Lumière sur Steve Ballmer, lieutenant tonitruant de Bill Gates

Steve Ballmer est à la tête de Microsoft depuis 2000 après le retrait de son fondateur, Bill Gates.

Wolfgang Schreiber, PDG de Bugatti, et la persistance du luxe automobile français

Bugatti reste une référence dans le monde de l'automobile. Auréolée par plus de 10 000 victoires en course, un record jamais égalé, cette firme tricolore basée à Molsheim, en Alsace, incarne aujourd'hui encore cet esprit de sportivité et de faste hérités de son flamboyant passé.

L'efficacité énergétique selon Gilles Schnepp, PDG de Legrand

Legrand est un acteur important dans la domotique et les équipements électriques des bâtiments.

Yahoo! et la croissance externe à marche forcée

Pour la première fois depuis deux ans, l’entreprise californienne devance son grand rival Google.

Alain Pons et les ambitions de Deloitte

L’arrivée d’Alain Pons à la présidence de la direction générale de Deloitte France en juin 2010 a changé les perspectives du très réputé cabinet d’audit.

jeudi 20 septembre 2018

La filiale de Bayer, Monsanto fait appel de sa condamnation



Condamné à payer une somme de 289 millions de dollars au jardiner qui a porté plainte contre elle, l’entreprise Monsanto fait appel et estime que les preuves fournies par son accusateur n’étaient pas suffisantes pour céder à une telle accusation. Le cancer du jardinier accusateur, pourrait ne pas être causé par le glyphosate qui n’est pas prouvé être si toxique.

Les preuves de Dewayne Johnson sont-elles insuffisantes ?


Ce n’est pas la première fois qu’une telle histoire se présente à la cour de San Francisco. Partout aux Etats-Unis, de nombreux employés, victimes de l’utilisation de produits chimiques lors de leur service ont porté des plaintes contre leurs employeurs. C’est l’histoire de Johnson Dewayne qui est un jardinier atteint du cancer après avoir utilisé le glyphosate. Selon l’entreprise, les preuves fournies par Mr Johnson ne sont pas suffisantes pour poursuivre l’accusation. Il faut reconnaître que Monsanto est le principal fabricant des herbicides à base du glyphosate depuis plus de 40 ans sur la marché. Depuis la mise sur le marché de ces produits, des analyses scientifiques ont été faites, prouvant que le glyphosate n’est pas nuisible à la santé. Selon la filiale de Bayer qui est accusée par le jardiner, les preuves présentées sont inférieures à la norme de causalité requise par la loi californienne. Un appel a été fait donc ce 18 septembre à la cour de Californie pour trouver une autre tournure à cette affaire.

Le 10 octobre, date d’un nouveau procès


C’est en 2016 que le procès de Johnson Dewayne a été fait rapidement à cause de son état de santé précaire, qui est un cancer du système lymphatique. Nommé lymphome non hodgkinien, ce cancer est une atteinte grave au système immunitaire de l’organisme. Selon Johnson, il aurait écopé de cette maladie par une exposée sur de nombreuses années aux herbicides Roundup et Ranger Pro qui sont produits par l’entreprise. La juge Suzanne Bolanos qui préside le procès a été sommée par Mosanto d’ordonner un autre procès ou de réduire la somme imposée. Le 10 octobre prochain, un autre procès sera prononcé et l’entreprise est prête à faire un recours au verdict si elle n’est pas satisfaite. Après le rachat de la société Monsanto il y a quelques mois pour 63 milliards de dollars, l’action Bayer a connu une baisse après la condamnation de sa filiale. La clôture de l’action a été faite à 73,30 euros soit une baisse de 20% avant la condamnation.


La voiture électrique, pas encore dans le style de vie des français ?

Pour préserver l’environnement et le maintenir sain pour les générations futures, les gouvernements ont mis des stratégies en place pour réduire l’émission des gaz à effet de serre. La France s’est lancée dans la production des voitures électriques pour remplacer les automobiles à diesel et essence qui ne sont pas bénéfiques pour l’environnement. Selon un sondage, la majorité des français voudrait bien adopter ce nouveau moyen de transport, mais certains éléments constituent des freins.

