Lumière sur Steve Ballmer, lieutenant tonitruant de Bill Gates
Steve Ballmer est à la tête de Microsoft depuis 2000 après le retrait de son fondateur, Bill Gates.
Wolfgang Schreiber, PDG de Bugatti, et la persistance du luxe automobile français
Bugatti reste une référence dans le monde de l'automobile. Auréolée par plus de 10 000 victoires en course, un record jamais égalé, cette firme tricolore basée à Molsheim, en Alsace, incarne aujourd'hui encore cet esprit de sportivité et de faste hérités de son flamboyant passé.
L'efficacité énergétique selon Gilles Schnepp, PDG de Legrand
Legrand est un acteur important dans la domotique et les équipements électriques des bâtiments.
Yahoo! et la croissance externe à marche forcée
Pour la première fois depuis deux ans, l’entreprise californienne devance son grand rival Google.
Alain Pons et les ambitions de Deloitte
L’arrivée d’Alain Pons à la présidence de la direction générale de Deloitte France en juin 2010 a changé les perspectives du très réputé cabinet d’audit.
mardi 26 décembre 2017
La nouvelle montée en gamme de PSA et Renault
Les constructeurs français d’automobiles
PSA et Renault sont de nouveaux sous le feu des projecteurs. Ils comptent
mettre sur le marché de nouveaux modèles dont ils espèrent un succès
retentissant qui leur échappe depuis un certain temps. Il s’agit du Renault
Alpine A110 et la DS7 Crossback qui viennent renforcer la branche voiture de
luxe des constructeurs français. Des sorties sur le marché, qui ne risquent pas
de laisser les adeptes indifférents. Il faut dire que Renault et le groupe PSA
comptent bien marquer les esprits avec le retour de deux modèles longtemps mis
en stand-by. Les prochaines semaines seront donc déterminantes pour ces
constructeurs.
A travers la commercialisation prochaine des nouveaux modèles Alpine et DS, les deux constructeurs PSA et Renault entendent redonner vie à leurs segments de véhicules de luxe. Particulièrement chez Renault où le modèle Alpine entend concurrencer les plus grandes marques du secteur telles que la Porche 718 Cayman ou la Lotus Elise, entre autres. Une ambition très relevée pour le constructeur tant la barre est haute. Toutefois, Renault peut se permettre un tel défi relevable avec son modèle Alpine qui est plébiscité dans le domaine de
la technologie et du sport. Renault attend près d’un millier de ventes par an avec ce modèle qui coûte 60.000 euros. D’après le patron d’Alpine, Michael Van Der Sand, la priorité numéro 1, actuellement, est l’Alpine A110, les autres modèles attendront comme prévu.
L’objectif de la remise de DS sur le marché commercial des véhicules de luxe est tout autre chez PSA. Il entend bien se positionner dans le segment premium avec le lancement de la DS7 Crossback. En effet selon les dires du directeur de la marque Yves Bonnefont, l’ambition affirmée est de marquer son empreinte dans le
segment C des véhicules de luxe. Il va plus loin en affirmant que la DS va apporter une innovation dans l’automobile de luxe et mettant en avant l’expertise française. Disposant des nouvelles technologies de visions de nuit, de suspensions actives, entre autres, la DS7 Crossback ne manquera pas de révolutionner le secteur automobile mondial. Selon les options, le prix de la nouvelle DS se situe entre 32.000 et 64.000 euros, de bon augure donc pour PSA en 2018.
