Avec la pandémie, l’activité économique et commerciale a beaucoup été perturbée. Ainsi, le gazole n’a pas été en reste avec ses prix qui ne font qu’augmenter. Beaucoup s'interrogent ainsi sur l’avenir de ce carburant indispensable. En effet, avec la récente reprise économique, la demande est en hausse. Ce qui fait que les prix flambent, en raison du fait que les pays exportateurs, réduisent l’accroissement de la production. Dans les lignes qui vont suivre nous allons vous donner davantage de détails sur cette situation qui risque très difficile pour plus d’un.
L’évolution des prix
En France, 70 % des carburants routiers vendus constituent du gazole. Désormais pour se le procurer il faut acheter le litre à 1,5354 £. Pour ce qui est du SP95-E10, pesant 11 % des ventes, son prix s’élève à 1,60 £ contre 1,56 en août 2013.
Selon Francis Perrin, directeur de recherche à l’institut des relations
internationales, cela est dû « à l’augmentation des cours du
pétrole ». Le baril de pétrole avoisine en effet, les 73 euros contre 16
en 2020. Avec la forte reprise les prix augmentent en raison de la demande
élevée.
La non concordance de l’offre et de la demande
En effet, les pays exportateurs de pétrole ne produisent même pas la moitié de la demande requise. Journalièrement, ils n’augmentent leur production que de 400 000 barils alors le besoins s’élève à 90 millions de barils. Ainsi, ils ont augmenté les prix. Tandis , pour ce qui est des taxes, depuis la crise des Gillet Jaunes, elles n’ont pas augmentées.
Les prévisions d’avenir sur la situation
Cela dépend entièrement du bon vouloir de l’OPEP (Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole). Si la production n’augmente pas, les prix ne vont pas baisser prochainement ces pays exportateurs de pétrole envisagent de se réunir pour débattre de la question et trouver des solutions appropriées.
En Global, la pandémie a été à l’origine de beaucoup de dérèglements.
Ainsi, le commerce des carburants n’a pas été en reste. Ses prix ne
cessent d’augmenter tandis que, la production reste restreinte par
les pays exportateurs de pétrole. La situation devrait s’améliorer d’ici les
jours à venir, si ces pays décident de produire davantage que nécessaire. Nous
vous remercions de votre aimable attention !