La place de la voiture écologique


Selon une étude réalisée par l’Association nationale pour le développement de la mobilité électrique et le groupe d’entretien automobile Mobivia, il a été reconnu que la majeure partie des français voudrait bien s’essayer à ces voitures électriques qui ne sont pas polluantes. En effet, pour aider à préserver l’environnement, ils seraient prêts à échanger leurs voitures contre celles électriques qui sont déjà en circulation par quelques personnes. Mais, même si c’est leur désir de troquer leurs voitures, il reste encore quelques raisons qui les empêchent de le faire.

Les voitures ne sont pas accessibles


Même si ces voitures présentes des avantages pour l’environnement, elles ne sont pas idéales pour une utilisation familiale. Non seulement elles sont chères, leur autonomie n’est pas assez grande pour faire de longs voyages. De plus, le temps de recharge est un facteur qui n’encourage pas l’achat. La plupart de ces véhicules sont destinés à aller sur son lieu de travail. Selon le sondage, il a été relevé que plus de la moitié des français seraient prêts à acheter ces véhicules même si leurs prix sont élevés, à la seule condition qu’ils aient une autonomie supérieure à 500km/h. si les constructeurs arrivaient à réussir ce défi, les français pour adopter une nouveau style de vie avec leurs véhicules.

Des voitures aux multiples avantages


Selon les organismes de recherche, l’utilisation de la voiture électrique peut être d’un gros avantage pour les consommateurs. Le premier élément serait un bonus écologique de 6000 euros avec une prime de 2500 euros qui est celle de la conversion. Avec ces sommes, les consommateurs pourraient faire une bonne affaire. De plus, il existe aujourd’hui plus de 23000 stations de recharge sur tout le territoire, environ une station tous les 80km. Ceci est une opportunité qui pourra être exploitée par les conducteurs. Sur le territoire français, il est remarqué que la jeunesse est plus intéressée par cette nouvelles technologie que les parents qui sont y sont encore un peu hostiles.

vendredi 14 septembre 2018

Les salaire des cadres ont connu une hausse en 2017



En 2017, les cadres se sont frottés les mains. En effet, selon une étude qui a porté sur près de 18.000 cadres, cette année 2017 a vu une hausse notoire de leur salaire. La tendance a était confirmée par l’APEC (Association pour l’Emploi des Cadres). Les chiffres publiés montrent nettement une hausse et de la rémunération médiane brute annuelle et de la rémunération moyenne brute annuelle. Un constat qui montre que les indicateurs restent toujours au vert pour les cadres d’entreprise et leurs emplois. Ce qui augure un avenir optimiste avec un contexte économique assez favorable pour eux avec des chiffres positifs de la croissance.

Une hausse notoire des rémunérations annuelles


2017 reste à coup sûr une année verte pour les cadres et leurs emplois. Particulièrement, ce sont les rémunérations annuelles qui ont grimpé. Il s’agit des rémunérations médianes brutes annuelles et moyennes brutes annuelles. En effet, de 48.000 euros en 2016, la rémunération médiane brute annuelle a atteint près de 49.100 euros en 2017. Un pic de 2% qui a été indiqué par l’association pour l’emploi des cadres et qui a touché une partie importante des cadres des entreprises (près de 50%). En ce qui concerne la rémunération moyenne brute annuelle, elle a atteint la barre de 56.000 euros en 2017 alors qu’elle était de 55.600 euros l’année précédente. Cette tendance à la hausse ne risque guère de changer selon ces cadres qui se disent optimistes pour les années à venir. 

