L’activité économique et commerciale a beaucoup été perturbée ces dernières années. Ainsi, les hydrocarbures comme le pétrole n’ont pas été en reste avec des prix qui ne font qu’augmenter. Beaucoup s'interrogent ainsi sur l’avenir de ce carburant indispensable. En effet, avec la récente reprise économique, la demande est en hausse. Ce qui fait que les prix flambent, en raison du fait que les pays exportateurs, réduisent l’accroissement de la production. C’est ce qui fait que les pays exportateurs de pétrole ont adopté récemment une stratégie visant à une augmentation des prix. Cela car la hausse anticipée des prix du pétrole reste insuffisante pour effectuer un rétablissement de l’équilibre budgétaire de nombreux pays pétroliers comme l’Algérie. Dans les lignes qui vont suivre nous allons vous donner davantage de détails sur cette situation qui risque très difficile pour plus d’un.
Une hausse future probable
Goldman Sachs qui est une banque américaine se prépare à une hausse
prochaine des prix du pétrole. D’après lui, les prix du pétrole pourraient
augmenter en 2022. Cela se fera en mesure que la demande se reconstitue. Il
faut noter que la demande était devenue importante avant l’apparition du
variant Omicron cela fut accompagné d’une augmentation de la demande en
hydrocarbures pour les jets privés et une économie mondiale qui est toujours en
croissance. D’autant plus que partout on note une tendance inflationniste aussi
bien dans l’économie que dans les services pétroliers. C’est ce qui fait que le
coût d’extraction risque aussi de monter en fonction de la capacité
d’extraction des entreprises.
Une hausse insuffisante pour le rétablissement de l’équilibre budgétaire
des pays pétroliers
Il est tout à fait probable que l’offre de pétrole ne puisse pas répondre à
la demande lorsque les économies mondiales se seront complètement remises de la
pandémie. Mais cela est loin d’être suffisant pour rétablir l’équilibre budgétaire
des pays qui sont les fournisseurs. Ce qui fait qu’en moins de deux ans le prix
du baril va passer de 45 à 100 dollars l’unité. Mais le gouvernement affirme
que cela reste une supposition car la tendance peut bel et bien s’inverser.
C’est principalement dû à l’apparition de ce nouveau variant avec les
incertitudes qui s’y accompagnent. Le cours du baril de Brent de la mer a perdu
1,99 % ou 1,95 dollars en février dernier.