Le capital-risque, qui est une activité d'investissement capitalistique spécialisée dans le financement de jeunes entreprises innovantes à haut potentiel de croissance, a connu une hausse de financement de 30% en France d’après Avolta. Contrairement à la tendance du moment où il est en baisse dans plusieurs pays, à savoir en Chine, aux USA, au royaume unis et en Allemagne. Ces pays ont connu des baisses respectives de - 56%, -29%, - 19% et - 27%.
Des levée de fond de 15,5 milliard
Avec un écart supérieur estimé à 3,2 milliards d’euros par rapport à 2021,
les fonds levés en France devraient atteindre la somme de 15,5 milliards en
2022, selon avolta. 30%, c’est la hausse remarquée des fonds levés par les
start-up en France d’après les données fournies par le baromètre In Extenso
Essec.
La France moins touchée
Patricia Braun, actuelle présidente d'In Extenso Innovation, a décrit la
situation en insistant sur le pic qui avait été atteint dès les trois premiers
mois en 2022. En plus, une complication de la situation est prévue par Patricia
Braun. Franck Sebag, qui garde également un œil vigilant sur les levés de fonds
en publiant des indicateurs sur ces derniers, a mis l’accent sur le
ralentissement et les efforts consentis. L’AFP a aussi parlé de la situation
favorable de la France vis-à-vis des autres pays quand il s’agit de faire face
à la chute des finances liée au capital-risque. Tous les investissements ne
sont pas en chute libre, nous rapporte Avolta. En effet, il affirme que les
baisses concernent plus les start-up naissantes et que ceux qui ont plus de
vécu ont des levés de fonds plus ou moins à la norme.
La valorisation des secteurs
Avec des secteurs différents, certains sont mieux valorisés que d’autres.
Et dans cette distinction de valeur, le secteur de la santé est le plus
valorisé avec notamment plus de huit fois le montant de leur chiffre d’affaires.
Le secteur de la santé est suivi par celui de l’immobilier et de la finance
ayant une valorisation fois 6,3 et 6,2 de leur chiffre d'affaires. Cependant,
les start-up dans le secteur du transport et de l’alimentation sont
les moins valorisés.