Lumière sur Steve Ballmer, lieutenant tonitruant de Bill Gates

Steve Ballmer est à la tête de Microsoft depuis 2000 après le retrait de son fondateur, Bill Gates.

Wolfgang Schreiber, PDG de Bugatti, et la persistance du luxe automobile français

Bugatti reste une référence dans le monde de l'automobile. Auréolée par plus de 10 000 victoires en course, un record jamais égalé, cette firme tricolore basée à Molsheim, en Alsace, incarne aujourd'hui encore cet esprit de sportivité et de faste hérités de son flamboyant passé.

L'efficacité énergétique selon Gilles Schnepp, PDG de Legrand

Legrand est un acteur important dans la domotique et les équipements électriques des bâtiments.

Yahoo! et la croissance externe à marche forcée

Pour la première fois depuis deux ans, l’entreprise californienne devance son grand rival Google.

Alain Pons et les ambitions de Deloitte

L’arrivée d’Alain Pons à la présidence de la direction générale de Deloitte France en juin 2010 a changé les perspectives du très réputé cabinet d’audit.

mardi 28 décembre 2021

De Washington à Moscou en passant par Londres et Mexico, la hausse des taux est enclenchée pour combattre l’inflation



Depuis le début de la pandémie du Covid 19, les domaines économique, financier et commercial de plusieurs pays ont été considérablement affaiblis. Ainsi, l’Amérique, la Russie ou encore L’Angleterre  n’ont pas été en reste de ce phénomène. Ainsi, d’après plusieurs estimations, la croissance des pays a stagné encore quelque temps. C’est une affirmation qui choque la majorité des acteurs économiques. En effet, l’inflation qui n’était censée n’être que temporaire. Ce résultat promet d’être plus que décevant. Car si l’on le compare au trimestre dernier, cela devrait même dépasser les prévisions et permettre à l’économie du pays de renouer avec son niveau d’avant crise. C’est dans ce sens que beaucoup de pays ont annoncé la prise en compte de mesures nouvelles pour lutter contre la hausse des prix. Au moment où la banque centrale américaine pourrait relever ses taux au printemps, le Royaume-Uni, la Norvège, la Russie, le Chili et la Turquie annoncent cette semaine une hausse de leur taux directeurs pour lutter contre cette hausse des prix. Pour ce qui est de la BCE, il envisage la remontée des taux d’ici 2022.

Une solution adéquate pour lutter contre l’inflation

Cette solution va permettre de réaliser une grande poussée inflationniste. Cela permettra d’avoir une grande augmentation des taux d’intérêts, ce qui produira l’effet de l’augmentation des coûts d’emprunts et de ralentissement de la demande. Il est aussi important de rappeler que ces achats d’actifs s’élevaient à 120 milliards de dollars par mois et cela depuis le début de la crise jusqu’à novembre passé. C’était une très bonne initiative ayant permis de fournir un soutien important à l’économie américaine. Toutefois, il faut le préciser, cela a gonflé les bilans des réserves de la Fed. Maintenant, il est envisagé la réduction du bilan de l’institution plus précisément en donnant l’occasion à ces bons de trésor et MBS de gagner en maturité sans réaliser un renouvellement. Aussi, la puissance fédérale souhaite aussi effectuer une accélération du rythme de réduction de ses achats d’actifs.

Une chute existante des marchés financiers

C’est dans l’annonce d’un possible resserrement rapide et plus puissant de la politique monétaire américaine que ce vendredi on a connu une baisse des marchés financiers. C’est dans ce sens qu’il a été noté que les grands indices européens ont fini dans le rouge à l’exception de Londres. Cela intervient à un moment où le variant Omicron poursuit sa propagation à un rythme qui inquiète plus d’un. Mais dans toute cette agitation, la BCE garde aussi son calme. Et récemment la Banque d’Angleterre qui est la première parmi les pays du G7 a surpris en décidant de remonter son taux directeur et en laissant ouverte à d’autres pour contrer une inflation britannique. Pour ce qui est de la Russie on a la 7ième hausse des taux, elle fait chuter la livre en Turquie, est 5ième au Mexique, ce qui justifie l’appel à la prudence de la FMI.

