Lumière sur Steve Ballmer, lieutenant tonitruant de Bill Gates
Steve Ballmer est à la tête de Microsoft depuis 2000 après le retrait de son fondateur, Bill Gates.
Wolfgang Schreiber, PDG de Bugatti, et la persistance du luxe automobile français
Bugatti reste une référence dans le monde de l'automobile. Auréolée par plus de 10 000 victoires en course, un record jamais égalé, cette firme tricolore basée à Molsheim, en Alsace, incarne aujourd'hui encore cet esprit de sportivité et de faste hérités de son flamboyant passé.
L'efficacité énergétique selon Gilles Schnepp, PDG de Legrand
Legrand est un acteur important dans la domotique et les équipements électriques des bâtiments.
Yahoo! et la croissance externe à marche forcée
Pour la première fois depuis deux ans, l’entreprise californienne devance son grand rival Google.
Alain Pons et les ambitions de Deloitte
L’arrivée d’Alain Pons à la présidence de la direction générale de Deloitte France en juin 2010 a changé les perspectives du très réputé cabinet d’audit.
vendredi 27 octobre 2017
Les banques tenues responsables de l’appauvrissement des personnes en situation de crise
Selon une étude publiée récemment (le 26 octobre) par
l’UNAF, 60 millions de consommateurs accusent les banques de profiter de la
situation financière rigide des personnes en crise. Selon ces derniers, lorsque
le découvert est dépassé ou que le paiement est rejeté, les banques en
profitent pour enfoncer le clou en leur facturant des couts qui dépassent
vraiment la normale. Cependant, ils font appel à ce que la loi établisse des
sanctions à l’encontre de ces banques.
L’union nationale des associations familiales (UNAF)
met en évidence la hauteur des couts facturés à ses personnes en difficulté. Il
accuse les banques de ne pas avoir tenu compte des agios qui représentent les
limites normales de la taxe.
Selon certains banquiers, ces couts pourraient bien
être l’équivalent d’un chiffre d’affaires de 6,5 milliards d’euros. Une
estimation qui glace le cœur. On constate aussi qu’en général les
personnes victimes de ces frais sont des gens qui n’ont jamais eu de problèmes financiers
auparavant d’après Mr Tockqué, chargé des questions économiques de l’UNAF. Donc
les banques ne contribuent vraiment pas à la réduction de la pauvreté.
D’ailleurs, une loi bancaire mise en place depuis 2013
avait déjà plafonné les frais bancaires concernant les paiements refusés et les
découverts dépassés et obligeait les banques à faire une offre destinée aux
personnes qui ont des difficultés financières courantes. Cette offre avait pour
but d’aider les clients à bénéficier d’un service à des prix moyens, l’objectif
étant de donner aux clients une carte paiement au lieu d’une carte de crédit et
aussi un droit à deux chèques et quatre virements gratuit par mois. Ce qui
pourrait contribuer au redressement financier de ses individus. Mais on ne
constate pas de changement et ces règles ne sont presque pas appliquées par les
banques.
L’UNAF dénonce aussi les couts des lettres en cas de
découvert dépassé taxé aux clients d’une valeur de 12 à 20 euros en fonction de
la société. Alors que les banques sont tenues de prendre en compte la situation
de fragilité financière de leur clientèle. On constate aussi le même problème
pour les débits temporaires à hauteur de 20% le taux d’intérêt. Dans toujours sa
politique de dénonciation l’UNAF nous affirme aussi que les frais taxés aux
clients en cas de dépassement du découvert nommé aussi commission
d’intervention sont d’un maximum de 8 euros dont le but étant de rémunéré le
travail d’analyse.
L’UNAF donne l’exemple d’une personne client de BNP
Paribas qui possède un salaire de 2000 euros auquel la banque a prélevé des
frais pour incidents d’une valeur de 3000 euros. Les 60 millions de consommateurs
précisent que le prélèvement des frais d’incidences est automatique pour la plupart
des personnes en difficultés et nous donne comme exemple la banque CGT. Et ils
exigent toujours des sanctions à l’encontre de ces banques.
L’étude réalisée par l’UNAF montre que la banque
postale est la banque qui soutire le moins de frais à ses clients et lui tire
ainsi un chapeau. Par contre on dirait que la BNP Paribas ignore complètement
l’objet de l’étude, car elle vient d’annoncer l’ouverture de sa nouvelle
filiale qui interdit le découvert en vous ouvrant un compte en quelque minute.
La Commission européenne reporte le vote sur l'autorisation du glyphosate
18:17:00
Commission européenne, Glyphosate, Mosanto
La Commission européenne a eu du mal à trouver
un consensus pour aboutir à un vote décisif sur l'autorisation du glyphosate.
