Depuis le début de la pandémie du Covid 19, les domaines économique, financier et commercial de plusieurs pays ont été considérablement affaiblis. Ainsi, le domaine de l’énergie n’a pas été en reste de ce phénomène. Ainsi, d’après plusieurs estimations, la hausse des tarifs pousse certaines entreprises dans leurs derniers retranchements. De ce fait, face à la flambée des prix de l’énergie, des entreprises évoquent des factures au montant multiplié par quatre ou cinq ou six. Ce qui fait que les entreprises qui sont les plus touchées par cette hausse des prix ont été obligées pour certains de stopper leur production, d’autres de piocher dans leur trésorerie ou encore d’opter pour des solutions plus alternatives. Aussi, les sociétés n’ont en effet pas bénéficié d’aides du type de celles qui sont proposées aux différents particuliers.
Un coût de l’énergie en hausse avec ses conséquences
Que ce soit pour les particuliers ou encore pour les entreprises, les prix sont en hausse. C’est la raison pour laquelle de part et d’autres, des stratégies sont entrain d’être recherchées. C’est dans ce sens que certains industriels qui ont des besoins en énergie importante ont décidé de surseoir à leur production. C’est le cas de Nyrstar qui est la seule unité de production du Zinc dans le pays. Mais à partir du 2 janvier, son usine qui se trouve à Auby sera mise à l’arrêt pendant deux mois au moins. Ce surcroît devient de plus en plus intenable pour beaucoup. Par exemple, d’ici janvier prochain, le surcroît énergétique de Zinc sera de 1400 euros.
Les sociétés sont perdues
Pour les sociétés aussi, cette situation est difficile car ils n’ont pas de
bouclier. Cela car l’accumulation importante de ces réserves d’argent pourrait
faire défaut à beaucoup de petites entreprises. Aussi, d’autres ont des
inquiétudes relatives à leur compétitivité au niveau international. Pour ce qui
est des particuliers, il faut noter qu’ils ont le droit au bouclier tarifaire.
Ce qui veut dire que les prix du gaz et de l’électricité seront gelés pour tout
l’hiver. Mais pour les entreprises, la situation est déplorable car rien n’a
été prévu pour eux. C’est uniquement les plus grands industriels qui vont se
répartir une somme estimée à 150 millions d’euros. Cela correspond à une avance
sur le mécanisme de compensation carbone. C’est la raison pour laquelle
plusieurs entreprises ont adopté des solutions radicales.