennent qu’un développement des énergies renouvelables, de la capacité solaire et de l’éolien terrestre sont des conditions nécessaires à la neutralité carbone.

Toutefois économiquement parlant, la construction de nouveaux réacteurs semble plus intéressante que l’utilisation des énergies renouvelables. La différence qui réside entre les scénarios présentant de nouveaux réacteurs nucléaires et d’autres avec le postulat du développement de grands parcs renouvelables est énorme financièrement.

Les pouvoirs publics face à ce débat

Ces résultats interviennent dans un contexte particulier et proche de la campagne présidentielle. D’autant plus, que le sujet de l’énergie confronte une partie du pouvoir qui sont contre la consommation d’énergie nucléaire tandis que d’autres sont plus pour l’énergie nucléaire.

Bien que favorable à l’énergie nucléaire, le président Emmanuel Macron n’a pas donné sa décision par rapport au projet du lancement des six nouveaux EPR qui n’est autre qu’un réacteur nucléaire dont le premier exemplaire doit être lancé l’année prochaine en Normandie.

En conclusion, RTE s’en tient au fait que la neutralité carbone est possible avec un coût raisonnable passant par l’augmentation du coût de l’électricité à hauteur de 15% bien sûr avec en contrepartie la fin des dépenses pour certains besoins.

 

samedi 30 octobre 2021

C'est la guerre des levées de fond en France d’après Roxanne Varza (station F)


En France depuis quelques temps, on remarque que de plus en plus, de fond sont levées pour diverses causes.  Parmi celles-ci nous avons, le lancement de Lunch by station F, qui est un programme en ligne d’aide aux entrepreneurs motivés. C’est ainsi que certains vont jusqu’à parler de guerre des levées de fond en France. C’est la raison pour laquelle nos spécialistes en question se sont penchés sur la question afin d’avoir des informations sur et fiable sur cela. Dans les lignes qui vont suivre nous allons vous expliquer en détail, la situation ! Donc préparez- vous à vous délecter d’une actualité sur et fiable ! Nous vous souhaitons une très bonne lecture en espérant que cela vous sera utile.

Le programme en question 

En effet, c’est une initiative qui a été mise en place pour permettre au jeune qui le désirent de ne plus hésiter et de s’y lancer. Ainsi, le projet sera là pour les accompagner et les guider pour les premiers pas de leur entreprise. De ce fait, des fonds seront mis à leur disposition de même qu’une assistance sans faille. Donc, si vous êtes jeune et que vous avez des idées que vous voulez mettre en œuvre, ce projet est pour vous. Cela est dû au fait que beaucoup veulent mais, n’ont pas les informations indispensables pour débuter. Donc le programme d’après la Directrice même sera là pour les trouver, des partenaires, essayé de répondre à leur question etc. C’est dans cette mouvance que le programme envisage même de faire un état des lieux afin de mettre de l’ordre dans les nombreuses levées de fond connues ces derniers jours.

Des chiffres importants

Effectivement, au premier semestre, milliards d’euros ont été réuni par French Tech. Et d’ici la fin de l’année, il se peut que la barre des  milliards d’euros soit atteinte. C’est l’occasion aussi pour la Directrice de rappeler aux entrepreneurs que la levée de fond n’est que le commencement et qu’il leur vaudra prouver qu’ils ont le mérite d’en bénéficier en faisant tout pour que l’activité décolle.

En guise de résumé, nous pouvons dire que cette initiative, vient au moment.  De nos jours beaucoup de potentiels entrepreneurs ont du mal à réaliser leur projet.

 

États-Unis : malgré les pénuries, Tesla engendre des bénéfices records



En conséquence, Tesla a établi une stratégie adaptée à la crise. Elon Musk affirme d’ailleurs cette théorie selon laquelle l’utilisation de nouvelles puces ainsi que la réécriture des logiciels ont participé significativement à cette incroyable évolution.

La réaction de Tesla face à la crise

L’exportation de voitures fabriquées en Chine au Etats-Unis et en Europe grâce à la montée en puissance de l’usine Shanghai du directeur financier Zach Kirkhorn y est pour quelque chose. Tesla expliquerait même cette augmentation de ces ventes grâce à une grande production de véhicules combinée à une diminution considérable des coûts.

