Dans le monde des affaires, on remarque souvent que des entreprises se lient à d'autres dans le but de pouvoir mieux mener à bien leur activité et accroître leur chiffre d'affaires. Ce qu’a fait récemment Richement qui s’est lié avec Kering. Cela car les fonds de Third Point et Artisan Partners sont ancrés dans le capital en essayant de sauver les verrous de la gouvernance. Cela dans l’éventualité d’un mariage qui a finalement abouti. Ce qui inquiète beaucoup de personnes qui ne sont pas rassurées par l’introduction de ces fonds activistes.
Les incertitudes qui se sont manifestées
En effet, pour certains, le loup est dans la bergerie ce qui fait qu’un nombre important de fonds activistes sont entrés au capital du groupe suisse Richemont. Ce groupe est très connu pour ses excellentes marques Cartier et Van Cleef et Arpels. L’un des fonds les plus importants et redoutables au monde, Third Point, vient participer à hauteur de 2 à 3 %. Il est maintenant le chef de fil d’un groupe de plusieurs actionnaires financiers, décidé à bousculer Richemont il s’agit d’un autre fonds activistes. Et ce n’est pas la première offensive sur les poids lourds. Il y a eu Essilor Luxottica, Nestlé, Vivendi, et de nos jours Shell à qui il demande une scission.
Une lutte à venir entre les fonds et les Johann Rupert
Effectivement le groupe suisse préside depuis 20 ans. Ce qui fait qu’il concentre beaucoup de pouvoir avec un capital de 10 % environ. Désormais, Johann Rupert verrouille Richemont comme ce fut le cas avec le géant Arnaud Lagardère. L’objectif de l'investisseur Third Point est de faire avancer le verrou comme Amber a fait en sautant la commandite chez Lagardère.
Les critiques des investisseurs
En effet, les investisseurs du géant Richemont fustigent énormément les l’influence ou encore le monopole important qu’exerce le président Richemont sur son conseil d’administration qui est pléthorique et composé d’une vingtaine de membres qui sont tous proches de lui. Aussi, dénoncent-t-il un comité exécutif qui n’a pratiquement pas de pouvoir. Cela car Juhann Rupert entretient les clans afin de mieux régner. Et le dernier élément consiste le fait que ce dernier ne prévoit aucun plan pour sa succession. Et cela malgré son âge et le fait que son fils, Anton Rupert, ne semble guère disposé à prendre la relève.
L’objectif de Third Point
Pour lui les actions
de Richemont n’ont pas assez évolué, ce qu’il faudra relever. D’autant plus que
ces concurrents sont en train de faire preuve. C’est le cas deux français LVMH
et de Keroing qui sont des exemples. Également, Third Point essaye de faire
ressortir les insuffisances des activités en ligne de Richemont et notamment
pendant la pandémie. Ce qui fait que les fonds activistes parvinrent
d’autant plus sur ce schéma que Johann Rupert qui lui cherche à conserver ses
parts. De ce fait, cette fusion entre les deux pèserait moins
pour chacun. Donc tout le monde pourra y trouver ses avantages.