Le secteur de l’industrie, en pôle position


L’augmentation de ces salaires des cadres est davantage notée dans les entreprises à grande envergure qui regroupent plus de salariés et de cadres. Dans ces ténors, le salaire médian annuel peut atteindre jusqu'à 51.000 euros contre 45.000 euros en ce qui concerne les petites entreprises. Malgré tout, ces différences salariales se sont amoindries en 2017 du fait de l’envergure des entreprises. Le champion de l’augmentation salariale des cadres est le secteur de l’industrie chimique, pharmaceutique, entre autres. Dans ce secteur industriel, la rémunération médiane s’est établie en 2017 à près de 52.000 euros. Les autres secteurs tels que le commerce, la construction, les services emboitent respectivement le pas à l’industrie. Ces hausses de salaire sont toutefois liées à la situation professionnelle des cadres lorsqu’ils passent d’une entreprise à une autre notamment sans connaître de période de chômage et qui négocient en avance leur salaire.


280 millions de dollars seront versés à Dassault



Dassault avait en décembre infligé un grand affront à Safran en mettant un terme au programme d’aviation Falcon 5X ainsi qu’au moteur. Suite à cela les 2 compagnies viennent de s’entendre sur un accord financier.

Retour à la normale


C’était en décembre 2017 lorsque la compagnie Dassault avait annoncé l’interruption du contrat de Silvercrest qui est le moteur devant servir d’équipement à avion Flacon 5X qui est une nouvelle création de la compagnie. Les 2 compagnies ont affirmé ce 6 septembre qu’elles ont pu trouver un terrain d’entente qui mettrait fin à leurs différends. Ainsi cet accord amiable est caractérisé par une somme de 280 millions de dollars qui sera reçue par Dassault en guise d’indemnisation. Cette somme sera versée par la compagnie Safran et les autres clauses commerciales du contrat comme les versements financiers de Safran ne connaitront aucun changement. Cette entente permettra à Dassault Aviation de produire des résultats positifs pour cette année 2018. Safran de son côté déclare que le paiement se fera sur 3ans à compter de cette année et que le versement des indemnités ne l’affectera pas sur le plan financier.

L’évolution lente de la compagnie Safran


L’une des raisons de la résiliation du contrat par Dassault est son impatience face au développement du moteur. En effet la compagnie Safran n’évoluait pas vraiment sur la fabrication de ce moteur et l’interruption du contrat fut une grande honte pour la compagnie. On sait tous que Safran occupe une place de choix au sein du secteur de l’aviation sociale. La compagnie est connue pour la fabrication de moteurs pour les monocouloirs et dans le domaine militaire. Cependant, la question que se pose beaucoup est pourquoi la compagnie Safran a eu tant de mal pour la fabrication du moteur Silverest pour Dassault. Cette réalisation est une occasion pour la compagnie de faire son entrée dans le domaine de l’aviation des affaires, de diversifier et d’étendre son marché. Heureusement que la compagnie Dassault n’a finalement pas interrompu le contrat. Cette dernière a affirmé qu’elle a signé avec le groupe Safran le contrat concernant la fourniture du moteur qui servira à équiper le programme Falcon5x. Le lancement du programme Falconx6 qui est un avion haut de gamme par Dassault montre que Dassault semble s’être détourné de la compagnie Safran. D’autant plus que cet avion haut de gamme fera son premier en 2021.

mardi 4 septembre 2018

L’été a été rayonnant pour PSA et Renault



Au mois d’aout dernier, le marché de l’automobile français a connu une hausse de 40% qui s’est bien fait remarquer par une arrivée de voitures neuves sur le territoire français. Avec le nombre important de nouveaux véhicules qui sont actuellement à la disposition des français, il est facile d’affirmer que le secteur automobile a encore la tête haute dans le pays. A l’instar des augmentations en termes d’immatriculation du mois d’Août, les mois précédents ont également rapportés près de 1 513 933. Cette croissance qui s’élève  à près de 8,9%  n’aura que des retombées positives sur Renault et PSA, deux constructeurs automobiles qui ont à leurs actifs plus de la moitié des parts de l’Hexagone. Le chiffre d’affaires issu de leurs ventes de voitures à travers le monde (près de deux millions) ne vient que conforter leurs positions. Cette flambée du niveau de ventes est aussi attribuable au facteur environnemental inclus dans l’homologation des voitures à travers des tests antipollution plus pointus.