 

Vers un prix du baril du baril de pétrole au-dessus de 100 dollars



L’activité économique et commerciale a beaucoup été perturbée ces dernières années. Ainsi, les hydrocarbures comme le pétrole n’ont pas été en reste avec des prix qui ne font qu’augmenter. Beaucoup s'interrogent ainsi sur l’avenir de ce carburant indispensable. En effet, avec la récente reprise économique, la demande est en hausse. Ce qui fait que les prix flambent, en raison du fait que les pays exportateurs, réduisent l’accroissement de la production. C’est ce qui fait que les pays exportateurs de pétrole ont adopté récemment une stratégie visant à une augmentation des prix. Cela car la hausse anticipée des prix du pétrole reste insuffisante pour effectuer un rétablissement de l’équilibre budgétaire de nombreux pays pétroliers comme l’Algérie. Dans les lignes qui vont suivre nous allons vous donner davantage de détails sur cette situation qui risque très difficile pour plus d’un.

Une hausse future probable

Goldman Sachs qui est une banque américaine se prépare à une hausse prochaine des prix du pétrole. D’après lui, les prix du pétrole pourraient augmenter en 2022. Cela se fera en mesure que la demande se reconstitue. Il faut noter que la demande était devenue importante avant l’apparition du variant Omicron cela fut accompagné d’une augmentation de la demande en hydrocarbures pour les jets privés et une économie mondiale qui est toujours en croissance. D’autant plus que partout on note une tendance inflationniste aussi bien dans l’économie que dans les services pétroliers. C’est ce qui fait que le coût d’extraction risque aussi de monter en fonction de la capacité d’extraction des entreprises.

Une hausse insuffisante pour le rétablissement de l’équilibre budgétaire des pays pétroliers

Il est tout à fait probable que l’offre de pétrole ne puisse pas répondre à la demande lorsque les économies mondiales se seront complètement remises de la pandémie. Mais cela est loin d’être suffisant pour rétablir l’équilibre budgétaire des pays qui sont les fournisseurs. Ce qui fait qu’en moins de deux ans le prix du baril va passer de 45 à 100 dollars l’unité. Mais le gouvernement affirme que cela reste une supposition car la tendance peut bel et bien s’inverser. C’est principalement dû à l’apparition de ce nouveau variant avec les incertitudes qui s’y accompagnent. Le cours du baril de Brent de la mer a perdu 1,99 % ou 1,95 dollars en février dernier.

 

 

mardi 21 décembre 2021

Droits voisins : Google abat ses dernières cartes pour sortir du conflit avec la presse



Très souvent être leader dans son domaine s’accompagne de plusieurs éléments qui peuvent être lourds de conséquences. C’est dans ce sens que l’Autorité française de la concurrence dans sa logique de garantir un marché équitable à tous. Un marché où la concurrence sera loyale appliquera des sanctions aux contrevenants des règles qui sont établies. Ce qui fait que depuis quelques temps on remarque que le géant américain Google s’est vu infligées sanctions. Cela pour entraves aux règles qui ont été fixées. C’est dans un sens que des critiques acerbes de la part de la presse lui tombent dessus ces derniers temps. Et cela n’est que l’un des éléments dans les longues séries d’offenses des médias à l’encontre du géant. C’est pour éviter les retombées négatives de cette situation que le géant américain vient de soumettre une série d'engagements de sa part auprès de l’Autorité française de la concurrence.

Google abat ses dernières cartes

Depuis de nombreux mois, un conflit oppose le géant à la presse française. C’est pour ne pas que l’Autorité de la concurrence n’appliquent des pénalités à son encontre que le géant a fait tout pour prendre les devants. Cela dans le sens de l’instruction dans les détails du complexe affaire sur le dossier des droits voisins qui a été ouvert l’année passée.  C’est dans ce sens que mercredi passé, le géant Google a conclu une série de huit engagements sur une durée estimée à 5 ans. Cela s’est fait auprès du gendarme de la concurrence qu’est l’Autorité française de la concurrence.

Des engagements se conformant à la loi sur le droit voisin

Depuis le mois de septembre 2019, une loi est intervenue sur les droits voisins. Cela oblige les plateformes numériques à procéder à la rémunération des éditeurs de presse pour la publication de même que le partage de leur contenu. C’est ce qui fait qu’un tribunal arbitral a dû intervenir avec ces huit engagements de Google. Ceux-ci visent à assurer une parfaite pérennisation de l’ensemble des injonctions de ces deux derniers mois de l’Autorité de la concurrence. Ainsi, la durée des négociations est fixée à trois mois. Aussi cette négociation doit se faire de bonne foi. Ce qui pour beaucoup  va enfin clôturer des mois de bras de fer.  Donc Google a fait appel de cette décision mais a réglé son amende depuis la semaine passée.

