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Alain Pons et les ambitions de Deloitte

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mercredi 22 juin 2022

Hausse des taux : la lutte contre la fragmentation de la zone euro devient la priorité de la BCE



Avec la pandémie beaucoup d’économies dans le monde ont été ralenties voire complètement perturbé. C’est le cas des pays de l’Union Européenne dont la situation n'est pas encore prête à s’améliorer. Ce qui inquiète plus d’un en ce moment. C’est ce qui fait dire à Christine Lagarde, le président de la Banque centrale européenne qu’une hausse des taux directeurs est possible prochainement et cela pourrait même atteindre les 25 points. Mais le point sur lequel elle a surtout insisté c’est l’importance de penser à établir une toute nouvelle politique monétaire. Ce qui va permettre au moins d’atteindre l’objectif de 2 % d’inflation dans la zone euro.

Une situation inquiétante

Il est plus qu’évident qu’un resserrement monétaire est plus que probable. Pour la présidente de la banque centrale européenne, cela a même déjà commencé. C’est la raison pour laquelle la Banque centrale a envisagé un relèvement de ses taux directeurs. Cela va atteindre les 25 points cette fois-ci et ça sera lors de la réunion de politique monétaire de juillet prochain. En septembre également, elle envisage de faire un autre relèvement. Des espérances sont portées avec le relèvement. En effet, la Banque centrale européenne veut lutter définitivement contre cette inflation. Actuellement ce taux a atteint les 8,1 % en mai passé contre 7,4 % en avril. Ce qui fait que la hausse entraîne une augmentation des prix dans tous les secteurs. Ce qui n’a eu un effet considérable sur l’activité de la zone euro qui a été beaucoup ralentie par cette hausse des prix de l’énergie mais aussi par l’augmentation des ruptures des demandes et des doutes sur le rétablissement de la situation.

Des efforts pour lutter contre la fragmentation

Ce sont des efforts qui rassurent beaucoup de personnes actuellement. Ce qui conforte aussi la Banque centrale européenne car ses engagements passés pourront au moins. Ainsi, elle pourra procéder à un ajustement de ses instruments et cela dans le cadre de notre mandat en mettant de côté dans ce mandat, tout ce qui est flexibilité si nécessaire afin d’assurer une inflation. Cela va permettre de lutter contre la fragmentation. En effet, la Banque centrale européenne avait tenu une réunion en urgence dans ce sens. Ce qui a faut qu’après elle s’est engagé à agir contre le retour des risques de fragmentation. Ce qui pourrait résoudre ce problème.

 

Inflation à 11 %, PIB en recul : les sombres prévisions de la Banque d’Angleterre



Dans notre monde actuel, plusieurs éléments contribuent à mettre en mal l’économie des pays.  C’est le cas de l’Angleterre qui est actuellement confrontée à un problème d’inflation très important depuis quelques temps.  Malgré les hausses considérables des taux, la situation est toujours très inquiétante. C’est la raison pour laquelle pour beaucoup, l’inflation risque d’atteindre les 11 % d’ici peu si cela n’est pas déjà le cas au moment où l’on parle. Aussi, on a de sombres prévisions de la Banque Centrale d’Angleterre.  C’est une situation qui inquiète plus d’un qui touche beaucoup de pays actuellement comme les États-Unis. Ce dernier a eu ses hausses les plus élevées jamais enregistrées depuis quelques années. C’est dans le but de contenir cette inflation qui sévit que ces mesures sont prises.  Et pour la Banques d’Angleterre cela fera sa cinquième hausse, un record jamais atteint depuis 2009.

Des décisions qui s’imposent

Contrairement à la Banque américaine, la Banque d’Angleterre a connu une augmentation  de ses taux directeurs de 0,25 point. Elle va bien garder un œil sur les indications de pressions inflationnistes qui continuent d’exister. Ce qui va lui permettre de préparer des ripostes adéquates. Cela implique de réviser les prévisions de croissance mais aussi de récession. Avec la pandémie et aussi la Guerre d’Ukraine, les prix augmentent considérablement partout dans le monde accompagnant ainsi une augmentation des cours de l'énergie. Aussi avec le recul du PIB au deuxième trimestre, les hausses ont commencé en 2021. Ce qui a fallu des décisions précises pour endiguer le phénomène. La croissance de la Grande Bretagne est aussi en ralentissement croissant depuis quelque temps. C’est pourquoi, une annonce a été faite sur une réduction de 0,3 % du PIB dès le début du second semestre. Avant, une réduction avait été prévue mais était de 0,1 %. Mais avec cette lente croissance, la Banque d’Angleterre ne peut faire autrement. Il est important de noter que ses décisions sont souvent critiquées mais ont leur importance. En effet,  les problèmes de recrutement se font beaucoup sentir et ceux qui cherchent du travail  n’en trouvent pas.

