Dans son rapport annuel, l’agence internationale de l’énergie annonce que d’ici 2030, les engagements climatiques prévus par les États ne couvriront qu’une partie minime de la réduction des gaz à effet de serre.
Selon l’agence internationale de
l’énergie, le monde est en train de suivre la voie susceptible de provoquer des
complications pour notre futur. En ce sens, soutient-elle, à force de ne pas
investir dans les énergies propres, notre monde risque d’être victime du
réchauffement climatique.
Et pas que, cette insouciance peut nous
conduire à faire face à des problèmes d’approvisionnement d’énergie.
Qu’est ce qui serait à l’origine ?
L’agence internationale de l’énergie
soutient que l’utilisation du pétrole, du gaz et du charbon est une raison non
négligeable des causes du réchauffement climatique puisqu’ils représentent 80%
de la consommation finale d’énergie.
De nouvelles technologies ne consommant
pas d’énergie destructrice voient le jour, toutefois la consommation des gaz à
effet de serre est tellement croissante que si les états ne prennent pas leur
responsabilité en adoptant des résolutions, le monde sera spectateur de sa
destruction.
Les suggestions de l’AIE
Le directeur de l’AIE pense que pour qu’en 2050,
qu’il ait une parfaite neutralité du Carbone, les investissements dans des
projets d’énergie propre devraient se multiplier considérablement.
Alors que des progrès au niveau de
l’électrification se faisaient ressentir, la crise sanitaire a provoqué un
dérèglement des activités.
Tandis que le financement des pays
émergents est une issue de secours à l’heure actuelle.
L’organisme issu de l’Organisation de
coopération et de développement économiques propose trois éventuelles
situations dans l’avenir.
La première situation est qu’il y’a un
développement des énergies propres toutefois, les effets de l’industrie lourde
vont entraîner le réchauffement climatique.
La deuxième possibilité est que plus de 50
États dont l’Union Européenne s’engagent dans le projet de la neutralité du
carbone pendant qu’une augmentation de la demande de fossiles se fait ressentir
de plus en plus avec l’efficacité de l’énergie.
Selon l’AIE, la dernière éventualité est
la neutralité carbone qui suppose de l’investissement mais offre en retour
beaucoup avantages. Les financements supplémentaires ne sont pas très excessifs
du fait qu’une partie de la réduction d’émissions de gaz à effet de serre ne
nécessite pas de fonds grâce à l’efficacité énergétique.
D’après l’AIE, il faudrait investir
davantage dans le secteur de l’énergie pour ne pas subir les impacts négatifs
et bouleversants de ce réchauffement.