Très souvent être leader dans son domaine s’accompagne de plusieurs éléments qui peuvent être lourds de conséquences. C’est dans ce sens que l’Union Européenne dans sa logique de garantir un marché équitable à tous. Un marché où la concurrence sera loyale appliquera des sanctions aux contrevenants des règles qui sont établies. Ce qui fait que depuis quelque temps ont remarqué que cinq géants de la banque se sont vu infliger des sanctions pour une entente sur le marché des opérations de change. Cela pour entraves aux règles qui ont été fixées. C’est dans un sens qu’une amende de plus de 344 millions d’euros a été fixée par l’UE afin de sanctionner ces entreprises. Et cela n’est que l’un des éléments dans les longues séries d’offenses de l’Union Européenne à l’encontre des entreprises qui enfreignent la loi.
Une amende après enquête
Les géants UBS, Barclays, Royal Bank of Scotland (RBS), HSBC et Crédit Suisse, ont été amendés à la suite d'une enquête qui les a déclarés coupables d’entente sur le marché des opérations de change. Cela intervient après une enquête datant de 2013. En mai 2019, ils ont été amendés pour une somme de 1, 07 milliards d’euros d’amendes. Cela a révélé que les traders de ces différentes banques sanctionnés qui se devaient de mener un travail dans les règles se coordonnent dans les stratégies de négociations adoptées par ces différentes banques. Ce qui nuit à une concurrence saine conformément aux règles établies. C’est la Banque UBS qui a révélé l’affaire. Ce qui fait qu’il a pu bénéficier d’une immunité totale. Donc, il ne paiera pas les 94 millions qu’il devait. Pour ce qui de Barclays, RBS et HSBC ils ont eu des réductions car ayant reconnu les faits et collaboré à l’enquête.
L’image négative des banques
C’est seulement le Crédit Suisse qui a refusé de coopérer. Ce qui fait
qu’il n’a pas eu de réduction. Il devra payer 83 millions d’euros. Et en plus
la majeure partie des entreprises qui ont été sanctionnés l’ont également été
dans le passé pour des affaires similaires. Même si beaucoup de banques avaient
affirmé avoir décidé de suivre la bonne voie. Ils se voient encore mêlés à ces
pratiques. Ces amendes de l’Union Européenne qui est infligée aux entreprises
pour des pratiques qui sont anti concurrentielles, constituent de budget général
de l’Union Européenne. Ce qui fait que les États membres réduisent leurs
contributions.