Une crise accentuée par le Brexit

On le sait tous, il y’a quelques années, le Royaume-Uni a enclenché un processus visant à le sortir de l’Union Européenne. Ce qui a abouti finalement dont les conséquences n’ont pas encore fini de secouer le pays de sa Majesté la Reine Élisabeth. Ce qui a fait que la venue des travailleurs européens a été un frein qui a beaucoup pesé. Aussi, la reprise post-pandémie va entraîner une forte demande mais également une guerre des salaires. Lors d’un récent vote sur la question, trois des neufs membres du Comité Politique Monétaire se sont exprimés en faveur d’une hausse des taux de 0,5 point. Ce qui devrait permettre selon eux de prévenir la hausse des salaires et des prix. Ce qui fait que beaucoup critiquent la Banque d’Angleterre en l’accusant de ralentir l’économie alors qu’elle devait avoir l’effet inverse.

mercredi 15 juin 2022

La Blockchain Solana subit un nouvel arrêt, sa crypto monnaie plonge



Le monde des affaires des de nos un moyen de de se faire un important chiffre d’affaires. Ce qui permet à beaucoup d’être à l’abri du besoin. C’est dans ce sens qu’il est aussi important de prêter une attention particulière au moindre détail, cela car le monde des affaires peut aussi s’avérer très tumultueux. Cela car vous pourrez rencontrer des perturbations qui peuvent être lourdes de conséquences.  C’est ce qui arrive actuellement à la firme Blockchain Solana. En effet, il subit un nouvel arrêt et sa cryptomonnaie plonge de plus en plus avec une perte de 12 % de sa valeur. Cela a commencé mercredi passé et ce fut à cause d’un bug de sa production des blocs par les validateurs.

Des situations qui se répètent

Le mercredi passé il eut quatre heures pendant lesquelles, il n’y a pas eu de production de transaction, ce qui a retardé plus d’un, ce qui fait que le Solana a chuté de façon drastique. Depuis l’apparition des monnaies électroniques, le Solana se place dans le top des monnaies les plus importants dans le domaine. En effet, il avait même réalisé un chiffre de capitalisation de 13 milliards. Et ce n’est pas la première fois que cela arrive, il y’a quelque temps aussi la grande firme de crypto monnaie était dans des difficultés mais pas aussi désastreuse que celui-ci. Ce qui fait que pour beaucoup c’est la huitième panne du réseau Solana.  Ce sont des pannes qui été causés par les soucis comme les afflux de bots, ce fut en mai. Aussi en septembre, en raison d’une faillite de gestion d’un nombre de transactions record.

Des tentatives de rétablissements

En effet, les dirigeants ont essayé en vain de réparer le bug, ce qui a entraîné son arrêt le temps de voir comment faire pour remettre la grande firme sur les rails.  C’est un coût dur pour eux mais, il est bien possible qu’il puisse régler ce problème parmi tant d’autres auxquels ils ont eu à faire face. Pour le fondateur de Blockchain, il s’agirait du bug de la fonction nonces durables. CE qui à entrainer un rejet du bloc par le réseau pour invalidité. Ce qui a rendu impossible la formation de nouveau bloc. Ils ont ainsi essayé de réparer en désactivant cette fonctionnalité et en redémarrant le réseau mais cela n’a pas suffi pour revenir à la normale.

 

La flotte CMA CGM s’approche des 600 navires



Dans le domaine de la fabrication de navires, beaucoup d’entreprises se disputent les places. C’est dans ce sens que la grande compagnie maritime française CMA CGM se place en ce moment en troisième position et cela grâce à la fabrication de près de 600 navires récemment. En 2019, il atteint le cap des 500 navires. Et depuis quelque temps le nombre de fabrication ne cesse de monter, ce qui laisse présager que d’ici peu de temps, le cap des 600 navires sera atteint. Au premier trimestre de 2022 8 porte-conteneurs neuf ont été mis en place. Et plus récemment 26 navires achetés d’occasion s’y sont ajoutés. Fonctionnant au méthane et malgré la flambé de beaucoup de produits en ce moment, les commandes ne cessent de grimper.  Ce qui conforte de plus en plus sa place de troisième au niveau mondial de transport maritime conteneurisé, derrière la Suisse.


Des navires soucieux de l’écologie


Le groupe français actuellement, a désormais plus de 29 porte-conteneurs qui sont dotés d’une propulsion du gaz naturel liquéfié. Ainsi, une annonce a même été faite par ses dirigeants concernant l’augmentation de la production allant dans le sens de satisfaire la demande. Il est aussi important de préciser que la compagnie mène beaucoup d’actions dans le sens de la préservation de l’environnement. Ainsi, il a fait le choix en 2017 de produire des navires dual fuel. Ces genres de navires utilisent pour leur fonctionnement du gaz naturel liquéfié. 

De cette façon, l'entreprise réduira considérablement les émissions de polluants et de gaz à effet de serre. Aussi, les moteurs de ces navires sont fabriqués de telle sorte qu’ils seront capables d’utiliser et de fonctionner avec du BioGNL qui va provenir de bio méthane ou encore de méthane de synthèse. Pour ce qui est du travail qui se fait en ligne, la compagnie a récemment adopté une stratégie de décarbonation. Ce qui fait que le groupe accélère ses investissements et ses partenariats. Ainsi, ils ont une flotte e-methane ready qui est composée maintenant de 29 navires qui sont déjà en service et plus de 77 le seront également d’ici 2026.

Un chiffre d’affaires en hausse

La compagnie enregistre un chiffre d’affaires de plus en plus important. Avec l’explosion du fret, CMA CGM en profite pour mieux se positionner. Au premier trimestre le chiffre d’affaires enregistré était de 28, 2 milliards de dollars. Cela est beaucoup plus important que ce qui a été enregistré pour les trois premiers mois de 2021 et cela pour un EBITDA de 8,9 milliards et un résultat net de 7,2 milliards contre deux milliards. 

L’activité maritime seule de, l’entreprise a enregistré 14,85 milliards de dollars. Cela alors que les volumes qui sont désormais transportés ont beaucoup diminué entre le premier trimestre 2021 et le premier trimestre de 2022.  C’est en raison de cette manne financière importante que l’entreprise a réussi à faire des investissements supplémentaires. Il a ainsi développé sa flotte et ses autres activités également.