Buffalo Grill lance en France la chaîne de fast food popeyes louisiana kitchen pour concurrencer KFC



Dans le monde très concurrencé de l’alimentation, nous avons plusieurs entreprises qui se disputent le monopole du marché. C’est ce qui fait que désormais, le géant Buffalo Grill importe en France la chaîne de fast food popeyes Louisiana kitchen. Cela c’est seulement dans le but de concurrencer KFC voire même d’être leader dans le domaine. Ainsi, l’enseigne spécialisée dans les grillades de viande s’apprête à faire un déploiement  en France de la chaîne de fast food qui est le deuxième acteur mondial de la protéine de poulet. Cela car de plus en plus le poulet pané est un délice adulé par les clients mais aussi il attire beaucoup d’investisseurs. C’est ce qui fait que le patron de Buffalo a décidé pour donner un meilleur goût de grillade de l’assaisonner à la sauce Louisiane afin de proposer aux clients, des mets très savoureux.

Un lancement futur du groupe en France

Comme l’a annoncé récemment la marque de la restauration Popeyes louisiana Kitchen qui est le second mondial dans la production et la commercialisation de la protéine de poulet avec plus de 3500 établissements. D’après lui, c'est une acquisition qui a aussi porté sur la master franchise de l’enseigne auprès du groupe restaurant Brands International. Ce dernier est en effet un groupe qui a en plus de Popeyes, Burger King et aussi Tim Hortons. Ce poulet pané avait donc déjà été implanté en France. Mais cette tentative volaillère fut née dans l’œuf. Ce qui fait que dès décembre 2018, le rideau tombait.

Une perspective de premier restaurant pour le second semestre de l’année 2022

Pour cette nouvelle lancée, le géant américain a choisi de s’appuyer sur Napaqaro. Il s’agit d’une société qui est née du rapprochement de deux marques de restauration française de service de table. Ces deux enseignes réunies, emploient désormais plus de 11 000 salariés répartis sur plus de 600 restaurants. C’est ce qui fait que Monsieur Olive se dit prêt à prendre des parts d’estomac à la concurrence.  Donc sachez qu’au pays du coq gaulois, le combat est annoncé.

 

 

 

lundi 13 décembre 2021

Entente : l’UE inflige 344 millions d’euros d’amendes à Cinq banques



Très souvent être leader dans son domaine s’accompagne de plusieurs éléments qui peuvent être lourds de conséquences. C’est dans ce sens que l’Union Européenne dans sa logique de garantir un marché équitable à tous. Un marché où la concurrence sera loyale appliquera des sanctions aux contrevenants des règles qui sont établies. Ce qui fait que depuis quelque temps ont remarqué que cinq géants de la banque se sont vu infliger des sanctions pour une entente sur le marché des opérations de change. Cela pour entraves aux règles qui ont été fixées. C’est dans un sens qu’une amende de plus de 344 millions d’euros a été fixée par l’UE afin de sanctionner ces entreprises. Et cela n’est que l’un des éléments dans les longues séries d’offenses de l’Union Européenne à l’encontre des entreprises qui enfreignent la loi.

Une amende après enquête

Les géants UBS, Barclays, Royal Bank of Scotland (RBS), HSBC et Crédit Suisse, ont été amendés à la suite d'une enquête qui les a déclarés coupables d’entente sur le marché des opérations de change. Cela intervient après une enquête datant de 2013. En mai 2019, ils ont été amendés pour une somme de 1, 07 milliards d’euros d’amendes. Cela a révélé que les traders de ces différentes banques sanctionnés qui se devaient de mener un travail dans les règles se coordonnent dans les stratégies de négociations adoptées par ces différentes banques. Ce qui nuit à une concurrence saine conformément aux règles établies. C’est la Banque UBS qui a révélé l’affaire. Ce qui fait qu’il a pu bénéficier d’une immunité totale. Donc, il ne paiera pas les 94 millions qu’il devait. Pour ce qui de Barclays, RBS et HSBC ils ont eu des réductions car ayant reconnu les faits et collaboré à l’enquête.

L’image négative des banques

C’est seulement le Crédit Suisse qui a refusé de coopérer. Ce qui fait qu’il n’a pas eu de réduction. Il devra payer 83 millions d’euros. Et en plus la majeure partie des entreprises qui ont été sanctionnés l’ont également été dans le passé pour des affaires similaires. Même si beaucoup de banques avaient affirmé avoir décidé de suivre la bonne voie. Ils se voient encore mêlés à ces pratiques. Ces amendes de l’Union Européenne qui est infligée aux entreprises pour des pratiques qui sont anti concurrentielles, constituent de budget général de l’Union Européenne. Ce qui fait que les États membres réduisent leurs contributions.