Les deux constructeurs automobiles français espèrent bien atteindre leurs objectifs cette fois avec le lancement prochain de l’Alpine A110 et la DS7 Crossback. Les dirigeants des deux groupes ont conscience qu’il faudra du temps et de la patience pour récolter les fruits du travail, mais croient bonnement que le pari sera le bon cette fois. Les gros moyens ont été déployés d’ailleurs, codes et circuits de distribution spécifiques. PSA et Renault ont mis l’accent sur respectivement 370 DS Stores et 57 concessions pour la distribution de leurs nouveaux modèles. Pour PSA 600 autres stores seront ajoutés en 2018. Les deux constructeurs attendent donc de bons chiffres d’affaires pour 2018.
vendredi 22 décembre 2017
Le directeur de Michelin ne pourra pas candidater pour la direction de Medef
Le
patron de Michelin Jean-Dominique Senard ne va pas pouvoir se présenter en
juillet pour succéder Pierre Gattaz qui est à la direction du Medef. L’instance
exécutive du mouvement patronal s’est réunie ce lundi 11 décembre pour statuer
sur la candidature du PDG de Michelin. Il a refusé catégoriquement la
candidature proposée par Jean-Dominique Senard.
Pas de modification possible sur les statuts du Medef
M.
Senard a été récusé par les statuts du Medef, malgré le fait que de nombreux
spécialistes le voyaient déjà occuper la place de M. Gattaz. Les statuts de
Medef stipulent qu’aucun candidat ne doit avoir plus de 65 ans d’âge le jour de
l’élection. Manifestement, le PDG de Michelin va atteindre cet âge le 7 mars
prochain voire 4 mois précédant la date de l’élection. M. Gattaz a envoyé ce 5
décembre une correspondance aux 45 membres du conseil exécutif de Medef pour
leur suggérer soit de transformer le règlement soit de le définir. Mais
l’instance exécutive n’était pas vraiment en phase avec les propositions de M.
Gattaz.
En
réalité 30 voix contre seulement 15 ont nettement montré leur désapprobation à
toute mesure de transformation. Dans un manifeste, le Medef affirme que
l’affaire a été finalisée par un vote à bulletins secrets et que le conseil a
pris la décision de ne faire aucune transformation ou adaptation de ses
statuts. Par contre, il affiche le calendrier à suivre et permet aux
prétendants de déposer leurs candidatures avant le 3 mai et la date de l’élection
est fixée le 3 juillet. Le conseil espère plus avoir affaire à ces genres de
situations. Déjà en 2013 l’ex-président du mouvement Laurence Parisot avait
tenté sans succès de transformer le règlement pour briguer un troisième mandat.
Le patron de Michelin a vite pris acte de cette décision malgré une
clarification tardive de la situation.
Un dysfonctionnement au sein de Medef
Senard
n’a pas été le seul à fustiger la gestion tardive de l’affaire. Un cadre de
Medef affirme que M. Gattaz n’a pas facilité les choses. En réalité beaucoup
avaient pris la chose comme étant un votre pour ou contre le patron de Michelin
alors que l’objet réel du vote en était autre. La majorité a considéré
l’affaire comme une manipulation du système d’où leur rétention. Jeau-Claude
Volot soutient que si le vote se déroulait le 1er septembre le résultat serait
autrement.
Mais le
vote s’est déroulé au moment où la situation s’est envenimée avec les
fédérations territoriales et les petites entreprises. Entièrement concernée par
ce problème d’âge, l’ancienne directrice du Medef Viviane Chaine-Ribeiro désole
l’existence d’obstacles aux recrutements de personnalités compétentes. Pour
l’instant deux personnalités sont en lisse notamment Patrick Martin, directeur
du Medef Auvergue-Rhone-Alpes et celui des Hauts-de-France Frédéric Motte.
D’autres dirigeants comme Geoffroy Roux de Bézieux et Alexandre Saubot ont bien
montré leur ambition. Ces deux derniers sont bien lésés contrairement aux deux
autres qui ont plus de changer d’être à la tête du Medef.
vendredi 15 décembre 2017
Un ex dirigeant de Volkswagen condamné à une peine de prison de 7 ans
18:10:00
dieselgate, Volkswagen
Dans le
cadre du scandale de diesel gate, un des ex dirigeant de Volkswagen a été
condamné à 7 ans de prison par un tribunal de détroit aux Etats Unies. Cette
condamnation est due en effet par un mensonge qu’il avait concocté à l’encontre
des autorités américaine qui consistait a caché l’existence d’un logiciel
malveillant sur des centaines de véhicules de la marque allemande destiné à
falsifier les résultats de contrôle des émissions polluantes des diesels. Ainsi sur les 7
ans d’emprisonnement, les 5 ans ont été prononcés sur l’accusation de
conspiration pour fraude et les 2 ans pour avoir violé les lois de
l’environnement.