Conséquence, le vote a été tout bonnement reporté siné dié. Réunis à Bruxelles
ce mercredi 25 octobre, les représentants des États membres de l'Union européenne
ont eu du mal à parler d'une même voix sur l'épineuse affaire du glyphosate. En
effet, l'herbicide très présent dans les environs de Monsanto suscite de vives
inquiétudes, car jugé cancérigène. La Commission européenne devra trouver
rapidement une date pour pouvoir décider de l'autorisation ou non du glyphosate
dont l'homologation arrive à terme en décembre 2017.
Le glyphosate fait jaser de partout
L'affaire de l'herbicide de Monsanto n'a pas
fini de faire parler de lui. Il faut dire qu'actuellement le glyphosate est au
centre des débats dans le domaine agricole en Europe. Le fait que la Commission
européenne ne soit pas parvenue à trouver un consensus sur l'avenir de l'herbicide
n'est pas une surprise. En effet, la Commission européenne s'est ajouté une
pression supplémentaire, car elle est favorable à une élimination évolutive du
glyphosate.
Une position qui a été décriée et qui a fini par installer une
polémique entre les experts scientifiques. Également des pétitions ont été
engagées par des acteurs, des associations et des citoyens européens, réclamant
vivement son interdiction. Jusqu'ici, près de 1,3 million d'individus à travers
toute l'Europe ont apposé leurs signatures sur la pétition. Les effets néfastes
de l'herbicide sur des personnes atteintes de cancer ont poussé les familles de
ces derniers à engager des procès. Le glyphosate n'a pas fini de faire couler
beaucoup d'encre.
Le glyphosate, aimé et décrié
Le glyphosate est une composition de
l'herbicide, très utilisée à travers le monde agricole. Il a été intégré sur le
marché dans les années 70. Aujourd'hui, il est l'herbicide le plus vendu au
monde. Son utilisation est largement répandue surtout en Europe. Il est très
apprécié des agriculteurs européens, car leur permettant d'améliorer leur
productivité. D'après eux, le glyphosate est mieux que les labours et protège
leurs sols. Cependant, l'herbicide est vivement décrié pour da dangerosité, car
considérée comme "cancérigène probable" par l'Organisation mondiale
de la santé en 2015.
En 2016, la Commission européenne l'a quant à elle classée
comme "sûre". Aujourd’hui, le glyphosate est aimé des agriculteurs, mais
très décrié par les experts scientifiques qui clament haut et fort son
interdiction. Face à ces menaces d'interdiction, les agriculteurs devront
trouver une alternative pour avoir le même niveau de productivité. Les
adversaires de l'herbicide devront prendre leur mal en patience, au moins
jusqu'au prochain vote de la Commission européenne.
vendredi 20 octobre 2017
Le FMI note une croissance économique mondiale mais reste sceptique sur sa continuité
21:37:00
Croissance économique, FMI
Optimiste sur la croissance de l’économie mondiale, le FMI, Fonds monétaire
International exhorte quand même les pays à prendre d’ores et déjà des
précautions pour prévenir les prochains défis et garder cette évolution. Dans le contexte mondial actuel, tout semble se dérouler parfaitement. Dans
la plupart des pays du monde, on note une reprise économique matérialisée par
les marchés financiers qui se portent bien, la production industrielle qui
gagne du terrain, un bon climat des affaires qui s’installe et autres. Dans ses
« Perspectives économiques mondiales », le FMI semble avoir de quoi se redonner
de l’espoir après toutes ces périodes de vaches maigres. Maurice Obstfeld, économiste en chef de l’institution montre des doutes par
rapport à la durabilité de cette reprise économique en mettant en garde les
états contre une autosatisfaction surtout au niveau des marchés et des
responsables politiques.
Une croissance économique qui se stabilise
Déjà, au premier semestre de l’année, une hausse de l’économie a commencé
par se faire ressentir et elle se confirme avec une augmentation de 3,6 %
attendue en 2017 et 3,7 % en 2018. Comparée aux prévisions du mois d’avril,
l’institution enregistre une hausse de 0,1 point de pourcentage. Dans
certaines zones du monde comme la zone euro par exemple, la croissance devrait
être de 2,1 % en 2017 et de 1,9 % en 2018, respectivement 0,4 et 0,3 point de
pourcentage de plus. En Chine par exemple, la croissance devrait atteindre 6,8
% en cette année et 6,5% l’année prochaine. Ces évolutions sont donc fonction
de certains critères, entre autres: la qualité des investissements, la
production industrielle, une augmentation de la demande interne en Chine,
l’amélioration du commerce international... En outre, les promesses non tenues
en ce qui concerne la relance fiscale aux États-Unis, le resserrement entamé
par la Réserve Fédérale américaine n’ont pas constitué un frein à cette
évolution.