 

 

 

 

CMA CGM étend son empire logistique en s’emparant d’Ingram Micro CLS pour 3 milliards de dollars



Dans le domaine des affaires, le plus souvent les entreprises essayent d’étendre leur influence en acquérant de nouvelles. C’est le cas récemment de CMA CGM qui envisage d’acquérir le géant Ingram Micro CLS. Pour cette nouvelle acquisition, le géant est prêt à débourser à peu près 3 milliards de dollars. Ainsi, il va ajouter à son tableau de chasse l’américain  qui est spécialiste de la logistique contractuelle. Il s’agit du leader mondial du fret maritime. Ce qui fera que si cela arrive, il sera dans le top 5 mondial des leaders mondiaux de la logistique. C’est un rachat qui sera aussi un moyen pour le géant de renforcer sa stratégie dans le domaine. Cela lui permettra de régner à la fois sur les airs mais aussi sur terre et cela en s’accaparant de tous les maillons de la chaîne d’approvisionnement du commerce mondial.

Le domaine concerné par l’opération de rachat

Il s’agit principalement du domaine commercial et du Lifecycle d’Ingram Micro. Cela concerne également l’entité Shipwire avec les activités de logistique de l’entreprise en Amérique du Nord, en Europe, en Amérique latine et aussi en Asie-Pacifique. En dehors de ces activités qui viennent d’être listées, le reste des activités sera gardé par Ingram Micro notamment celles de CLS. 

Ce dernier a pour activité principale auprès d’Ingram Micro est la logistique contractuelle pour le e-commerce et la gestion des commandes omnicales. Cela il faut le préciser aussi prend en compte l’acquisition de Shipwire qui est une plateforme technologique et logistique dans le domaine du stockage du cloud. Et plus précisément il s’occupe plus des du traitement des commandes offrant des solutions pérennes pour ce qui est de la logistique flexible pour les PME du secteur de l’e-commerce.

Une nouvelle ampleur pour CMA CGM

Cette opération  sera en effet l'événement qui va davantage propulser le géant dans sa filiale logistique. Il sera ainsi, sans doute le numéro un mondiale dans ce domaine. De ce fait, il va aider les entreprises à choisir le meilleur moyen d’acheminer leurs marchandises partout dans le monde entier. Que ce soit par des avions, des bateaux, des trains ou encore des camions. Et dans presque tous les  pays du monde il aura des collaborations en excluant le nombre important de ses salariés qui va bien croître.

Cette stratégie va s’appuyer sur deux piliers majeurs que sont : le transport maritime et la logistique. Dans ces deux secteurs cités le groupe est déjà parmi les leaders mondiaux. Donc CMA CGM envisage de bien ancrer son emprise dans le domaine. Ce qui fera de lui une entreprise qui sera difficile à concurrencer. Cela dans les tous les domaines d’activités dans lesquels il est compétent. Ce qui fera de lui le seul leader mondial. Cela s’est fait à travers des étapes successives de son développement. Pour en arriver aujourd’hui à ce résultat et au stade où il en est aujourd’hui.

 

 

mercredi 1 décembre 2021

Affaire Tapie : Après la mort de l’homme d’affaires, trois questions sur la décision de la cour d’appel



Il y a quelques temps éclatait l’affaire dite du  crédit Lyonnais. Avant même que la cour d’appel puisse rendre son verdict concernant le Sieur Bernard Tapie et ses co-accusés, celui-ci décède. Beaucoup se sont posé la question de savoir si cela n’entrainait pas la fin des poursuites pénales à son encontre ? De ce fait deux mois et demi après sa mort, la cour d’appel de Paris rend son arrêt dans cette affaire qui est très controversée concernant le Crédit Lyonnais de 2008. C’est ce qui fait qu’au moins trois questions sont soulevées après la décision de la cour d’appel. 

Les détails de l’affaire

C’est une affaire qui est très compliqué. C’est ce qui fait qu’il a été surnommé du nom de son protagoniste le plus célèbre Bernard Tapie qui est mort d’un cancer.  Ce qui a fait que l’affaire a été repoussé. Deux mois et demi après la mort de ce dernier la cour d’appel rend afin sa décision sur l’affaire.