Qu’est ce qui est à l’origine de cette condamnation ?
L’ex
dirigeant de Volkswagen Oliver Schmidt a
déclaré coupable ce mercredi 6 décembre des chefs d’accusation rédigés en son
encontre afin de réduire sa peine et payer une amende de 100 000 dollars,
mais malheureusement le juge du tribunal fédéral de Detroit n’a pas été de cet
avis, en plus de la condamnation de 7 ans, le jeune allemand devra payer une
amande de 400 000 dollars au lieu de 100 000 dollars. La justice
américaine l’accuse d’avoir contribuer à la conspiration visant à truquer les
logiciels de voiture diesel dans le but de fausser les résultats des contrôles
anti-pollution en formulant des mensonges délibérés en l’encontre des autorités
américaines.
Ainsi, l’ex dirigeant de Volkswagen avait été informé de
la présence d’un logiciel malveillant sur certaines voitures diesel du
constructeur allemand depuis des années. Cependant, il n’a pas hésité de
participer à une conférence avec d’autres dirigeants de Volkswagen pour voir
comment déjouer les questions posées par les autorités.
Quels sont les impacts engendrés par cette fraude chez Volkswagen ?
Cette
fraude a engendré d’énormes frais chez le constructeur automobile, environ 22
milliards de dollars ont été versé à titre d’indemnité aux propriétaires de
600 000 voitures classées frauduleuses. Ainsi 7 autres dirigeants du
constructeur ont été inculpés dans l’affaire du diesel gate. En effet, la
condamnation d’un ex ingénieurs de Volkswagen en aout par un tribunal de
Détroit avait permis d’inculquer 7 dirigeant du constructeurs automobile dont
Olivier Schmidt. Ainsi
les logiciels frauduleux avaient la capacité de cacher des émissions pouvant
dépasser 40 fois les normes prescrites.
L’armée qatarienne sera dotée de 12 nouveaux Rafales
18:04:00
Dassault Aviation, Qatar, rafales
En 2015, les
autorités qatariennes avaient signé un contrat avec l’aviateur français
Dassault Aviation, ce qui permettait à l’armée du Qatar de se doter de 24
avions de combats. Avec les 12 nouveaux Rafales commandés à Dassault Aviation,
l’armée aura en sa possession au total 36 avions nouveaux avions de combat.
Un contrat, enfin signé
En présence des deux autorités
suprêmes de ces deux nations, Emmanuel Macron, président de la république
française et le Cheikh Tamim ben Hamad Al Thani, émir du Qatar, la levée
d’option a été faite sur la commande de 24 Rafale émise par Doha. Lors de cette
première commande faite le 4 mai 2015, 24 Rafales ont été commandés au géant
français de l’aviation. Lors de ce nouveau contrat, 12 nouvelles commandes ont
été faites, ce qui porte la commande à 36 avions au total. Dassault Aviation
fera ses premières livraisons vers la fin de l’année prochaine. Le Rafale F3R
est le modèle dont veut se doté les forces de l’air de l’Emirat. Ce modèle est
de qualité et est celui que l’armée française utilise, mais aura de nouvelles
fonctionnalités.
Un partenariat à long terme
Ce nouveau contrat signé entre les
deux nations est le fruit d’une bonne collaboration entre les autorités de ces
deux nations. Lors d’un communiqué, les responsables de Dassault Aviation se félicitent
de l’opportunité qui leur est accordée de la part de l’émir qatarien en vue de
la réalisation de ce projet. Ils se félicitent aussi de ce que la signature du
contrat s’est passée dans de bonnes conditions.