Des points de faiblesse
Même si la reprise concerne 75 % de l’économie mondiale, les 25 % restant
peuvent créer une entorse au processus à la longue, explique Mr Obstfeld. Dans
son rapport, on remarque que les pays émergents peinent toujours à se relever à
cause du coût des matières premières qu’ils exportent et qui ne se redressent
pas. Au Royaume-Uni par exemple, la croissance qui devrait atteindre les 1,7 %
en fin de cette année connait une baisse de 0,3 point en considérant les
prévisions d’avril. Cette situation est générée par la dépréciation du livre
sterling lors du brexit et une baisse de la consommation interne. Le
redressement à moyen terme reste « hautement incertain et dépendra en partie de
la nouvelle relation économique avec l’Union européenne », estiment les auteurs
du rapport.
Des risques à prévenir
Il existe certaines situations qui pourraient freiner la croissance
économique mondiale. Entre autres, une normalisation des politiques monétaires
plus soudaine que prévu qui serait une menace, et qui rendrait difficile la
sortie de crise des économies les plus vulnérables. Le cas de croissance de la
Chine engendre aussi des questions parce qu’elle laisse derrière elle, des
dettes pourraient ralentir la croissance mondiale lorsqu’elle n’est pas maîtrisée.
Quand une compagnie américaine (DELTA) fait de l’Airbus A350 son vaisseau amiral
21:31:00
Airbus, compagnie aérienne, Delta
La société DELTA a présenté devant un parterre de journalistes venus des quatre coins
du monde son nouveau produit pour les services à bord. Il faut dire que
l’évènement en valait la peine, car il s’agissait pour DELTA de montrer une
autre dimension pour ce qui est du service à bord de sa compagnie aérienne. Ce
nouveau produit sera notamment disponible dans l’Airbus A350. Ainsi DELTA
compte faire un grand pas dans ses services à bord dont il peine à
bien gérer à l’image de nombreuses compagnies américaines d’ailleurs.
L’A350, symbole de montée en gamme pour DELTA
En présentant l’Airbus A350 comme son vaisseau amiral, DELTA compte bien
redorer son blason dans le secteur aérien. Ce choix est d’ailleurs très
surprenant dans le secteur aérien, puisque DELTA, une compagnie américaine, a
porté son choix sur un constructeur européen, en l’occurrence AIRBUS, au
détriment de BOEING son rival américain. Il faut dire que la compagnie DELTA
apprécie bien le charme des avions Airbus à tel point de les préférer contre
ceux de BOEING dont il a été client durant une dizaine d’années. Cet amour de
DELTA des avions AIRBUS n’est pas nouveau, car depuis 2008 la compagnie
américaine s’est liée avec la compagnie NORTHWEST, cette dernière utilisait dans
sa flotte les avions AIRBUS. Donc le choix porte sur l’avionneur européen peut
ne pas être si surprenant pour certain. Ainsi plusieurs commandes ont été
faites auprès d’AIRBUS jusqu’à même en annuler auprès de BOEING. Précédemment
des avions A330 et des A320-321Neo ont été commandés jusqu’à aujourd’hui avec
l’A350. DELTA entend se donner une nouvelle dynamique en faisant de cette A350
le vaisseau amiral de sa flotte. Ainsi l’ère où DELTA n’était composé que
d’avions BOEING est ainsi terminée.
Une nouvelle dynamique pour DELTA
En portant son choix sur l’A350, la compagnie aérienne américaine DELTA
entend se donner une nouvelle dynamique dans ses services. Dans un premier
temps DELTA met en place avec l’A350-900, une nouvelle classe business avec une
grande innovation qu’est l’installation de suites. Ces suites, qui ne
manqueront pas de charmes, permettent aux voyageurs d’être séparés des autres.
Autre nouveauté instaurée par la compagnie c’est en plus des classes affaire et
économique, la mise en place d’une autre classe, Premium. D’autres changements
et des innovations majeures sont opérés, rien que pour améliorer le service à
bord de la compagnie. Par conséquent les 25 nouveaux A350 commandés ainsi que
toute la flotte BOEING recevront ce nouveau produit. Le premier A350, reçu depuis
juillet dernier, fera son premier vol fin octobre entre Detroit et Tokyo. Les
livraisons suivront peu à peu jusqu’à la dernière prévue en 2023. Également
d’autres villes verront l’A350 de DELTA comme Londres, Shanghai, Séoul pour
n’en citer que celles-là. En choisissant l’A350 comme vaisseau amiral, DELTA
entend en faire un outil marketing très efficace pour se faire un maximum de
client et surtout à les fidéliser. DELTA compte vivement profiter à fond, des
largesses de l’A350 avec le produit à bord installé, pour se faire une place
importante dans le secteur des transports aériens.
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