Le sort des accusés

Pour ce qui est du défunt Bernard Tapie, il ne va rien se passer. Cela en raison du principe d’extinction des poursuites qui veut que quand une personne est poursuivie, et que sa mort intervient en cours d’instances que les poursuites menées contre elle soit abandonnées automatiquement. C’est ce qui a été appliqué au Sieur Tapie dans cette affaire. Toutefois, pour ce qui est de ses co-accusés, les poursuites ne sont pas encore terminées, l’affaire suit son cours. 

Il s’agit plus particulièrement de Stéphane Richard qui est l’actuel PDG d’Orange contre qui le parquet  avait requis une peine de trois ans d’emprisonnement dont 1 an ferme et une amende de 100 000 euros pour complicité de détournement de fonds publics. Pour le directeur de cabinet de l’époque de Christine Lagarde à Bercy qui était soupçonné d’avoir joué un rôle important pour le choix d’une justice qui serait arbitraire notamment avec de telles sommes en jeu. Elle a été reconnue coupable de négligence par la cour de justice de la République. Quant aux trois arbitres, ils ont été condamnés à trois ans de prison avec sursis et une amende de 300 000 euros.

Cette affaire date de plus de 30 ans. Mais ce qui est sûr c’est que l’affaire est loin d’être terminée car beaucoup de choses sont à éclaircir.

 

 

Travail dissimulé, les micro-entrepreneurs dans le viseur de l’administration



De nos jours, nous avons de plus en plus de particuliers qui s’adonnent à la petite ou moyenne entreprise encore appelé les microentreprises. De ce fait, ils sont de plus en plus dans le viseur des services de l’administration dans la mesure où beaucoup estime que plusieurs milliards d’euros sont perdus par l’État en raison de leur travail qui est dissimulé. Avant ces agences étaient reléguées au second plan mais, de nos jours, elles sont devenues indispensables car employant la majeure partie des travailleurs. Cela du fait qu’ils se trouvent en quelque sorte dans le secteur informel. Beaucoup se sont certainement dit en un moment donné pourquoi ne pas s’intéresser de très près à ces entreprises? Dans les lignes qui vont suivre, nous allons vous expliquer en détail les raisons pour lesquelles le gouvernement va dans une logique de formalisation de ces activités ! Nous vous souhaitons une très bonne lecture !

Les raisons de telles mesures

Il est clair que les pouvoirs publics se basent le plus souvent sur les impacts sociaux, économiques et fiscaux du travail dissimulé. Cela se manifeste par une absence de déclaration de tout ou partie de son activité. Ce qui fait que les obligations de paiement de cotisations sur cette activité ne s’appliqueront pas à vous. Cela a un impact sur les finances mais crée aussi une concurrence déloyale qui est une infraction en droit du travail et en droit commercial. Mais, il faudrait être prudent sur ce point car l’évaluation de la fraude ne peut déboucher que sur des approximations.

Les manquements de la part de l’État

Ne pas régulariser ce secteur entraîne nécessairement des pertes de capitaux pour l’État. Et pour les représentants du gouvernement, l’estimation des fraudes des travailleurs indépendants varie entre 75 et 105 millions d’euros. Ce qui place plusieurs entreprises en situation d'illégalité. Des contrôles aléatoires sont en train d’être fait sur différents secteurs comme le bâtiment et les travaux publics.

Les limites de certains dispositifs de contrôle

Cela est liée notamment à la prime d’activité. C’est-à-dire le fait de déclarer son activité quand celle-ci est totalement dissimulée permettrait de bénéficier de la prime d’activité tandis que le fait de déclarer un complément de rémunération conduirait à la diminution ou à la perte totale de la prime d’activité. Ce qui signifie que les conséquences du travail dissimulé sur le secteur privé ne peuvent vraisemblablement être évitées. Pour l’Ursaaf, pour ce qui est de la dissimulation, le manque à gagner serait compris entre 5,2 et 6,6 milliards d’euros. Et cela se situe sur le champ du régime général de l’assurance-chômage. C’est un taux de dissimilation qui est vraiment très important et qui oscille entre 2,2 et 2,7 % de l’assiette totale. Ces derniers regroupent généralement les déclarations et les non-déclarations.

En résumé, nous pouvons dire que l’État avance de nombreuses raisons qui l’ont poussé à surveiller de très près les entreprises qui ont un travail dissimulé. Reste à savoir si cela marchera !