Sans discussion au préalable, Doha
pense lancer encore une commande de 36 nouveaux avions de combat, ce qui
portera à 72 le nombre total d’engins que l’Emirat aura commandé si cette
nouvelle option est levée. En général, avec cette décision, les deux nations
semblent être liées pour accomplir de granges choses ensemble.
Une bonne affaire pour le constructeur français
Ce nouveau contrat est une bonne
affaire pour Dassault Aviation et ses partenaires, en particulier le groupe GIE
Rafale dont Dassault est filiale. En outre, c’est un défi à relever pour le
constructeur français qui compte plus de 7 milliers de salariés. Avec cette
commande qatarienne, le groupe devra livrer au total 96 avions de guerre pour
ses trois pays partenaires : le Qatar, l’Inde et l’Egypte.
Pour l’aviateur français, ceci est
une bonne opportunité pour se faire connaître et aussi faire rentrer de
l’argent et augmenter le capital de l’entreprise.
mercredi 6 décembre 2017
L’accord entre le Royaume-Uni et L’Union européenne sur le Brexit perturbé par le cas de l'Irlande
20:50:00
Brexit, Irlande, Royaume-Uni, union européenne
Près de
6 mois de tractation sur le Brexit, Londres et Bruxelles arrivent à terme d’un
accord pour enfin entamer des discussions sur leurs relations à venir. Dans le
but de conclure cette entente, Theresa May Première ministre de la Grande-Bretagne,
Donal Tusk, président du conseil et Jean-Claude Juncker, président de la
commission de l’UE vont se rencontrer ce lundi 4 décembre à Bruxelles.
Le sort de L’Irlande
La
transition définitive concernant les relations à venir est confortée par le
fait que les Européens reconnaissent les importants efforts réalisés par la
Grande-Bretagne concernant leur séparation. En réalité, les autres membres de
l’Union européenne ont obligé aux Britanniques à se focaliser sur trois
éléments notamment, l’avenir des ressortissants européens présents au
Royaume-Uni, le respect des engagements tenus par Londres et enfin, le destin
de l’Irlande. Ce dernier est plus affecté par le retrait du Royaume-Uni du
marché unique et de l’unité douanière.
La
question de la facture du Brexit est presque résolue. Il est important de
signaler qu’aucun montant n’a été dégagé officiellement, mais les Britanniques
sont d’accord pour débourser entre 50 et 60 milliards d’euros. Le destin des
ressortissants européens qui se trouvent au Royaume-Uni est aussi de son côté à
moitié réglé. Seul le cas particulier de l’Irlande est resté en suspens. Dublin
demande une garantie concernant la frontière avec l’Irlande du Nord. Irlande
redoute de potentiels problèmes sur les échanges commerciaux entre les deux
côtés de L’Ile, une frontière va perturber les accords de paix signés en 1998.
Pour
éviter cette situation Dublin demande à Londres de rédiger une garantie
confirmant la continuité de l’application des lois de l’UE par L’Irlande du
Nord. Dans ce cas, ils vont écarter toute complication de réglementation et
faciliter le contrôle douanier dans les frontières. Londres de son côté refuse
sous la pression du Parti unioniste démocratique de L’Irlande du Nord. Mais
Bruxelles est totalement derrière Dublin.
Une discussion sur les nouvelles relations
Trouver
un accord sur la facture, sur les ressortissants européens et sur l’Irlande
permet d’atteindre une étape décisive dans le divorce entre l’UE et le
Royaume-Uni. Michel Barnier le patron de la négociation des autres membres de
L’UE doit emmètre une recommandation au conseil afin de valider des progrès
importants dans le dialogue avec Londres. C’est une recommandation qui doit
être suivie par les membres de L’UE ce 14 et 15 décembre lors du conseil
européen.
Concernant
la relation politique et commerciale après le Brexit les discussions vont
démarrer dans la foulée lors de la première phase de l’accord. Theresa May a
bien magnifié son ambition de quitter le marché de l’UE et l’union douanière.
