Une croissance 0,2% a été prévue durant le troisième trimestre par l'Insee, suivie d’un arrêt de la croissance pour le dernier trimestre. Néanmoins, une croissance de 0,5 a été observée. La banque de France affirme que malgré les crises énergétiques, les problèmes d’accès au gaz et toutes les difficultés liés, l’activité économique continue de marcher et faire face. Sans oublier de faire savoir que le secteur industriel est plus touché. À en croire la banque de France, contrairement d’aout, l’activité industrielle se porte mieux au mois de septembre. À la fin de ce dernier, le secteur industriel a fait face à la difficulté avec notamment l’augmentation de la valeur ajoutée… L’ajout de valeurs ajoutées a conduit à la hausse des prix, créant ainsi des incertitudes auprès des patrons d’entreprises. Les patrons d’entreprises et leurs équipes travaillent au bon déroulement et la stabilité de leurs activités pour le mois d’octobre.
Valeur ajoutée sur les produits et les prix
La hausse des prix pour les
produits appelés finis n’est pas passée inaperçue. La banque de France en
parle, car cette hausse résulte d’une part de l’augmentation de la valeur
ajoutée sur les produits et une sorte de rattrapage appliqué durant l’hiver.
Une augmentation des prix que les chefs d’entreprise ne nient pas. Ils sont 43%
à dans l’industrie agro-alimentaire à affirmer avoir revu à la hausse le prix
de leurs produits. C'est également le cas dans l’industrie du bois et du
papier, mais aussi dans le bâtiment… On devrait assister au mois d’octobre à
une légère baisse des prix qui ferait passer les services à 20% et le bâtiment
à 44%.
La banque de France continue de
nous informer sur les difficultés que rencontres les entreprises à
s’approvisionner en énergies même s'il est inférieur au pic d’avril. La hausse
des coûts de l’énergie et des matières premières fait subir aux entreprises des
périodes difficiles. Et cela concernent toutes les tailles d’entreprises. Que ce
soit les grandes entreprises et les PME. Cependant, les dégâts ne sont pas les
mêmes dans tous les secteurs. L'industrie pharmaceutique, celui des
équipements électriques et du bois sont entre autres les secteurs les plus
touchés. Selon François Villeroy malgré une résistance des services
face aux difficultés, l'industrie quant à lui souffre de plus en plus, car
ses activités sont rattachées à l’augmentation des prix énergétiques qui
comptent beaucoup plus sur l'industrie.
La Banque d'Angleterre en soutien avec de nouvelles mesures aux marchés
En
réponse aux conséquences des actes du gouvernement de Liz Truss, la banque
d’Angleterre a fait savoir ce lundi qu’il envisage de mettre en place des
mesures qui permettraient de veiller sur la stabilité financière des zones
économiques ayant subi les crises économiques.
Après
avoir lancé un programme de rachat pouvant atteindre les 65 milliards, une
hausse de 10 milliards des achats est envisageable par la banque d’Angleterre.
Toutefois, elle n’a jusque-là acheté que 5 milliards de livres sterling en
bons. La banque envisage par ailleurs d’autres actions dans le but de s’assurer
que la liquidité existe toujours sur le marché.