La réaction des constructeurs automobiles


Face à cette nouvelle décision européenne de renforcer les tests de pollution, certaines marques de constructeurs sont forcément mieux armées que d’autre. Pour le cas de Renault, cette homologation ne sera pas très facile pour eux car ils ont été obligés d’écouler rapidement  leurs anciens modèles de véhicules qui ne pouvaient en aucun cas réussir ces tests vu qu’ils étaient assez polluants. Néanmoins, cela a contribué à la hausse du niveau de ventes de ses véhicules. La direction de Renault affirme toutefois être dans les délais quant à l’homologation. PSA qui a anticipé ces nouvelles règlementations environnementales avait déjà doté ces modèles de moteurs et de filtres résistants pour être aptes à passer ses tests.

Un changement au niveau de Ford


Le constructeur automobile Ford, envisage la suppression de plusieurs de ses modèles de véhicules en Europe. Même si rien n’est encore écrit pour le moment, cet arrêt de production pourrait faire perdre à beaucoup de personnes leurs emplois. Ainsi, l’entreprise envisagerait de se centrer  sur la production des poids lourds tels que les camions et aussi les pick-up. Quant aux nouveaux modèles dont la sortie était prévue récemment telles que Fiesta et Focus, leur avenir devient incertain. A croire que la sortie de ces modèles n’est plus d’actualité. Le constructeur a d’ailleurs annoncé que l’entreprise serait prête à procéder à une cession. Si un nouveau preneur ne se manifeste pas, Ford France pourrait bien fermer.




La chute du français INGENICO Group continue



Le leader mondial du mode de paiement électronique et des outils de paiement connait encore une baisse ce lundi. Chute qui fait douter la plupart des investisseurs qui se posent la question sur le business model de l’entreprise.

Un doute qui persiste


Ce lundi encore, INGENICO GROUP a eu de nouveau une baisse. Chute qui constitue sa cinquième baisse. Ainsi le groupe a eu une perte de plus de 6% le mercredi. Des chutes et des problèmes datant du début de l’année 2018. Il n’y a jusque-là aucune annonce officielle venant de la société, toutes fois ces chutes font trembler les investisseurs qui craignent largement pour l’avenir de l’entreprise. Une crainte qui est fondée sur la contre-performance ainsi que sur l’incertitude concernant l’avenir des terminaux de paiement.

Qu’en est-il du business model de la société INGENICO?


Selon la source Reuters il y’a eu une conférence concernant la téléphonie sectorielle le 28 août. Cette conférence visait à réfléchir sur l’avenir des paiements qui sont sécurisés par code sans avoir à utiliser les terminaux de paiement. Et cette conférence a abouti à une réflexion et un profond doute concernant l’avenir du groupe INGENICO. Certains ont affirmé qu’ils ne croient pas que les terminaux de paiement du groupe INGENICO vont sombrer et disparaitre du marché et jugent exagérés les doutes qui se fondent autour des baisses successifs du groupe. 

Amazon sur le marché du paiement mobile?


La presse Nipponne a rapporté que le géant mondial de l’E-commerce, Amazon pourrait entrer dans le marché du paiement mobile au japon. Ce pays est si stratégique pour le groupe INGENICO que dernièrement il y avait renforcé ses services. Cette entrée susceptible d’Amazon sur ce marché risque de menacer gravement les intérêts du groupe français INGENICO. Aussi, un actionnaire important du Groupe INGENICO aurait récemment quitté cette société selon certaines rumeurs qui n’ont toujours pas été confirmées.

Un rachat éventuel du groupe INGENICO


Des rumeurs concernant le rachat de la société INGENICO Group par un géant de fonds d’investissement sont aussi entrain de courir. Il est aussi important de préciser que le groupe Atos qui pour le moment est soupçonné comme acheteur de la société INGENICO Group a racheté le groupe américain Syntel pour une somme de 3,4 millions de dollars. Néanmoins Atos demeure toujours le candidat le plus susceptible de racheter le groupe INGENICO selon le site spécialisé Mergetmarket.