Elle envisage le même accord développé avec la Norvège qui a accès aux deux
entités sans pour autant être membre de L’UE. De leur côté, les Européens
espèrent développer un accord de libre-échange comme avec le Canada. Ce dernier
combine des droits de douane au minimum et conservation d’une forme d’unité
réglementaire.
L’Union européenne doit prendre une décision sur une liste noire de 18 pays concernés par les paradis fiscaux
20:42:00
fraude fiscale, sanctions, union européenne
L’affaire des
paradis fiscaux continue de faire la une des médias. Les révélations ont touché
tous les continents, d’Afrique en Europe. Ce mardi, le conseil des ministres de
l’Union européenne se penche sur une liste noire de pays jugés aux pratiques
douteuses et non coopératifs. La liste concerne 18 pays ou juridictions que les
28 doivent dévoiler, des pays accusés de favoritisme à l’optimisation fiscale.
Mais déjà, la pratique fait des siennes, car très critiquée du fait que la
liste ne renferme aucun nom de pays ou juridiction européens. Également les
décisions finales, concernant surtout les sanctions à prendre, ne font pas
l’unanimité au sein des pays membres.
Une liste de 18 pays non européens
Les informations
glanées annoncent une liste de 18 pays que les 28 membres de l’Union européenne
doivent valider en conseil des ministres ce mardi. 18 États paradis fiscaux qui
interpellent les ministres des finances européens qui doivent discuter des
éventuelles sanctions à prendre à leur encontre. Ces pays ou juridictions sont :
les iles Samoa, le Bahreïn, l’ile de Guam, la Corée du Sud, le Cap-Vert, la
Grenade, les iles Marshall, le Macao, la Mongolie, le Maroc, les Palaos,
la Namibie, la Mongolie, Trinité-et-Tobago, la Sainte-Lucie, les Émirats arabes
unis, la Tunisie, la Barbade et le Panama. Une liste réduite qui suscite des
polémiques.
Une liste hautement réduite
La liste noire
sortie que doivent présenter les ministres des Finances de l’Union européenne a
été revue à la baisse. En effet, à l’origine 29 États ou juridictions avaient
été initialement ciblés. Ainsi après d’énormes tractations politiques engagées
et des gages d’assurances fournis par certains pays, la liste noire a peu à peu
décru, ne restant désormais que 18 pays environ. Ainsi des États comme le Maroc
et le Cap-Vert, ont rassuré les experts européens en coopérant avec des
engagements clairs et bien fournis. Ainsi dans la semaine du 1er au 04 décembre, 3 pays ont disparu de
la liste noire de l’UE. Les tractations se poursuivent incessamment.
En plus de la
liste noire de 18 pays, l’Union européenne prévoit également de publier deux
autres listes, ce mardi, à l’occasion du conseil des ministres des Finances.
Ainsi selon différentes considérations, une liste grise et une liste
« Hurricane » vont être dévoilées. La liste grise concerne une
quarantaine de juridictions qui ont montré des signes de coopération prenant
même des engagements réels pour se débarrasser de l’étiquette de paradis
fiscaux dans les mois à venir. La liste « Hurricane » compte
seulement huit noms notamment des îles qui ont la particularité d’avoir été
touchées, tout récemment par les ouragans. L’UE leur donne jusqu’en février
prochain pour donner des engagements.
Les sanctions prévues
L’Union européenne
compte bien engager des mesures punitives pour les pays
« blacklistés ». Toutefois, les 28 États doivent encore s’accorder
sur la nature des sanctions prévues contre ces paradis fiscaux. Néanmoins l’une
des sanctions phares est que les pays ou juridictions non coopératives ne
pourront plus bénéficier à certains programmes ou financements de l’Union européenne.
La division est établie entre les 28 membres : quand certains prônent pour
des mesures punitives drastiques, d’autres soutiennent l’établissement de sanctions
plus souples. Qu’à cela ne tienne, l’objectif de l’instance européenne est
d’éradiquer les paradis fiscaux des pays identifiés pour qu’à l’avenir les
transactions financières soient hautement règlementées.
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