Tesla est sur le point d’atteindre son objectif de croissance annuelle de 50% bien évidemment avec la disponibilité de certains éléments qui sont d’ordre primordial soutient M. Kirkhorn.

Contre toute attente, la dépendance de Tesla face à la disponibilité de certains éléments rend sceptique les investisseurs d’après Garrett Nelson de CFRA qui tente de justifier le recul de l’action de 0.7% après la séance de Wall Street.

Entre le mois de juillet et de septembre, Tesla a connu une évolution de 57% de son chiffre d’affaire, ce qui explique que son bénéfice s’élève à 1,6 milliard durant cette période.

Si l’on se réfère au propos de M. Kirkhorn, malgré l’augmentation significative de la marge brute au cours du troisième trimestre, Tesla va d’ici la fin de l’année débuter la production de véhicules dans ces nouvelles usines à Austin et à Berlin. Et tout ça dans l‘unique but de répondre à la demande croissante de véhicules électriques.

Comme l’avait précisé Elon Musk, il n’a pas participé à la réunion téléphonique avec les analystes.

Les effets du bitcoin sur le constructeur d’automobile électrique

Après l’annonce de l’achat du bitcoin qui s’élève à 1.5 milliards de dollars, le constructeur d’automobiles électriques s’est vu gagner 101 millions de dollars durant le premier trimestre grâce à la devise virtuelle pour ensuite subir des charges durant les deux trimestres qui suivent, et pas n’importe quelle charge mais des charges excessives qui sont de 23 millions et de 51 milliards.

Ces opérations ont quand même généré des revenus qui étaient de 518 millions durant le premier trimestre, de 354 millions de dollars au cours du deuxième trimestre et de 279 millions de dollars au troisième trimestre.

lundi 18 octobre 2021

L’AIE prévient que la transition énergétique est « trop lente », un « sérieux avertissement » pour le monde



Dans son rapport annuel, l’agence internationale de l’énergie annonce que d’ici 2030, les engagements climatiques prévus par les États ne couvriront qu’une partie minime de la réduction des gaz à effet de serre.

Selon l’agence internationale de l’énergie, le monde est en train de suivre la voie susceptible de provoquer des complications pour notre futur. En ce sens, soutient-elle, à force de ne pas investir dans les énergies propres, notre monde risque d’être victime du réchauffement climatique.

Et pas que, cette insouciance peut nous conduire à faire face à des problèmes d’approvisionnement d’énergie.

Qu’est ce qui serait à l’origine ?

L’agence internationale de l’énergie soutient que l’utilisation du pétrole, du gaz et du charbon est une raison non négligeable des causes du réchauffement climatique puisqu’ils représentent 80% de la consommation finale d’énergie.

De nouvelles technologies ne consommant pas d’énergie destructrice voient le jour, toutefois la consommation des gaz à effet de serre est tellement croissante que si les états ne prennent pas leur responsabilité en adoptant des résolutions, le monde sera spectateur de sa destruction.

Les suggestions de l’AIE

Le directeur de l’AIE pense que pour qu’en 2050, qu’il ait une parfaite neutralité du Carbone, les investissements dans des projets d’énergie propre devraient se multiplier considérablement.

Alors que des progrès au niveau de l’électrification se faisaient ressentir, la crise sanitaire a provoqué un dérèglement des activités.

Tandis que le financement des pays émergents est une issue de secours à l’heure actuelle.

L’organisme issu de l’Organisation de coopération et de développement économiques propose trois éventuelles situations dans l’avenir.

La première situation est qu’il y’a un développement des énergies propres toutefois, les effets de l’industrie lourde vont entraîner le réchauffement climatique.

La deuxième possibilité est que plus de 50 États dont l’Union Européenne s’engagent dans le projet de la neutralité du carbone pendant qu’une augmentation de la demande de fossiles se fait ressentir de plus en plus avec l’efficacité de l’énergie.

Selon l’AIE, la dernière éventualité est la neutralité carbone qui suppose de l’investissement mais offre en retour beaucoup avantages. Les financements supplémentaires ne sont pas très excessifs du fait qu’une partie de la réduction d’émissions de gaz à effet de serre ne nécessite pas de fonds grâce à l’efficacité énergétique.

D’après l’AIE, il faudrait investir davantage dans le secteur de l’énergie pour ne pas subir les impacts négatifs et bouleversants de ce réchauffement.